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( ESPB ) Les victimes de la bataille de Borny Traditional Cache

This cache has been archived.

PhilaCache: Bonjour mich974,

Puisqu'il n'y a pas eu de maintenance dans un laps de temps raisonnable, j'archive cette cache.
voir aussi : http://www.geocaching.com/about/guidelines.aspx#cachemaintenance.

Comme cet archivage a eu lieu à cause d'un manque de maintenance, il m'est impossible de la réactiver. Si vous voulez refaire une cache ici ... s.v.pl. soumettez un nouveau listing.

Cordialement,
PhilaCache
Geocaching Community Volunteer Reviewer

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Hidden : 5/30/2011
Difficulty:
1.5 out of 5
Terrain:
2 out of 5

Size: Size:   micro (micro)

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Geocache Description:

Une cache proposé pour l'event " GC2RJAJ Les sangliers passent à la broche " Le but de cette série est de faire connaitre mon village d'enfance... rien de spectaculaire en somme mais bon ça augmentera le nombre de cache dans le Secteur :)

Les Premiers morts de la Bataille de Borny

 

Mise au ban des nations après l'effondrement du Ier Empire, la France s'est remise peu à peu à recouvrer son aura aussi bien en Europe qu'en Asie, en Afrique et même au Mexique.

Si la France redore son blason à travers le monde, elle reste menacée sur sa frontière du Rhin par la montée en puissance de la Prusse qui étend son influence sur les autres états allemands de la confédération germanique. La victoire de la Prusse sur le Danemark et l'Autriche bouleverse l'équilibre des forces en Europe.

Le 3 Juillet 1870 le cousin de Guillaume Ier, roi de Prusse, revendique, le trône d'Espagne laissé vacant. La France est menacée sur ses frontières du Rhin et des Pyrénées.

Le 19 Juillet 1870 la France déclare la guerre à la Prusse. Elle se trouve alors abandonnée par ses alliés alors que la Prusse étend son emprise sur la confédération germanique.

La guerre surprend l'armée française qui tente sans succès depuis quelques années de se réformer. Les soldats français se retrouvent dans l'Est de la France, sans chef, sans équipement, sans munitions.

Les troupes françaises composées de deux armées commandées par Napoléon III sont opposées aux trois armées prussiennes commandées par le général MOLTKE. La troisième armée française est en cours de formation à Chalons sur Marne.

Le 2 Août 1870 pressé par l'impératrice et le gouvernement, Napoléon III contraint et forcé engage le combat à Sarrebruck. Les troupes Françaises de l'armée du Rhin pénètrent dans une ville ouverte. Les positions conquises qui sont jugées trop exposées par l'état major sont abandonnées. Les troupes se retirent sur les hauteurs de Forbach.

Le 4 Août 1870 l'armée d'Alsace est écrasée par la III ème armée prussienne à Wissembourg. Malgré une charge héroïque de la cavalerie française à Reichshoffen, l'armée d'Alsace se replie par le col de Saverne. Cette retraite s'achèvera à Chalons sur Marne.

Le 6 Août 1870 la II ème armée prussienne attaque l'armée du Rhin à Spicheren. Les troupes françaises sont défaites et battent en retraite.

Au lendemain de cette bataille après de longues hésitations et de nombreux ordres et contre ordres, Napoléon III décide de diviser l'armée du Rhin en deux. La première partie des troupes se concentre sur la rive gauche de la Nied, alors que la seconde partie de l'armée se replie sur Chalons sur Marne.

L'armée qui reste en Lorraine prend le nom de «l'armée de Metz», elle est placée sous le commandement du général BAZAINE, qui accepte avec répugnance de défendre les positions de la Nied. L'empereur abandonne également l'idée de défendre la ligne de la Nied, il décide de replier ses troupes à l'ouest de la Moselle, son seul souci est de gagner du temps, afin de renforcer sa ligne de défense à Chalons sur Marne et ainsi de protéger Paris. Il laisse à Metz une garnison suffisante pour retarder l'avance des troupes prussiennes.

Le 14 Août au matin pendant que l'armée française se replie péniblement, les Prussiens signalent la levée des camps qu'ils observent depuis le 12 Août à Ars- Laquenexy, Colombey, Montoy Flanville, et Borny.

En début de matinée l'avant-garde prussienne se met en marche et engage le combat. Une première colonne s'élance de Laquenexy vers Colombey en passant par Ars-Laquenexy. Une autre se dirige vers Marsilly. Elle se divise alors en deux ; une partie continue vers La Planchette, l'autre prend le château d'Aubigny. Au pied du château et aux abords de notre village la bataille fait rage. Les troupes prussiennes s'emparent du village de Colombey.

Les troupes françaises qui se replient sur Metz font demi-tour et engagent le combat. Les Prussiens maintiennent leurs positions entre La Planchette et Colombey, grâce notamment à l'appui de son artillerie qui est déployée entre Aubigny et Coincy. Les Prussiens très mobiles acheminent des renforts considérables venant de Pange et Courcelles Chaussy. Une partie de ces renforts traverse notre village et arrive sur la ligne de front par la route de Coincy. En fin de journée les combats souvent rapprochés font rage sur une ligne qui s'étend de la Route de Strasbourg à la route de Bouzonville. Le front français cède en son centre aux abords du village de Colombey. La nuit met fin aux combats. Les troupes françaises se replient sur Metz.

Cette bataille connue en France sous le nom de "Borny" et en Allemagne sous le nom de "Colombey Nouilly"  fit de nombreuses victimes 4900 hommes et 222 officiers côté prussien et 3418 hommes et 200 officiers côté français.

Cette bataille aura été indécise jusqu'au bout. Elle retardera le retrait de nos troupes, sans toutefois briser l'avance des Prussiens, qui franchiront la Moselle par l'Ouest et couperont la retraite de BAZAINE en direction de Chalons sur Marne après la bataille de Gravelotte. Ce dernier s'enfermera dans Metz et finira par capituler le 27 octobre 1870, livrant ainsi aux Prussiens 17300 hommes 1400 canons et 200000 fusils.

Croix en mémoire des premiers

Le 10 mai 1871 le traité de Francfort annexe l'Alsace et la Moselle à l'Empire Allemand jetant les bases d'un futur conflit encore plus meurtrier.

Les victimes de la bataille de Borny sont enterrées sur place ou dans les cimetières des localités environnantes. Le 14 Août 1870 les soldats français tués lors des premiers combats de la bataille de Borny sont tombés sur le territoire de notre commune. Ils ont été enterrés sur place aux abords de la route de Marsilly à l'emplacement des habitations de la rue des chevrottes et de la rue du Four à Chaux.

Il ne nous a pas été possible de retrouver le nombre et les identités des soldats qui ont laissé leur vie pour défendre la patrie.

Toutes les tombes ont été relevées entre 1923 et 1924. A l'issue de cette opération, il a été érigé une croix commémorative qui vient d'être rénovée par la commune avec l'aide de bonnes volontés.

 

 

 

( ESPB ) Die Opfer der Schlacht bei Colombey (Bataille de Borny)


Ein vorgeschlagener Cache für den Event " GC2RJAJ Les sangliers passent à la
broche ". Ziel dieser Serie ist das Bekanntmachen meines Dorfes aus Kindertagen… alles in allem nichts Spektakuläres, doch das wird sich mit der Zunahme von Caches in der Umgebung ändern :)
 

Die ersten Toten der Schlacht bei Colombey

 

Nach dem Zusammensturz des Ersten Kaiserreiches zum Versallen der Nationen geworden, erholte sich Frankreich nach und nach um fand wieder seinen Platz in Europa, sowie in Asien, Afrika und sogar in Mexiko.

Auch wenn Frankreich sein Wappen in der ganzen Welt wieder vergoldete, so blieb es an seiner Rheingrenze durch die Machtzugabe der Preußen gefährdet, welche ihren Einfluss über die anderen deutschen Staaten der Germanischen Konföderation ausbreitete. Der Sieg Preußens über Dänemark und Österreich brachte das europäische Kräfteverhältnis durcheinander.

Am 3. Juli 1870 beanspruchte der Vetter des preußischen Kaisers Wilhelm I den freigewordenen Thron Spaniens für sich. Frankreich sieht sich auf der Grenze zum Rhein und zu den Pyrenäen  gefährdet.

Am 19. Juli 1870 erklärte Frankreich Preußen den Krieg. Das Land fand sich damals von seinen Alliierten im Stich gelassen wieder, im Gegensatz zu Preußen, die ihren Einfluss auf die anderen deutschen Staaten ausgedehnt hatte.

Der Krieg überraschte die Französische Armee, die seit einigen Jahren ohne Erfolg bemüht waren, sich zu reformieren. Die französischen Soldaten fanden sich im Osten des Landes wieder, ohne Vorgesetzen, Ausrüstung und Munition.

Die französischen Truppen, die sich aus zwei von Napoleon III befehligten Armeen zusammensetzen, standen sich den drei Armeen unter General MOLKE gegenüber. Die dritte Französische Armee war im Begriff, sich in Chalon sur Marne zu formieren.

Am 2. August 1870, durch den Druck der Kaiserin und der Regierung, wurde Napoleon III gezwungen, Saarbrücken anzugreifen. Die französischen Truppen der Rheinarmee dringen in die offene Stadt ein. Die eroberten Positionen, die vom Generalstab als zu exponiert erschienen, wurden aufgegeben. Die Truppen zogen sich auf die Anhöhen von Forbach zurück.

Am 4. August 1870 wurde die Elsässische Armee von der Dritten Armee Preußens in Wissenbourg niedergeschlagen. Trotz der heroischen Aufgabe der Französischen Kavallerie in Reichshoffen, zog sich die Elsässische Armee über den Saverne-Pass zurück. Dieser Rückzug endete in Chalons sur Marne.

Am 6. August 1870 griff die Zweite Preußische Armee die Rheinarmee in Spicheren. Die französischen Truppen wurden geschlagen und zogen sich zurück.

Am folgenden Tag dieser Schlacht, nach längerem Zögern, zahlreichen Befehlen und Gegenbefehlen, beschloss Napoleon III die Zweiteilung der Rheinarmee. Der erste Teil der Truppen konzentrierte sich auf das linke Ufer der Nied, währenddem sich der zweite Armeeteil nach Chalon sur Marne zurückzog.

Die Armee, die in Lothringen zurückblieb, nahm den Namen „Armee von Metz“ an und wurde unter das Kommando von General BAZAINE gestellt, welcher mit Widerwillen die Verteidigung der Positionen am Nied akzeptierte. Der Kaiser verwarf ebenfalls die Idee, die Nied-Linie zu verteidigen und entschloss sich, seine Truppen auf die westliche Seite der Mosel zurückzunehmen. Seine einzige Sorge war es, Zeit zu gewinnen, um seine Verteidigungslinien in Chalons sur Marne verstärken zu können um so Paris zu schützen. In Metz lies er eine genügend groß Garnison zurück, die den Vormarsch der preußischen Truppen verlangsamen sollen.

Am Morgen des 14. August, während dem sich die französische Armee mühsam zurückzog, meldeten die Preußen die Aushebung von Feldlagern, die sie seit dem 12. August in Ars-Laquenexy, Colombey, Montoy, Flanville und Borny beobachteten.

Bei Tagesanbruch setzte sich die preußische Vorhut in Marsch und ging in den Kampf über. Eine erste Kolonne stürzte sich von Laquenexy nach Colombey, wobei sie Ars-Laquenexy passierten. Eine andere Kolonne stößt nach Marsilly vor. Sie teilte sich in zwei Teilen auf: der eine Teil zog weiter nach La Planchette, der andere nahm das Schloss von Aubigny ein. Am Fuße des Schlosses und in der näheren Umgebung unseres Dorfes tobte die Schlacht. Die preußischen Truppen nahmen das Dorf vom Colombey in ihre Gewalt.

Die französischen Truppen, die sich nach Metz zurückgezogen hatten, machten kehrt und beteiligten sich an der Schlacht. Die Preußen hielten ihre Positionen zwischen La Planchette und Colombey, dies dank der Unterstützung ihrer Artillerie, die zwischen Aubigny und Coincy stationiert waren. Die sehr mobilen Preußen sorgten erheblich für militärische Unterstützung von Pange und Courcelles Chaussy. Einen Teil dieser Truppen durchquerten unser Dorf und erreichten die Frontlinie aus Richtung der Strasse von Coincy. Am Ende des Tages tobten die oft nahen Kämpfe auf einer Linie, die sich von der „Route de Strasbourg“ bis zur „Route de Bouzonville“ erstreckte. Die französische Front gab in seiner Mitte in unmittelbarer Nähe Colombey nach. Die Nacht beendete die Kämpfe. Die französischen Truppen zogen sich nach Metz zurück.

Diese Schlacht, die man in Frankreich unter der „Schlacht von Borny“ kennt und in Deutschland  den Namen „Colombey Nouilly“ trägt, forderte zahlreiche Opfer: 4900 Männer und 222 Offizieren auf der Seite Preußens und 3418 Männer und 200 Offiziere of französischer Seite.

Diese Schlacht war am Ende ein Unentschieden. Sie bremste den Rückzug unserer Truppen, ohne aber den Vormarsch der preußischen Truppen verhindern zu können, die die Mosel vom Westen aus überquerten und den französischen Rückzug von BAZAINE in Richtung Chalon sur Marne nach einer Schlacht in Gravelotte abschnitten. Diese französischen Truppen verschanzten sich in Metz und kapitulierten am 27. Oktober 1870. 17300 Männer gingen in Gefangenschaft, 1400 Kanonen und 200000 Gewehre wurden den Preußen übergeben.

Croix en mémoire des premiers

Am 10. Mai 1871 wurde mit dem Frankfurter Vertrag der Anschluss vom Elsass und dem lothringischen Departement de la Moselle an  das Deutsche Kaiserreich besiegelt. Dies legte die Basis zukünftiger Konflikte, die noch tödlicher waren.

Die Opfer der Schlacht bei Colombey (Bataille de Borny) wurden entweder an Ort und Stelle begraben oder auf den Friedhöfen der naheliegenden Ortschaften. Am 14. August 1870 sind die ersten Soldaten der Schlacht auf unserem Gemeindegebiet gefallen. Sie wurden vor Ort in der Nähe der Strasse von Marsilly (route de Marsilly) bestattet, wo heute die Häuser der ‚rue de chevrottes’ und der ‚rue du Four à Chaux’ stehen.

Es war uns nicht möglich, die genaue Anzahl und die Identität der gefallenen Soldaten zu ermitteln, die hier fürs Vaterland gefallen waren.

All diese Gräber wurden zwischen 1923 und 1924 entfernt. Am Ende dieser Operation wurde ein Gedenkkreuz errichtet, welcher von der Gemeinde kürzlich renoviert wurde mit der Unterstützung von Menschen guten Willens.

Merci a Musikus pour la traduction en Allemand ;)

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