Au XIX siècle les guinguettes du Plessis ont les faveurs des Parisiens. Dans une ambiance populaire et joyeuse, les familles viennent passer du bon temps au grand air. Restaurants, bars, dancings, manèges, courses d’ânes et autres attractions font les beaux jours de ce nouveau quartier. Proposant une alternative aux joies du canotage des bords de la Seine ou de la Marne, les guinguettes de Robinson tirent leur originalité de ce cadre forestier insolite qui incite les promeneurs à retrouver leur âme d’enfant et à rêver d’aventures exotiques.
En 1848 la première des guinguettes « Au grand Robinson », avait pris comme thème la vie de Robinson Crusoë. Les consommateurs montaient par un escalier de bois dans un immense châtaignais où on avait fixé des plateformes. Le propriétaire avait juste confondu l’histoire de Robinson Crusoé de D. Defoe (1719) et Les Robinson Suisse de Wyss (1813) une famille de naufragés suisse qui installent leur maison de fortune dans un arbre.
Les autres guinguettes reprirent le thème du héros de D. Defoe et une surenchère d’attractions foraines fit la célébrité de ce quartier de la commune alors nommée Le Plessis-Piquet.
En 1909, la ville du Plessis-Piquet, reconnaissant la notoriété acquise en 60 ans par ce quartier de la fête populaire, change de nom et devient Le Plessis-Robinson.
Depuis la fermeture en 1976 de la dernière véritable guinguette, Le Grand Arbre (à l'abandon au 22 rue Malabry), seuls le Pavillon Lafontaine (point de départ de cette petite multi), et quelques restaurants, rappellent le souvenir des établissements qui firent l’âge d’or de Robinson.
WP0 : Relevez les numéros des deux maisons qui entourent cette guinguette. Soit A le plus faible, soit B le plus élevé.
WP1 : à 30 mètres, 250° du point de départ, vous trouverez le chevalier Bayard. Il vous transmettra le nombre de tours, valeur que l'on nommera X.
WP final :
- N 48°46.(A+B)*10-(X*2)-3
- E 002°16.(B*2)+A+X-3
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