[En]
Government source
Description: If on one side we find an access compartment with two hinged doors on the other side, there is a large compartment served by two large sliding doors for loading and transport of parcels and retail shipments . The body is metal, reduced jig welded sheets. It originally had a side convoy lookout Observing that appears to have been dismantled in the first half of the 1950s two-axle chassis is 4.50 m wheelbase. It is characteristic of standard constructions 1950 standard type. He wears, besides the equipment of continuous brake, the screw brake. The interior design is in accordance with the destination of the van: there is a compartment for the conductor with a desk, a bench, a heating stove, folds lockers, toilets. The wide sliding doors of the freight compartment to allow loading and unloading of packages.
History: The presence of a van in a freight train being compulsory and facing a large shortage of this type of equipment, SNCF decided in the aftermath of World War II, in 1600 ordering vans Type Standard D. These cars will delivered in 1949-1955 by the French Society of Railway Equipment, Transportation Equipment Industrial Company and the institutions Soulé Bagnères-de-Bigorre. These cars are registered M 921 000 to 923 299, and in 1968 30 87 940 1600-940 3199 Uk 6.14. In 1985, the remaining copies pass Traction service park. In 1991 he left 32 on strength. Many are converted into maneuvering accompanying vans in large yards. Finally some end their career paths as observation vans in railway contractors. At the station, the last copies were withdrawn from service in 1985. While many have been preserved to this day is through a radical transformation started wandering. Originally mounted on chassis with two axles of 4m50 of wheelbases, they are equipped with a welded metal box, the template is curiously reduced to develop a sort of glass cage side for convoy surveillance. A way to replace the watch at a time when the single-phase high-voltage current, experienced in Savoy, enhances the risk of electrocution in roofing lookouts. These glass cages are all registered. Van M called these vans are incorporated in freight trains tail: they are used to transport small packages and contain the trains head of the office, a summary management. By 1952, the caboose is removed from the line of freight trains, but this type of van is going to take its place in serving on so-called secondary lines of rural France, this van is inseparable. The conductor will manage the composition of the convoy and scriptures to suit different cars taken or left at stations. It ensures the conveyor folds and values ??of different stations to and from the capital district. It manages the loading of packages and deliveries. As to measurement of change in function of these vans, several windows have been closed, while new were used, for example on the end faces for the observation of the channel. The van-type M, whose design dates back to the 1950s, is the smallest existing rail vehicle for freight trains. Its size explains its purpose: it houses the conductor, in charge of the convoy of freight cars, which records all the cars he leaves or takes in stations. It is also used to transport small packages and this is the only vehicle (locomotive apart) where there is a human presence in a freight train. Having existed in all scale model builders, they are emblematic of their time for amateurs. In the US, this van named caboose allows convoy defense (shots) against the attackers. In England the brake van serves as braking. In France, it is designed as a walking administrative office. This car is parked on the railway Train of Seagulls, 21 km of track in Charente-Maritime. He is no longer allowed to travel on SNCF track, so it can not get out of this line. It may be parked, according to requirements, in the stations of 17390 La Tremblade, 17530 Arvert, 17890 Chaillevette where it is most often Mornac 17113 or 17600 Saujon.
[Fr]
source gourvernement
Description : Si d'un côté nous trouvons un compartiment d'accès avec deux portes battantes, de l'autre côté, se trouve un vaste compartiment desservi par deux larges portes coulissantes, permettant le chargement et le transport des colis et des expéditions de détail. La caisse est métallique, à gabarit réduit en tôles soudées. Elle comportait à l'origine une vigie latérale d'observation du convoi qui semble avoir été démontée dans la première moitié des années 1950. Le châssis est à deux essieux de 4,50 m d'empattement. Il est caractéristique des constructions normalisées des années 1950 type standard. Il porte, outre l'équipement du frein continu, celui du frein à vis. L'aménagement intérieur est conforme à la destination du fourgon : on y trouve un compartiment pour le chef de train avec un bureau, une banquette, un poêle de chauffage, des casiers à plis, des sanitaires. Les larges portes coulissantes du compartiment à marchandises permettent le chargement et le déchargement des colis.
Historique : La présence d'un fourgon dans un train de marchandise étant obligatoire et face à une grande pénurie de ce type de matériel, la SNCF décida, au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, de commander 1600 fourgons type Standard D. Ces wagons seront livrés de 1949 à 1955 par la Compagnie Française de Matériel de Chemin de Fer, la Compagnie Industrielle de Matériel de Transport et par les établissements Soulé de Bagnères-de-Bigorre. Ces wagons sont immatriculés M 921 000 à 923 299, puis à partir de 1968 30 87 940 1600 à 940 3199 Uk 6.14. A partir de 1985, les exemplaires subsistants passent au parc de service Traction. En 1991 il en reste 32 à l'effectif. Beaucoup sont reconvertis en fourgons d'accompagnement de manoeuvre dans les grands triages. Enfin un certain nombre finissent leur carrière comme fourgons d'observation de voies dans des entreprises de travaux ferroviaires. A la SNCF, les derniers exemplaires ont été retirés du service en 1985. Si beaucoup ont été préservés à ce jour, c'est dans le cadre d'une transformation radicale en baladeuses ouvertes. A l'origine montés sur châssis à deux essieux de 4m50 d'empattements, ils sont équipés d'une caisse métallique soudée, dont le gabarit est curieusement réduit, afin d'aménager une sorte de cage vitrée latérale permettant la surveillance du convoi. Une façon astucieuse de remplacer la vigie, à une époque où le courant monophasé haute tension, expérimenté en Savoie, renforce les risques d'électrocution dans les vigies de toiture. Ces cages vitrées seront toutes déposées. Ces fourgons dénommés Fourgon M sont incorporés en queue de trains de marchandise : ils servent au transport des petits colis et contiennent le bureau du chef de trains, d'un aménagement sommaire. Dès 1952, le fourgon de queue est supprimé des trains de marchandises de ligne, mais ce type de fourgon va prendre toute sa place dans la desserte sur les lignes dites secondaires de la France rurale, ce fourgon en est indissociable. Le chef de train y gère la composition et les écritures du convoi en fonction de différents wagons pris ou laissés dans les gares. Il assure le convoyage des plis et des valeurs des différentes gares vers ou en provenance du chef-lieu d'arrondissement. Il gère les livraisons et chargement des colis. Au fur et à mesure du changement de fonction de ces fourgons, plusieurs fenêtres on été fermées, alors que de nouvelles étaient pratiquées, par exemple sur les faces frontales pour l'observation de la voie. Le fourgon type M, dont la conception remonte aux années 1950, est le plus petit véhicule ferroviaire pour trains de marchandises existant. Sa taille explique son usage : il abrite le chef de train, responsable du convoi de wagons de marchandises, qui enregistre tous les wagons qu'il laisse ou prend dans les gares. Il est également utilisé pour le transport des petits colis et c'est le seul véhicule (locomotive mise à part) où on trouve une présence humaine dans un train de marchandises. Ayant existé en modèle réduit chez tous les constructeurs, ils sont emblématiques de leur époque pour les amateurs. Aux Etats-Unis, ce fourgon nommé caboose permet la défense du convoi (tirs) contre les assaillants. En Angleterre, le brake van sert de freinage. En France, il est conçu comme un bureau administratif ambulant. Ce wagon est stationné sur le chemin de fer Train des Mouettes, 21 km de voies ferrées en Charente-Maritime. Il n'est plus autorisé à circuler sur voie SNCF, il ne peut donc sortir de cette ligne. Il peut être garé, selon nécessités du service, dans les gares de 17390 La Tremblade, 17530 Arvert, 17890 Chaillevette où il est le plus souvent, 17113 Mornac ou 17600 Saujon.
train des mouettes : (
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TVNP : (
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Gouvernement : (
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