Lavoirs et abreuvoirs des villages du Vermois
Quand on approche d'un village, on aperçoit tout d’abord l'église... Puis la mairie, au centre du village. Il y a également un autre édifice réservé à la communauté qui est souvent tombé dans l'oubli parce qu'il n'a plus la même utilité depuis l'avènement du monde moderne.
Fontaines, abreuvoirs, aiguayoirs, lavoirs, margelles de puits avec leur équipement de puisage, pompes, sont souvent implantés sur l’usoir, à la disposition de tous au centre du village ou à proximité.
On ne perçoit plus aujourd’hui l’importance capitale de ces ouvrages en leur temps. Et pourtant, mettre l’eau à disposition abondante et commode de chacun a été l’une des préoccupations essentielles des communes tout au long du XIXe siècle.
Depuis décembre 1789, on imposait aux communes de “garantir aux habitants de bonnes conditions de salubrité.“ Ces obligations ont été complétées par un décret de l’Empereur Napoléon III du 3 février 1851 qui vote un crédit spécial pour subventionner la construction des lavoirs.
Le lavoir était également le témoin des grands et petits moments de nos villages, le lieu où les femmes se retrouvaient pour échanger les derniers potins et autres cancans. Puis, vers 1950 vint l’ère de la machine à laver et plus récemment l’explosion des réseaux sociaux.
Faisant partie du patrimoine rural, la plupart de nos lavoirs, abreuvoirs et fontaines sont fièrement conservés et parfois restaurés. Certains sont encore alimentés en eau.
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Cette série va vous permettre de découvrir ou de redécouvrir ces témoins de l’histoire locale de quelques villages du Vermois. Elle vous permettra de mieux apprécier ce fragile patrimoine, lieu de vie et de rencontre, tout en admirant les efforts d’entretien et de décoration de tous ceux qui œuvrent pour rénover et embellir ces lieux.
Et pourquoi pas, cela peut être une bonne idée de circuit pour une sortie VTT en empruntant le GR de Pays « Autour de Nancy »…
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Dans chacune des 6 premières caches, vous avez retrouvé le seul détail correspondant au lieu visité. Vous avez donc récupéré 6 nombres A, B, C, D, E et F. Ces nombres vont maintenant vous servir à résoudre l’énigme et à localiser la cache bonus.
Prêts à vous jeter à l’eau ? Bon geocaching !
Cette commune de 417 habitants dispose d'un petit aérodrome qui est utilisé comme base de départ pour le parachutisme.
S’il n’y a pas trop de vent, vous aurez de grandes chances de voir décoller des avions et d’assister au spectacle coloré de la descente des parachutistes (de mars à novembre, les vendredis, samedis et dimanches et souvent, et surtout l’été, en semaine également).
L’église Saint-Laurent date du XIIIe siècle. Elle a été agrandie au XVIe siècle (chapelle sud).
Vous pourrez également découvrir les alentours de ce village lors de la quête du parachute perdu #1 - Pilatus (GC34NZY), #2 - Cessna (GC34Q83), #3 - Skyvan (GC34Q9Y), #4 - Transall (GC34QAH) et #bonus (GC34QAW).
Mais avant, il vous reste à localiser la cache !
En utilisant une seule fois tous les chiffres de 1 à 19, il suffit de remplir les cases de cette grille. C'est facile, vous en avez déjà trouvé 6.
Et si vos neurones sont surchauffés, allez vous rafraîchir au lavoir.
Dans la boîte se trouve un "gratteux" pour le PAT... à l'image de cette grille. Bonne chance !