Une cache toute simple, en drive-in (ou presque) pour ce lavoir.
ATTENTION AUX MOLDUS. SOYEZ DISCRETS POUR LA SURVIE DE LA CACHE. MERCI ET BONNE CHASSE.
Photos du lavoir avant/après restauration.
N'oubliez pas de le comptabiliser pour le challenge de la mère Denis (GC3694F).
A ce jour, 216 lavoirs ont été comptabilisés en Essonne (source : "Les lavoirs de l'Essonne"). Ces lieux d’hygiène sont apparus au XIX traversé par de grandes épidémies comme le choléra en 1830 et en 1850. Pour favoriser leur développement, en février 1851 une loi imposa l’aménagement de lavoirs ouverts à tous, ou plutôt à toutes, déterminant également leur emplacement par rapport aux sources ou fontaines pour ne pas polluer l’eau potable.
Le lavoir de D'Huison-Longueville date du XIXe siècle. Il est positionné sur la Longueville et deux sources en jaillissent.
Les lavoirs de source ont pour caractéristique d’être constitués d’un bassin muni d’une vanne permettant de recueillir l’eau. Ces bassins ont une profondeur d’environ 0,70 m. Leur fond est généralement pavé ou dallé ou enduit au mortier pour en faciliter le nettoyage. La toiture peut être à un, deux ou trois versants formant de ce fait un impluvium (bassin creusé au milieu pour recueillir les eaux de pluie). Certains lavoirs peuvent être mixtes (source et rivière). Installés alors au bord d’une rivière ils possèdent un bassin de rinçage permettant de mettre en réserve et de faciliter ainsi le travail des lavandières. C'est le cas de ce lavoir qui a en plus la particularité d'être accompagné d'un abreuvoir.
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