La Râteleuse d’Honoré
Après la faneuse, une fois le foin sec, la râteleuse (aussi nommé râteau mécanique) entrait à son tour en action. Il s’agissait de ne rien perdre du fourrage, l’expression « râtelage au peigne fin » prenant ici tout son sens.
Cette encombrante machine à 2 roues était tractée par un seul cheval, le conducteur ou la conductrice assis sur le siège en fer.
Le grand râteau tournait autour d’un axe fixe qui rassemblait le fourrage en gros boudin (andain). Pour le libérer, il fallait actionner une pédale pour le libérer.
Une ou deux autres personnes formaient ensuite des tas qui étaient ensuite chargés sur un chariot.
Son utilisation remonte à la seconde révolution industrielle. C’est la version la plus primitive des andaineurs actuels tirés aujourd’hui par des tracteurs.
Patrimoine agricole, celui-ci décore un rond-point.
Vous cherchez une micro contenant un logbook et crayon.
Attention, vous êtes exposés aux regards alors faites des photos.