Les coordonnées du trésor sont à décoder à l'aide des caches #1 et #2 de la série.
la #1 vous donnera une grille à décoder, la #2 vous donnera la clé pour la décodage.
Munissez vous d'un stylo, d'une feuille de papier, d'un petit tournevis plat et d'une paire de gants.
Je vous conseille de prendre les photos spoiler pour les recherches, car dans les bois le GPS s'affole parfois.
La boîte contient plein de petits trésors à échanger pour le plaisir des petits et des grands.
Le Bois de Verrières
Implanté sur un plateau culminant à 173 mètres (point le plus haut de l’Essonne) et sur ses flancs dominant Bièvres, Igny et Verrières, le Bois couvre une surface de près de 580 ha dont 460 ha sur Verrières et 120 ha sur Châtenay-Malabry.
Le dessin de la forêt et l’organisation des principales allées, rayonnant autour d’un point central, permettent au promeneur, même non initié, de se repérer assez facilement.
Accessible aisément en de nombreux points, des équipements d’accueil y ont été aménagés. L’O.N.F. propose deux circuits de découverte de la forêt intitulés « les Sittelles » dont la brochure descriptive est disponible à l’Office de Tourisme.
Son histoire
Près d’une vingtaine de sites préhistoriques ont été identifiés, essentiellement à l’est du Bois. En 811, on peut lire dans les archives que la forêt dépendait de l’Abbaye de Saint-Germain-des-Prés, propriétaire de Verrières.
Des droits d’usage étaient concédés aux riverains de Verrières et d’Antony (même paroisse) pour qui le bois constituait une véritable richesse naturelle (bois de chauffage et de construction, paisse pour les ruminants et glandée pour les porcs, châtaignes…).
Le Bois faisait partie d’une immense forêt servant aux chasses royales. Henri iv fut le premier roi à pratiquer la chasse à courre à Verrières et pour faciliter ce loisir, Louis xiii fit tracer des allées rayonnantes depuis le carrefour de l’Obélisque. Louis xiv chargea Colbert d’acquérir la forêt pour la rattacher à la couronne royale en 1682.
Il y fit construire un rendez-vous de chasse, détruit à la Révolution, et, à sa lisière, un pavillon dans lequel Louise de la Vallière, selon la légende, aurait résidé (à l’origine du château des Vilmorin).
Les animaux sauvages qui peuplaient la forêt (daims, cerfs et chevreuils) pâturaient dans les champs voisins, ce qui entraîna de vives réactions des riverains notamment à la Révolution.
Afin d’éviter de connaître un nouveau 1870 et de protéger Paris, cinq batteries, articulées autour d’un réduit, y furent construites en 1875.