"La Touraine de A à Z..." est une série de cache particulière ouverte à tous ceux qui souhaitent y participer. Le principe est simple : le premier géotrouveur de cette cache qui le désire (donc pas obligatoirement le FTF), se propose de compléter l'alphabet en choisissant une des lettres non encore utilisées dans la série et de placer une nouvelle cache dans le département d'Indre et Loire. Et ainsi de suite jusqu'à ce que les 26 lettres soient honorées. Le choix du mot est totalement libre (ville, spécialité, monument, objet, nom, dicton, etc...). Aucune limitation de taille, difficulté, terrain ou type.
Pour info, voici les caches déjà publiées à ce jour :
''La Touraine de A à Z...'', A pour Au clair de Lune ballanais.
''La Touraine de A à Z...'', B pour Bois Brûlé.
''La Touraine de A à Z...'', C pour Candata.
''La Touraine de A à Z...'', D pour Dierre.
''La Touraine de A à Z...", E pour Église St Etienne.
''La Touraine de A à Z...", F pour Faut pas oublier.
Merci de votre éventuelle participation à la complétion de cette série ludique 
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Si vous avez de la chance, vous rencontrerez un de ces acteurs...
Certains cherchent aujourd’hui à sortir de l’ombre pour faire toute la lumière sur leur passé méconnu. Non pour la gloire, mais pour la mémoire, afin que celle-ci serve au mieux l’histoire et l’éducation des jeunes générations.
C’est le cas des frères Marteau. Ils habitaient Fontenay, en zone occupée, et considèrent n’avoir fait que leur devoir, en aidant femmes, hommes et enfants à gagner les chemins de la liberté. Roland Marteau, octogénaire, revient sur le tracé en dents de scie de la ligne de démarcation :
« C’était un gros avantage, pour nous qui connaissions la région. Cela aurait été plus difficile de faire passer des gens, si elle avait été rectiligne. »
Il poursuit : « Avec les frangins, on connaissait la combine. Pendant que l’un faisait diversion, l’autre aidait à passer. » « Gratuitement ! », Précise Roger Marteau. « On déguisait les passagers en paysans, avec des vieilles affaires de vigne, et une fourche dans la main, pour mieux réussir le coup. Mais on ne gagnait pas notre pain avec ça. D’autres faisaient payer, comme le père Petit, mais pas nous ! » Les Marteau n’ont à cette heure qu’un seul regret : ne pas avoir de contacts avec ceux qu’ils aidèrent à franchir la ligne. «On s’est mis en danger, on aimerait savoir ce qu’ils sont devenus. »
Julian PERDRIGEAT