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DIGUE DE COLLIGNON Mystery Cache

This cache has been archived.

PhilaCache: Bonjour navybickers,

Puisqu'il n'y a pas eu de maintenance dans un laps de temps raisonnable, j'archive cette cache.
voir aussi : http://www.geocaching.com/about/guidelines.aspx#cachemaintenance.

Comme cet archivage a eu lieu à cause d'un manque de maintenance, il m'est impossible de la réactiver. Si vous voulez refaire une cache ici ... s.v.pl. soumettez un nouveau listing.

Cordialement,
PhilaCache
Geocaching Community Volunteer Reviewer

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Hidden : 7/24/2012
Difficulty:
2 out of 5
Terrain:
1.5 out of 5

Size: Size:   micro (micro)

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Geocache Description:

LA digue de colligon est à la fois 1 plage, 1 lieu de promenade et 1 lieu historique et aussi 1 spot de kite surf. Attention toutefois à l'accès sur la digue avec les enfants et bien sur par tempête inutile de prendre des risques!
Grâce aux coordonnées de départ vous accéderez au parking.



Les coordonnées de la cache sont:
 X° ZZ². (date de la stèle de droite-1520)
Y° Z(Z+1). (date de la stèle de gauche-1699)
sachant que :
X+Y = le n° de département de la Manche
Z*630= la stèle de gauche

Observez bien la galerie photos!!! Loin de clore le sujet des ouvrages maritimes de notre rŽgion, lÕhistoire de la digue de Collignon termine, pour la partie Est, la fermeture de la rade. Cet historique de la digue de lÕEst, donne lÕoccasion de tenter dÕŽclaircir quelques␣ origines de noms liŽs au site de Collignon : la plage, la passe... histoire␣ dÕtre au ÇcourantÈ. Histoire C ’est en 1889, qu’on décide de «fermer la rade pour la mettre à l’abri des torpilleurs en temps de guerre» et que la construction des digues dites de l’Ouest (Querqueville) et de l’Est (Collignon) est programmée. Cette dernière qui relie le fort de l’île Pelée à la terre a un double but : militaire en fermant la grande rade aux navires de faible tirant d’eau et aussi de protection de la rade contre les vents d’Est, comme l’explique l’ingénieur des Ponts et Chaussées Lafaix dans un rapport de 1931 : «La digue de l’Est défend très efficacement la jetée des Flamands, l’aspect de la rade par fort vent d’Est ou de Nord-Est montre nettement que si la mer déferle violemment sur la digue de l’Est, elle ne déferle que peu sur la jetée des Flamands qui à elle seule ne résisterait pas aux vents d’Est.» Malheureusement, dans ce même rapport intitulé «Projet de réfection totale de la digue de l’Est», ce même ingénieur dresse un triste constat : «Par suite du manque absolu d’entretien des ouvrages maritimes du port militaire de Cherbourg pendant la période 1914-1924, la situation de ces ouvrages et particulièrement celle de la digue de l’Est est devenue critique.» Depuis plus d’un siècle, assauts des tempêtes, dégâts et réparations se succèdent autour de cette digue à double identité. La digue de l’Est, dite de Collignon Ordonnée en même temps que la digue de l’Ouest (Querqueville), la digue de l’Est a fait l’objet d’un marché le 12 décembre 1889 passé avec A. Collignon, entrepreneur de travaux publics à Paris. Dès 1890, demande est faite d’autoriser l’installation d’une voie ferrée dans le parc d’enfouissement des bois de la Marine aux Flamands «pour le dépôt des sables destinés à l’exécution des maçonnerie de la digue» . Cette ligne de chemin de fer achemine les enrochements extraits des carrières «de l’entreprise» (du Becquet) jusque sur le chantier de la digue (voir plan et photo). Le tracé de cette voie de d’environ mille huit cent quarante-sept mètres, y compris la largeur de la passe de cinquante mètres. Elle repose sur un massif d’enrochements large de huit mètres, en pierres de toutes grosseurs. À trois mètres de hauteur, les enrochements sont surmontés d’une muraille en maçonnerie de moellons de trois mètres cinquante d’épaisseur sur cinq de large. Les deux branches de la digue attenantes, l’une à la pointe des Grèves, l’autre au fort de l’île Pelée, sont terminées par des musoirs formés par des massifs en maçonnerie. Ils sont couronnés par un parapet en granit de un mètre de hauteur et de un mètre cinquante d’épaisseur. Ils s’appuient sur une plate-forme d’enrochements d’une largeur de vingt mètres et sont protégés par un revêtement en blocs naturels. Les travaux ont été achevés en 1895 et ont coûté plus de deux millions de francs de l’époque. bonne chance

Additional Hints (Decrypt)

ceraqer 1 crh qr unhgrhe.

Decryption Key

A|B|C|D|E|F|G|H|I|J|K|L|M
-------------------------
N|O|P|Q|R|S|T|U|V|W|X|Y|Z

(letter above equals below, and vice versa)