Le centre bourg du Pellerin fait partie du patrimoine typique des bords de Loire : depuis une rue centrale parallèle au fleuve, des venelles descendent vers la Loire. Ces rues, étroites avec peu ou pas de trottoirs, sont bordées par des maisons à un ou deux étages et dont l’entrée est généralement accessible par un escalier depuis la rue.
La rue Aristide Bertreux
Jusque dans les années 70, c’est dans la « Grand’ Rue » (l’actuelle rue Aristide Bertreux) que se concentrait la plus grande partie de l’activité commerciale du Pellerin. De nombreux commerces de proximité y avaient pignon sur rue : boulangerie, buraliste, sabotier, chapelier, cordonnier, épiceries, charcuterie, boucherie, fleuriste, droguerie, mercerie, papeterie...
Mais l’extension du bourg vers le sud de la Loire et à l’ouest, la surface réduite des magasins, la difficulté de circuler et de stationner dans la rue, ainsi que la création de nouvelles voies de circulation, ont favorisé la migration de ces commerces vers d’autres rues, notamment celles du Dr Sourdille et du Clos-Grillé.
Aristide Bertreux
Vétérinaire au Pellerin, Aristide Bertreux fut contemporain de Pasteur qu’il vénérait.
Dès 1862, il devient conseiller municipal. À compter de 1878, il est élu Maire de Le Pellerin. Il restera premier magistrat de la commune pendant 16 ans, jusqu’en 1894.
Il épouse la directrice d’une école publique qui habitait la maison natale de Joseph Fouché, duc d’Otrente, sinistre Ministre de la police. (Au n°53)
Né à Saint-Jean-de-Boiseau en 1849, il décède au Pellerin en 1906, au n° 47 de la « Grand’ Rue », devenue aujourd’hui la rue qui porte son nom.
Les coordonnées indiquées ne sont pas celles de la cache
Pour les découvrir, il vous faut résoudre l’énigme ci-dessous :
N 47° (6x2).A W 001° (3x15).B
L’endroit étant très fréquenté selon les périodes, merci d’être discret et respectueux des lieux.
Apportez votre stylo et une pince à épiler
Vous pouvez vérifier votre solution ici :