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Lab'onus de la Tour à Plomb Mystery Cache

Hidden : 7/28/2022
Difficulty:
2 out of 5
Terrain:
1.5 out of 5

Size: Size:   micro (micro)

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Geocache Description:


Fonderies et tour à plomb


Comment trouver la cache ?

Pour savoir où se trouve cette cache-bonus, vous devez d'abord jouer l'AdventureLab : "Les fonderies de Couëron" . Vous obtiendrez ainsi les coordonnées de la cache. Une demi-heure devrait vous suffire pour jouer l'ensemble.

 

Pour commencer la visite, cliquez ici !

 

L'histoire des fonderies

La création

Les fonderies de Couëron sont créées en 1861 sur le site d’un ancien chantier de construction navale. L’usine traite le minerai de plomb argentifère pour en extraire des tonnes de plomb et quelques centaines de kilos d’argent chaque année. À cette époque, le minerai ainsi que la houille nécessaires pour chauffer les fours arrivent par bateaux. Des quais sont donc aménagés devant l’usine pour faciliter le déchargement. En 1877, la tour à plomb est érigée. L’année suivante, des laminoirs sont installés. Les « Fonderies et laminoirs de Couëron » transforment alors des lingots de cuivre en fils, tubes, barres, etc.… En 1879, les fonderies fusionnent avec la société des mines de "Pontgibaud" en prennent ce nom.

L'apogée

L'usine connaît son âge d'or dans la première moitié du XXe siècle. Couëron devient alors une ville ouvrière et industrielle. Pour loger les nouveaux ouvriers, les cités « Bessonneau » et du « Bossis » sortent de terre au début des années 20. En 1932, l’usine emploie 1200 personnes. Abimée par la seconde guerre mondiale, l’usine est reconstruite et l'activité redémarre après-guerre.

Le déclin

À partir des années 50, l’usine produit également un peu d’aluminium et de laiton mais commence à connaître des difficultés. En 1964, les fonderies fusionnent avec une autre société pour devenir « Tréfimétaux ». La situation financière va se dégrader progressivement malgré la mise en place d'un atelier de production de flancs monétaires (ébauches de pièces de monnaie). De nombreux conflits sociaux ont lieu. Le plus célèbre est sans doute celui des « 12 femmes en colère » en 1975. L’usine ferme définitivement ses portes en 1988.

Le renouveau

Au début du XXIe siècle, la commune rachète les bâtiments pour un euro symbolique. Elle réhabilite partiellement le site pour y installer la médiathèque « Victor Jara » et des locaux associatifs.

Additional Hints (Decrypt)

N unhgrhe qrf lrhk.

Decryption Key

A|B|C|D|E|F|G|H|I|J|K|L|M
-------------------------
N|O|P|Q|R|S|T|U|V|W|X|Y|Z

(letter above equals below, and vice versa)