Les coordonnées de la cache sont N 48° I.J W 001° K.L
A = année d'achèvement du pont (la réponse n'est pas présente sur place)
B = nombre de lettres du nom du cours d'eau que le pont permet de traverser (2 mots)
C = la distance en kilomètre entre le pont d'Acigné et le panneau signalant l'entrée de la ville dont la commune est limitrophe (le cours d'eau sert de délimitation entre d'Acigné et cette commune limitrophe)
D = le nombre d'étoiles au guide Michelin du restaurant situé à proximité immédiate du pont (valeur maximum atteinte en 2013)
E = numéro de la route départementale passant sur le pont
F = nombre de lettres du nom de la rue desservant le pont (3 mots)
I = F-(C+D)
J = A - ((E+B)*F) + 6
K = 3*F + D
L = (B+C) * F
Les informations historiques suivantes sont extraites du livre « Histoire d’Acigné et de ses environs » d’Alain Racineux avec l’aimable autorisation de l’auteur. Alain Racineux est également président de l'association « Acigné Autrefois » qui a pour but de faire connaître au grand public l’Histoire d’Acigné et valoriser son patrimoine.
La fin du XIXe siècle et le début du XXe siècle furent l'occasion de travaux de modernisation qui transformèrent le visage du bourg.
Les halles furent démolies, ainsi qu'une série de maisons qui serraient de près l'église au nord. Les rues furent empierrées et alignées, car elles étaient dans la traversée du bourg d'une largeur insuffisante et flanquées de rigoles aux deux côtés. Tout ceci entraîna des expropriations et des rabotements de propriétés. Ce fut le cas pour la maison dite Jarry (grande maison située rue des Forgerons), dont le terrain d'accès fut raccourci.
Des trottoirs furent installés ainsi que des caniveaux. Pour la rue de Calais, à cause de la déclivité, on dut construire des escaliers extérieurs. Une place communale fut créée aux Clouères et une nouvelle mairie bâtie en (A-9); une école publique de garçons lui fut adjointe en (A+3). Beaucoup de maisons du bourg furent construites dans le style que nous voyons encore : murs en pierre taillée et encadrements en briques. Le cimetière fut déplacé en limite du bourg de l'époque.
Enfin, le pont d'Acigné fut reconstruit. Pour cela, on perça une nouvelle rue. Le nouveau pont fut en effet installé plus en aval que l'ancien. Les travaux furent achevés en A. L'ancien pont débouchait au bout de la rue St-Julien et menaçait de tomber en ruines. Il était à claire-voie en bois. II fut démoli et vendu au profit des deux communes limitrophes. Le nouveau pont fut construit entièrement en dur, avec deux murets de chaque côté. Un lavoir fut projeté à proximité, du côté Nord, mais par suite d'oppositions, l'idée en fut abandonnée provisoirement. En effet le lavoir prévu à la fin du XIXè siècle fut ajourné temporairement, mais quand même réalisé dans les années 1950.
Toutes ces transformations étaient dues à l'impulsion d'un homme, Pierre Georges, qui fut maire d'Acigné pendant 23 ans. Lorsqu'il démissionna en avril (A+13) pour raison de santé, son successeur, Alain de Tréverret, lui rendit hommage pour les transformations accomplies sous son mandat.
L'image suivante est extraite du livre « Mémoire en Images Acigné » d’Alain Racineux avec l’aimable autorisation de l’auteur.
