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Geobirthday Mystery Cache

Hidden : 3/3/2014
Difficulty:
4 out of 5
Terrain:
1.5 out of 5

Size: Size:   small (small)

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Geocache Description:

Amis géocachers,je vous invite à fêter mon premier Geo-anniversaire.

Un an déjà.

Comme dans toute fête il y'aura de la musique.Mais pas n'importe laquelle.Et j'ai choisi Tool.

Laissez moi donc vous en parler

Et soyez attentifs si vous voulez les coordonées


Tool est un groupe de metal progressif américain formé en 1990 par le chanteur Maynard James Keenan, le guitariste Adam Jones, le batteur Danny Carey et le bassiste Paul D'Amour.Tool livre une vision novatrice, une approche plus personnelle en soignant tout aussi bien la musique que l'aspect visuel.

 

Ce groupe emprunte au heavy metal sa puissance, au rock progressif sa charge d'émotions et au rock psychédélique la capacité de créer une atmosphère pleine et envoûtante pour un resulat enivrant.

 

5 ans ! Il aura fallu 5 ans,et donc attendre mai 2006,pour que Tool nous délivre un nouvel album,Une longue attente entre chaque sortie,  largement récompensée par des albums saturés de détails. Si bien que les  fans inventeront les théories les plus farfelues pour interprêter chaque détail, chaque parole. Lateralus a marqué les esprits tout comme l’avait fait Salival et Aenima, la suite était plus qu’attendue. Les escapades de Maynard James Keenan au sein du populaire A Perfect Circle ou celles plus discrètes de ses acolytes avec les Melvins, Lustmord, Pigmy Love Circus et divers projets, pas forcément musicaux, laissaient planer le doute sur la possible suite de Lateralus. La horde de fan, prête à décortiquer dans les moindres détails la bête, n’en pouvait plus d’attendre, Tool nous a habitués à patienter, mais de plus en plus le manque se fait sentir du côté des fanatiques quasi religieux des 4 musiciens. Heureusement, Tool vient satisfaire ses fidèles avec 10,000 days : 11 titres pour 115 d’une transe quasi chamanique.Tout comme réduire la Bible à une feuille A4, résumer cet album en une chronique est chose impossible, il sera nécessaire de passer outre moults détails, digressions, influences et théories. Dire que la musique de Tool est complexe est un doux euphémisme, les morceaux sont tous fignolés dans les moindres détails, chaque titre regorge de dizaines de facettes travaillées avec le plus grand soin ; ici rien ne semble laissé au hasard. C’est subjugué que l’on se laisse emporter dans le flot mélodieux et très souvent tumultueux de ces compositions.
Le monde que créé Tool sur ce 10,000 days ne nous est pas inconnu, on retrouve en effet bon nombre de passages qui nous rappellerons les précédents opus du groupe, et plus particulièrement Lateralus. Pourtant, au fil des écoutes (et il en faudra pour tout assimiler !), la véritable teneur de l’œuvre se dévoile ; plus tribal que Lateralus, moins aérien et parfois même quasi haineux, chaque piste est un appel à un voyage de sensation, chaque minute de cet album est un siècle d’histoire dans un monde fantastique.
Les ambiances créées transcendent les compositions déjà exceptionnelles, comme elles l’étaient sur Lateralus ; chaque membre semble uni pour créer une ode inoubliable. Et sur ce point, sur 11 de leurs créations, il n’y en a peut être qu’une (Vicarious) qui ne mérite pas toutes ces louanges, elle est juste très bonne et non exceptionnelle.
Les 4 musiciens se surpassent, chacun , Maynard a encore progressé (comment est ce possible ?), l’intro A Cappella de The Pot est tout simplement parfaite. Mais celui qui marquera le plus sur ces  titres est l’inévitable  Danny Carey (batteur) impressionnant sur l’ensemble des titres ; l’incursion de plus en plus présente de percussion (sur Roseta Stoned ou Right In Two en particulier) amène Tool dans des contrées tribales (d’ailleurs Lipan Conjuring appuie les comparaisons dans ce sens) et l’aidera à exacerber son agressivité. Evidement Adam Jones et Justin Chancellor ne sont pas en reste et se livrent à un duo où chacun semble se fondre dans les compositions de l’autre.
Tool semble former une véritable unité sur cet album ; l’alchimie parfaite ; la fusion de chaque note pour un résultat divin, le tout habillé de sons et ambiances prenantes.Chaque titre mériterait à lui seul une chronique afin de tenter de décortiquer sa structure, parler des 1000 détails le composant ; pour ensuite pouvoir se plonger dans les paroles ; établir des théories les plus abracadabrantes les unes que les autres, en espérant peut être, au milieu de se brouhaha théosophique, s’approcher de la volonté du groupe. Mais bien plus que les autres groupes Tool amène ici avec ce 10,000 days le billet pour un voyage spirituel dont seul l’auditeur connaît la destination ; bien plus qu’une icône Tool est un guide ou, moins subtilement, l’outil pour accéder à nos rêves. En un mot : indispensable.Un supposé « morceau caché » est retrouvé sur cet album si l'on écoute Wings for Marie et Vigini Tres consécutivement, en même temps que 10,000 Days. Ce qui expliquerait la présence de Vigini Tres.

 

 

LES DEBUTS

 

Maynard James Keenan et Adam Jones se rencontrent en 1986, le premier quittant la Côte Est et l'autre son Illinois natal pour venir s'installer à Los Angeles.

 

L'univers spécial de Tool est entre autres basé sur l'une des inventions d'Adam Jones, l'auteur fictif Ronald P. Vincent et sa philosophie, la « lacrymologie ». Pendant plusieurs années, Les membres du groupe font passer ce mythe, qui fait son apparition en 1993 dans un historique distribué avec les copies promotionnelles de l'album Undertow, la raison de la création de Tool2. Selon le site Urban Dictionnary3, la lacrymologie est peut-être née de la volonté de railler les mouvements religieux ou sectaires comme la scientologie, auquel le groupe s'attaque régulièrement dans ses textes.Selon l'historique écrit par le groupe, Adam Jones, diplômé d'une école de cinéma et passionné par l'art sous toutes ses formes, traîne dans le milieu undergound de Los Angeles et y fait la rencontre d'un dénommé Ronald P. Vincent, auteur en 1949 d'une œuvre unique, A joyful guide to lachrymology. Jones affirme que l'ambition de Vincent, grâce à son guide, est de fonder une philosophie/religion, la « lacrymologie ». Pour lui, le seul moyen pour un être humain de progresser et de se développer passe par l'exploration et la compréhension de sa douleur physique et de sa peine.Jones, alors guitariste amateur, décide donc de former un groupe dont la musique serait un outil (a tool en Anglais) pour aider le public à comprendre la lacrymologie. Jones explique que Vincent meurt d'une cirrhose quelques mois après la formation du groupe, et prétend étudier sans relâche A joyful guide... pendant deux ans, parallèlement à son emploi à Hollywood.Entre temps, il fait la rencontre de Maynard James Keenan. Celui-ci, qui vient de quitter son école militaire dans le Michigan, possède quelques notions de chant et va alors s'associer à Adam dans ce projet.Un premier album sort en 1992 : Opiate. Il permit au groupe de se faire connaître un peu partout sur le territoire américain. Le titre fait référence à la celèbre citation de Karl Marx « la religion est l'opium du peuple »Ce sera le début d'une grande et belle carrière.

 

 

 

Je ne vous demande pas d'apporter de cadeaux, mais prenez au moins un stylo

Mes caches étaient precedement premium.Je les repasse en normales afin d'en faire profiter le plus grand nombre.Merci à tous d'être discrets et de traiter avec soins les boites et les camouflages

Additional Hints (Decrypt)

Gebhirm yr oba bhgvy rg gbhg fren yvzcvqr. Crgvgr qéqvpnpr à Pubhrggr2 :Vy a'l n cnf qr Ivtraèer ^^

Decryption Key

A|B|C|D|E|F|G|H|I|J|K|L|M
-------------------------
N|O|P|Q|R|S|T|U|V|W|X|Y|Z

(letter above equals below, and vice versa)