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Le Temple du VIGAN Traditional Geocache

This cache has been archived.

miguaine: Bonjour,

Puisqu'il n'y a pas eu de maintenance dans un laps de temps raisonnable, cette cache est archivée.
voir aussi : https://www.geocaching.com/about/guidelines.aspx

Cordialement,
Miguaine - Groundspeak Volunteer Reviewer.

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Hidden : 3/27/2014
Difficulty:
1.5 out of 5
Terrain:
1.5 out of 5

Size: Size:   micro (micro)

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Geocache Description:


SERIE II

D'AUTRES TEMPLES GARDOIS ET D' AILLEURS

Je me devais, huguenot de naissance, vous présenter quelques Temples Gardois ; certains à ce jour ont été choisi par quelques Géoplaceurs de renom,  pour accueillir des caches et non des moindres : Anduze, connu pour être le Plus grand Temple de France, rivalisant avec celui de Saint-Hippolyte du Fort, Seynes, Sommières et bien d’autres. Il faut s’en réjouir.

J’entreprends aujourd’hui une seconde série plus complète, pour certains Temples je n’ai pu me procurer des informations précises, tout au moins à ce jour, je pourrai à l’avenir compléter certaines caches si d’aventure je mets la main sur des informations intéressantes.

En général je vous présente en quelques lignes l’histoire de l’édifice si elle est remarquable sinon je me limite à sa date de construction.

Je vous souhaite une bonne promenade, une bonne visite et si je vous ai appris quelques chose sur ces bâtiments riches tous en Histoire tout comme sur le Village en question, j’en serai bien entendu ravi.

 

Le VIGAN

 

Le Vigan pourrait avoir été le siège du diocèse d'Arisitum. Réuni au diocèse de Nîmes vers 798, il en devint un archiprêtré, qui porte constamment pendant tout le Moyen Âge le nom d'archipresbiteratus Arisdii. Cet archiprêtré sera détaché du diocèse de Nîmes en 1694, pour contribuer à la formation du diocèse d'Alais.

Vers 1050 il y fut fondé un prieuré, sous le titre de Saint-Pierre, qui fut donné aux moines de l'abbaye Saint-Victor de Marseille.

Au Moyen Âge, et jusqu'en 1790, le Vigan était le chef-lieu d'une viguerie, qui se composait de 29 communautés en 1384, de 33 en 1435 et de 37 en 1582. La ville du Vigan comptait, en 1384, 37 feux, et en 1789, 685 feux.

Le Vigan était, aux XVIIe et XVIIIe siècles, la résidence du subdélégué de l'Intendant et du gouvernement de Languedoc pour toutes les Cévennes. Le siège de la Subdélégation était à l'hôtel de La Condamine. De même, un gouverneur pour les villes de Meyrueis, Sumène et Le Vigan était établi dans l'hôtel de Ginestous. La cité était la capitale administrative des Cévennes de l'Ouest, importante à cause de ses grandes foires et de son rôle de ville d'étape pour les troupes en déplacement. La grande richesse des négociants venait du travail de la laine et de la sériciculture qui permettait de tricoter des bas de soie exportés dans toute l'Europe. La présence d'une noblesse acquise aux idées des Philosophes et de l'Encyclopédie fait de la petite cité une enclave acquise au mouvement culturel des Lumières entre le Larzac et la plaine languedocienne.

En 1790, cette petite ville devint le chef-lieu d'un des huit districts du département du Gard. Ce district comprenait les huit cantons suivants : Alzon, Aulas, Dourbie, Saint-André-de-Valborgne, Saint-Laurent-le-Minier, Sumène, Valleraugue et le Vigan. Le canton du Vigan se composait de trois communes : Avèze, Mandagout et le Vigan.

En 1860, la commune absorbe celle voisine de Paroisse-du-Vigan[4], peuplée, au recensement de 1856, de 641 habitants et qui avait provisoirement porté, au cours de la Révolution française, les noms de Commune-des-Monts et de Monts[5].

À la fin du XIXe siècle, le Vigan se trouva relié par le chemin de fer à Nîmes et à Tournemire. La gare du Vigan se trouvait aux limites des territoires de deux compagnies ferroviaires, la ligne de Nîmes étant exploitée par le PLM et la ligne de Tournemire par la Compagnie des Chemins de fer du Midi. Cette dernière ne connut qu'un trafic médiocre et fut fermée en grande partie dans les années 1950 et totalement à la fin des années 1970. La partie vers Nîmes conserva un trafic voyageur jusqu'en 1968 et un trafic de fret jusqu'en 1987. Aujourd'hui seuls la gare et quelques ouvrages d'art de part et d'autre du Vigan subsistent de ce passé ferroviaire.

La commune est située sur l'itinéraire du Chemin de Saint-Guilhem-le-Désert[6], part du Chemin de Saint Jacques d’Arles à Compostelle.

 

Additional Hints (Decrypt)

Nvznagér nh cvrq qh eéireoèer...ovra erzrgger ra cynpr...pbbeqbaaérf geèf zblraarf..

Decryption Key

A|B|C|D|E|F|G|H|I|J|K|L|M
-------------------------
N|O|P|Q|R|S|T|U|V|W|X|Y|Z

(letter above equals below, and vice versa)