Située à coté du chateau de Roberville, l'ancienne église du XVIème siècle était en fort piteux état depuis de très nombreuses années. Au moment de la révolution française, un conflit concernant les réparations à faire, oppose les religieux de Saint Amand, qui perçoivent encore 2/3 de la dîme et le curé 1/3. En 1970, le Directoire de Noyon décide que le prieuré de St Amand devra payer tout le gros oeuvre, et le curé aura a charge le beffroi des cloches, la sacritie et l'appentis de la chapelle confessionnale.
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