Skip to content

Communes du Calvados: Lasson Traditional Geocache

This cache has been archived.

olnapalo: This is the end

More
Hidden : 5/25/2014
Difficulty:
1.5 out of 5
Terrain:
1.5 out of 5

Size: Size:   micro (micro)

Join now to view geocache location details. It's free!

Watch

How Geocaching Works

Please note Use of geocaching.com services is subject to the terms and conditions in our disclaimer.

Geocache Description:

Les communes du Calvados est une série de cache particulière construite par la collaboration entre les géocacheurs normands


Les communes du Calvados est une série de cache particulière construite par la collaboration entre les géocacheurs normands

Le principe de la série est simple et est basé sur la participation volontaire : le premier qui le désire se propose pour poser la suivante de la série en respectant, si possible, les règles ci-dessous : Le nom de la cache posée commencera par "Communes du Calvados : " suivi du nom de la commune du Calvados où elle est située

Il n'y a aucun ordre particulier à suivre
  • Il n'est pas nécessaire d'avoir trouvé une cache de la série pour participer.
  • La cache doit être posée dans une commune du Calvados non encore répertoriée (il y a 706 communes dans le Calvados).
  • Pas de limitation de taille, difficulté, terrain ou type
  • Il est bien que le descriptif de la nouvelle cache contienne les présentes règles et soit suivi d'une présentation de la commune choisie pour la cache .

Cette série est une idée d’Atmo Studio.

Elle a été initialisée dans le calvados par Arnodraig The Devil.

Veuillez contacter ce dernier si vous souhaitez installer une cache appartenant à cette série

Un fichier pdf est à votre disposition . Il sera mis à jour à chaque demande de réservation de cache ou de création.

Un simple Ctrl+F vous permettra de faire une recherche rapide pour savoir si la commune est disponible.

Listing des communes du calvados.pdf

LASSON

Lasson, canton de Creully, Arrondissement de Caen, 402 hectares, 625 habitants en 2012.

Origine du nom : de l'anthroponyme romain Lascius et du suffixe latin -ol -onis qui indique la propriété. Les habitants se nomment les Lassonais

HISTORIQUE

Le village est cité pour la première fois en 1312, mais le territoire est occupé dès le VIIIième siècle, comme en témoigne la nef de l’église saint Pierre. D’importantes personnalités habitent dans le village, parmi lesquelles Nicolas de Croismare (1629-1680) mathématicien, littérateur et peintre. Son petit-fils, Marc Antoine Nicolas de Croismare (1695-1172), philosophe des lumières, est un ami de Diderot, de Fontenelle, de d’Alembert, de Mme d’Epinay, et de Grimm. Il est décrit par celui-ci en ces termes : « imagination piquante et riante, tour d’esprit piquant ». Il inspire à Diderot son pamphlet contre la vie conventuelle, La Religieuse (1760). En 1758 et 1759, le seigneur de Lasson prend en effet position pour une jeune fille qui renonce à ses vœux. Au XIXième siècle, comme beaucoup de villages des environs, Lasson perd une partie de ses habitants, qui passent de 500 en 1836 à 276 vers 1880.

EGLISE ST PIERRE

Le patronage de cette église était laïque, le chapitre de Bayeux et celui de Lisieux percevant chacun un tiers de la dîme et le reste revenant au curé. Certaines parties de la nef sont romanes. LE clocher, construit par l’abbé Chapelle ( !) au XVIième siècle est percés d’ouverture en ogive dans sa parie supérieure. La flèche sommitale, agrémentée de quatre clochetons est en pierre calcaire. Lors des fouilles de 1999 et 2000, une litre a été mise au jour, dont les écussons appartiennent aux Croismare, propriétaires du château de 1628 à 1768. Des sépultures, dont certaines dateraient de l’âge de bronze ou du fer et la plupart de l’époque moderne, ont également été découvertes. Ces différentes tombes sont alignées et superposées sur plusieurs niveaux de sépultures, disposition due au manque d’espace et peut-être à l’utilisation de l’église par les protestants, et leur nombre important est particulièrement remarquable pour un édifice rural. Ces fouilles ont en outre permis de mettre en évidence qu’une partie du bâti était romane ou pré-romane.

LA NEF

Le mur nord est entièrement construit selon la méthode de l’opus spictatum, en arêtes de poisson, technique de construction utilisée la période romaine jusqu’à la fin du XIième siècle, aussi bien dans les églises de l a région, à Anisy ou Cambes en Plaine, que dans les grandes cathédrales comme à Durham, au nord de l’Angleterre. Ce mur, bâti entre le VIIIième et le XIIième siècle et composé de plaquettes de calcaire et plus rarement de silex, a fait l’objet de nombreuses modifications avec l’aménagement d’ouvertures qui sont agrandies ou obstruées. La base du mur sud est aussi construite en opus spictatum mais les parties supérieures révèlent deux phases de construction, l’une au XIIIième siècle, et l’une à l’époque moderne, contemporaine de l’édification de la façade et du clocher.

LA CHAIRE

La particularité de cette chaire est le matériau dans lequel elle est construite. En effet, dans leur majeure partie, les chaires des églises rurales de la région sont en bois, à l’exception, notamment, de celle de l’église Saint Pierre à Rucqueville.

LA VIERGE A L’ENFANT

Cette statue est disposée dans le cimetière de l’église, dont elle ornait à l’origine l’if. Adorée par les fidèles comme la « Bonne Vierge », implorée avant les semences, cette Vierge est une Notre Dame des Champs. Depuis sa restauration, elle est conservée dans la nef de l’église.

Pour cette cache, rendez-vous non loin de la stèle des Canadiens

Additional Hints (Decrypt)

Yn sbepr vaivfvoyr

Decryption Key

A|B|C|D|E|F|G|H|I|J|K|L|M
-------------------------
N|O|P|Q|R|S|T|U|V|W|X|Y|Z

(letter above equals below, and vice versa)