Jusqu’en 1848, il existait là un mur élevé coupant en deux le vallon, infranchissable.
Un carrier et maçon appelé Bourdelin demanda à la mairie la permission d’ouvrir cet énorme mur en sa partie centrale pour créer une voie de circulation désservant les carrières de Saint Fortunat.
Furent construits alors cinq arcades au sud et des contreforts au nord.