Le calvaire de Bonalo fait partie d'une série de croix érigées après la Révolution dans tout le canton de Baud dont elle représente un des exemples les plus tardifs. Elle est commanditée en 1853, date gravée sur le socle.
Il est possible que ce calvaire soit l'oeuvre des frères Cabedoche, tailleurs de pierre à Melrand qui travaillèrent pendant la première moitié du 19e siècle sur le canton de Baud. Des parentés stylistiques sont à établir avec la croix de Coët-Pourron.