Skip to content

L'erdre au Pont Saint Georges Traditional Geocache

This cache has been archived.

miguaine: Bonjour Emmaüs44,

Cache archivée définitivement pour permettre éventuellement à un autre géocacheur d'en placer une dans le secteur.

Cordialement,
Miguaine - "Geocaching HQ Volunteer Reviewer"

More
Hidden : 10/10/2012
Difficulty:
3 out of 5
Terrain:
1.5 out of 5

Size: Size:   small (small)

Join now to view geocache location details. It's free!

Watch

How Geocaching Works

Please note Use of geocaching.com services is subject to the terms and conditions in our disclaimer.

Geocache Description:

Emprunter le pont Saint-Georges, aujourd'hui, apparaît normal. Quotidiennement, des milliers de véhicules utilisent ce remarquable ouvrage. Ce pont existe depuis fort longtemps, en voici son histoire.

Le pont Saint-Georges relie les deux parties de Nort, il fut finit de construire en 1774, sa construction à duré presque 20 ans, aujourd'hui constitué de 3 arches, il en comptait 6 au moment de la fin de sa construction. A travers l’histoire Un ancien pont existait depuis fort longtemps en ce lieu, mais il était complètement délabré au 18ème siècle, obligeant la population à affronter, notamment en hiver, les inondations de l’Erdre. Ainsi les riverains voulant circuler entre la butte Saint-Georges et le bourg, s’exposaient dangereusement à la noyade. Aucune habitation d’ailleurs n’était construite au bord de la rivière. C’est en 1750 que le Duc D’Aiguillon, commandant en chef des troupes de Bretagne, soucieux d’aménager la région, décide de procéder à l’édification d’un nouvel ouvrage, sur le lieu même de l’ancien. Après l’obtention de fonds et l’élimination des vestiges du précédent pont, les travaux débutent en 1755. Quatre années sont nécessaires pour la pose des fondations. Selon les plans de l’époque, elles sont composées de 401 pieux de 8 mètres de long et 35 centimètres de diamètre tirés de 401 chênes provenant, essentiellement, de la forêt de Vioreau. Les pieux étaient enfoncés à l’aide d’un appareil appelé “sonnette à tiraude”, actionné par une vingtaine d’hommes. De nombreux transporteurs locaux assurent, souvent au moyen de charrettes, la livraison des pierres. La rivière permet, également, d’acheminer ces matériaux, en provenance des carrières voisines (Tomblehoux, Les Touches, Chantenay, Orvault). L’avancée des travaux est lente en raison des problèmes rencontrés par les autorités de Bretagne et de Nantes, face aux entrepreneurs choisis. La malhonnêteté et l’incompétence de ces derniers, entraînent l’arrêt du chantier pendant plusieurs mois. Les conditions de travail, à l’époque, ne sont pas particulièrement favorables. 1774 : le pont Le pont présente six arches : trois centrales et trois coté bourg. L’ensemble est enserré dans les rampes d’accès (levées), longues de 320 mètres. Le parapet sera posé en 1820. Aujourd’hui, les Nortais, pétris de L’histoire de leur localité, n’ignorent pas que “le pont” a joué un rôle non négligeable pendant la révolution de 1789. Lors des guerres de Vendée, dans la nuit du 27 au 28 juin 1793, le citoyen Meuris, à la tête de quelques centaines d’hommes, réussit à interdire pendant plusieurs heures, le passage du pont, à l’armée Vendéenne dont l’objectif était la prise de Nantes. Il se dit qu’une femme indiqua le passage du Gué aux assaillants, qui purent prendre les défenseurs à revers et dégager le pont. Ce retard, pris par l’armée Vendéenne, fut une des principales causes de “la non prise” de Nantes. Ainsi, depuis 1774, le pont Saint-Georges, remplit, contre vents et marées, sa merveilleuse mission de rapprocher les hommes, laissant couler en toute liberté “la plus belle rivière de France”.

Additional Hints (Decrypt)

Dhnv Fnvag Trbetrf 44390 Abeg fhe Reqer

Decryption Key

A|B|C|D|E|F|G|H|I|J|K|L|M
-------------------------
N|O|P|Q|R|S|T|U|V|W|X|Y|Z

(letter above equals below, and vice versa)