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MARPIRE : Communes d'Ille-et-Vilaine Traditional Geocache

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Hidden : 6/7/2014
Difficulty:
1.5 out of 5
Terrain:
1.5 out of 5

Size: Size:   micro (micro)

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Geocache Description:

VUE SUR MARPIRE


 

Les communes d'Ille-et-Vilaine est une série de caches particulières construites grâce à la collaboration entre les géocacheurs.

En Ille-et-Vilaine, il y a 353 communes, à vous de jouer...

Pour réserver votre commune, mettre à jour votre contribution sur cette carte et faire entrer votre cache dans la liste des signets, merci d'envoyer un mail à cette adresse dédiée à la série :
communes.illeetvilaine@gmail.com

La liste des communes disponibles est ici


Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Bretagne
Département Ille-et-Vilaine
Arrondissement Fougères-Vitré
Canton Vitré-Ouest
Intercommunalité Vitré Communauté
Maire
Mandat
Auguste Fauvel
2014-2020
Code postal 35220
Code commune 35166
Démographie
Gentilé Marpiréens
Population
municipale
1 097 hab. (2011)
Densité 103 hab./km2

La commune de Marpiré est connue pour les sentiers pédestres de l’étang et de la forêt de Corbière. Une commune sympathique entre Vitré et Châteaubourg.

Marpiré est donné au XIIème siècle par le baron de Vitré à l'Abbaye Saint-Melaine de Rennes. La paroisse existe dès 1553, elle semble avoir été supprimée par la suite et érigée de nouveau au milieu du XVIIème siècle. La paroisse de Marpiré dépendait autrefois de l'ancien évêché de Rennes. 
 
Quoique Marpiré ne soit pas une paroisse fort ancienne, cette localité n'en remonte pas moins assez loin dans les siècles passés. Dès 1157 Etienne, évêque de Rennes, confirma Guillaume, abbé de Saint-Melaine de Rennes, dans la possession de tout le territoire de Marpiré, « Marpireium totum », que le baron de Vitré avait donné à son monastère. Un peu plus tard, en 1213, Pierre, également évêque de Rennes, confirma à son tour Geffroy, abbé de Saint-Melaine, dans la possession de la chapelle de Marpiré, « capellam Marpireii » (Dom Morice, Preuves de l'Histoire de Bretagne, I, 630 - Cartulaire de l'abbaye de Saint-Melaine).
 
Marpiré existait donc au XIIème siècle, mais rien ne prouve que ce fût alors une paroisse ; il ne semble pas non plus qu'il ait jamais été un prieuré, quoiqu'on appelât souvent prieur son recteur au XVIIIème siècle. Cette dénomination venait probablement de ce que Marpiré dépendit jusqu'à la Révolution des religieux de Saint-Melaine, qui l'annexèrent de bonne heure à leur prieuré de Notre-Dame de Vitré. 
 
Les registres de baptême remontent à Marpiré à l'an 1601, mais le premier recteur semble Mathurin Nicolas, qui n'apparaît qu'en 1664. Il est vraisemblable que la paroisse fut érigée de son temps, car la déclaration faite en 1691 par les trésoriers de Marpiré s'exprime comme il suit au sujet du presbytère : « Une maison ancienne, destinée pour le logement du vicaire (car c'est depuis peu que Marpiré a esté érigé en paroisse), fut échangée vers le milieu du XIXème siècle avec une maison un peu plus commode et deux cordes de jardin estimées 5 livres de rente » (Archives paroissiales).
 
Les Bénédictins de Vitré firent d'abord au recteur de Marpiré une pension de 200 livres, payée moitié par eux, moitié par leur prieur commendataire. Mais en 1689 ils lui abandonnèrent pour portion congrue toutes les dîmes de la paroisse. Aux approches de la Révolution, le recteur de Marpiré, Jean-Baptiste Gendrot, déclara, en 1790, que ces dîmes se levaient à la onzième gerbe, « dans toute l'étendue de la paroisse, sur les froment, seigle, avoine, orge, sarrasin, lins et chanvres », et qu'elles étaient affermées 1 500 livres, savoir : 1 200 livres les grosses dîmes et 300 livres les dîmes vertes ; il ajouta qu'avec « le pot-de-vin de la ferme » et quelques réserves il se faisait un revenu de 1 912 livres (Archives départementales d'Ille-et-Vilaine, 18 H, 15 ; 1 V, 28). 
 
La paroisse de Marpiré fut rétablie en 1803 par Mgr de Maillé, qui en nomma recteur d'abord M. Desouches, puis M. Jean Chevalier ; mais cet état de choses ne dura point, et dès 1806 nous voyons Marpiré cesser d'être paroisse et son territoire uni à Champeaux. M. Chevalier, décédé le 8 août 1809, n'est qualifié que « vicaire desservant ». Toutefois, une ordonnance royale datée du 11 février 1820 érigea de nouveau, et définitivement cette fois, Marpiré en paroisse, et le 10 juin suivant Mgr Mannay y envoya M. Grandgirard en qualité de recteur (Pouillé de Rennes).
 
On rencontre les appellations suivantes : Marpireium (en 1157), capella Marpireii (en 1213).
 

 

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