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Pizay - Le Bois de la Morte Traditional Geocache

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Hidden : 3/17/2015
Difficulty:
2 out of 5
Terrain:
2 out of 5

Size: Size:   regular (regular)

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Geocache Description:

Ce bois a été dénommé "Bois de la Morte" suite à l'assassinat  en ce lieu de Marie-Eulalie Bussod le 25 février 1861, par Martin Dumollard, dit "L'assassin des bonnes".



Martin Dumollard, né le 21 avril 1810 à Tramoyes dans l'Ain et mort guillotiné, le 8 mars 1862 à Montluel également dans l'Ain, est un journalier, connu pour avoir agressé et assassiné des domestiques lyonnaises.
Les futures victimes sont abordées à Lyon par Dumollard qui leur propose une place attrayante en Côtière de l'Ain. Convaincues, elles finissent par le suivre et, durant leurs pérégrinations à pied, Dumollard les agresse. La totalité des douze agressions ou tentatives d'agressions connues se produisent à la fin des années 1850 et au début des années 1860 jusqu'à celle de Marie Pichon le 28 mai 1861. Il est alors rapidement arrêté, ainsi que sa femme et complice, Marie-Anne Martinet, qui fait recel des effets personnels des domestiques pour son utilisation propre ou pour la revente. Leur procès se déroule du 29 janvier au 1er février 1862 : Martin Dumollard est condamné à mort et son épouse, à vingt ans de travaux forcés. Cette affaire, qui précède d'une trentaine d'années celle de Joseph Vacher, a eu un grand retentissement en France ; elle est souvent considérée comme la première affaire contemporaine de tueur en série dans ce pays. Dumollard est notamment évoqué dans Les Misérables de Victor Hugo.

À la suite de son guillotinage, le corps de Dumollard est enterré dans un lieu indéterminé, même si une forte présomption place sa sépulture à l'orée du cimetière jouxtant la chapelle Saint-Barthélémy de Montluel.
La tête du condamné est envoyée (dans un caisson spécial) à l'école de médecine de Lyon dès début mars 1862. Dès réception, des études sont lancées pour analyser le crâne de Dumollard : ainsi plusieurs plâtres moulés sont conservés au musée Testut-Latarjet.

Toutefois, le crâne est peu à peu délaissé puis oublié avant d'être à nouveau analysé durant les années 1960. Ainsi des travaux effectués sur le crâne, à l'hôpital d'instruction des armées Desgenettes, concluent que Dumollard avait un angiome à la lèvre.

Au milieu des années 1980, trois chercheurs lyonnais, Claire Desbois, Claude Mallet et Raoul Perrot, mettent au point une méthode de reconstitution du visage à partir des données issues de la seule structure osseuse. Ils la nomment « DMP », ce qui correspond aux initiales des trois chercheurs. Ils vont expérimenter cette méthode sur le crâne de Dumollard et grâce à celle-ci obtenir une sculpture en trois dimensions de son visage. La comparaison avec les photographies d'époque valide cette nouvelle méthode. Le résultat de cette expérimentation ainsi que le buste réalisé à partir de la tête de Dumollard après exécution et la face reconstituée à partir de la véritable peau de Dumollard sont tous trois conservés au musée Testut-Latarjet à Lyon.




Association des Géocacheurs du Nord Isère et d'Ailleurs

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Additional Hints (Decrypt)

N yn onfr q'ha tenaq neoer nh fby. Fbhf qrf srhvyyntrf rg qrf oenapuntrf. Ibve cubgb Fcbvyre.

Decryption Key

A|B|C|D|E|F|G|H|I|J|K|L|M
-------------------------
N|O|P|Q|R|S|T|U|V|W|X|Y|Z

(letter above equals below, and vice versa)