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Les communes du Nord : Lewarde Traditional Geocache

Hidden : 5/9/2021
Difficulty:
2 out of 5
Terrain:
1.5 out of 5

Size: Size:   micro (micro)

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Geocache Description:


Les communes du Nord est une série de caches particulières construites grâce à la collaboration entre les géocacheurs.

Basé sur la participation volontaire, le principe de la série est simple : le premier qui le désire se propose pour poser une cache dans la ou les communes de son choix, selon les préconisations suivantes :

 

Dans le département du Nord, il y a 650 communes, à vous de jouer...

Mise à jour le 01/11/2021

Pour réserver votre commune, mettre à jour votre contribution sur cette carte et faire entrer votre cache dans la liste des signets, merci d'envoyer un mail à ces adresses dédiées à la série :
communesdunord@gmail.com et communesdu59@gmail.com


Par retour de courriel, nous vous adresserons le code html pour la série "Les communes du Nord". Pour plus de facilités à retrouver les caches, le Titre de votre cache devra commencer par "Les communes du nord: ville".

Nous sommes heureux d'étendre au Nord, l'idée originale d'ATMO Studio que nous remercions sincèrement pour son aide. La première série "Les communes de Vendée" est née non loin de La Roche sur Yon, à Nesmy .


Lewarde

Géographie

Communes limitrophes

Communes limitrophes de Lewarde
Guesnain Loffre  
  Lewarde Masny
Roucourt Erchin  

 

 

 

 

 

Voies de communication et transports

La commune est traversée par la route départementale 645 de Douai à Denain ainsi que par les routes départementales 132 et 135.

Lewarde est desservie par la ligne A du réseau de transport de Douai.

Climat

Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole1. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs2.

Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000Note 1. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-20001


  • Moyenne annuelle de température : 10,5 °C
  • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,4 j
  • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 2,8 j
  • Amplitude thermique annuelleNote 2 : 14,7 °C
  • Cumuls annuels de précipitationNote 3 : 692 mm
  • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12 j
  • Nombre de jours de précipitation en juillet : 9,1 j

Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat5 complétée par des études régionales6 prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Pecquencourt », sur la commune de Pecquencourt, mise en service en 19627 et qui se trouve à 5 km à vol d'oiseau8,Note 4, où la température moyenne annuelle est de 10,8 °C et la hauteur de précipitations de 743,8 mm pour la période 1981-20109. Sur la station météorologique historique la plus procheNote 5, « Cambrai-Épinoy », sur la commune d'Épinoy, dans le département du Pas-de-Calais, mise en service en 1954 et à 12 km10, la température moyenne annuelle évolue de 10 °C pour la période 1971-200011 à 10,5 °C pour 1981-201012, puis à 10,9 °C pour 1991-202013.

Urbanisme

Typologie

Lewarde est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'InseeNote 6,14,15,16. Elle appartient à l'unité urbaine de Douai-Lens, une agglomération inter-départementale regroupant 67 communes17 et 503 966 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue. L'agglomération de Douai-Lens est la dixième plus importante de la France en termes de population, derrière celles de ParisLyonMarseille-Aix-en-ProvenceLille (partie française)ToulouseBordeauxNiceNantes et Toulon18,19.

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Douai dont elle est une commune de la couronneNote 7. Cette aire, qui regroupe 61 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants20,21.

Occupation des sols

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (58,5 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (64,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (53,5 %), zones urbanisées (27,4 %), forêts (7,6 %), mines, décharges et chantiers (6,5 %), prairies (5 %)22.

L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (xviiie siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)23.

Toponymie

  • au xiie siècle : Warda Sti-Remigü (chronique Gisleb).
  • 1246 : Custodia de S. Remigio (1er cartulaire d'Artois).
  • 1255 : Le Warde Saint-Rémi Titre d'Anchin (Escallier)24.

Étymologie

Lewarde est évidemment une variante du mot Leeuwarden (néerlandais),ou Ljouwert (frison), qui est le nom d'une ville des Pays-Bas, ce qui rappelle le passé flamand du département du Nord. Pour son étymologie, la deuxième partie du mot désigne un tertre artificiel dans les langues nordiques (wierde, woerd, warf, warft, werf, wurt ou værft (en néerlandais ou vieux frison) construit pour se protéger aussi bien des calamités naturelles que d'éventuels ennemis. La première partie est plus obscure. Diverses étymologies sont avancées. L'une d'elles propose que cela vienne du néerlandais luw- : abrité du vent. En picard, "warde" correspond à "garde". Lewarde correspondrait au lieu d'où l'on surveille.

Histoire

Archéologie

Lewarde dans son canton et son arrondissement

  • 1843 : Époque celtique, découverte d'une précieuse monnaie gauloise en cuivre, portant une tête casquée et au revers un coq debout.
  • Époque romaine : trouvées à diverses reprises médailles romaines ; urnes remplies de cendre et cachées dans les carrières de grès ; quatre têtes en bronze de style gallo-romain24.

Le village de Lewarde prend naissance sur une crête boisée (les monts Saint-Rémi) autour d'une zone fortifiée, construite par le comte de Hainaut au xiiie siècle, d’où l'on pouvait surveiller la frontière commune aux Comtés de Flandres et de Hainaut.

De cette zone fortifiée, il ne reste rien. Mais, c'est à cet endroit supposé, sur le fief de Lewarde, que fut construite l'église du village.

Le fief de Lewarde comprenait, au Moyen Âge, environ la moitié de la commune, l'autre étant incluse au fief des Vésignons. Ce dernier comprenait et comprend toujours un bois où l'on peut admirer une tour et un obélisque.

Aux xviiie et xixe siècles, de riches familles vécurent à Lewarde : les Béharelle, Dervaux, Delegorgue... d'où l'édification d'importantes maisons bourgeoises ou de châteaux. On retrouve certains de ces patronymes sur les pierres tombales du cimetière.

À la fin de l'Ancien Régime, c'est dans l'une des habitations de la cité que naquit Jacques-François Momal qui deviendra très vite un peintre renommé.

Au xixe siècle commence l'édification de chapelles à Lewarde, la dernière datant des années 1950.

Lors des deux conflits mondiaux, les habitants de la commune furent durement touchés. Deux monuments aux morts commémorent ces événements.

Le village vivait autrefois de l'agriculture, mais aussi de l'extraction du grès qui reste très présent dans le village, en particulier à l'église et son ancien cimetière. Ces activités furent remplacées, au début du xxe siècle, par l'extraction houillère comme en témoignent la « cité Béharelle », l'ancien cavalier minier des Houillères, la Fosse Delloye et son Centre Historique Minier, et par le développement d'une brasserie.

Aujourd'hui, le syndicat d'initiative de Lewarde a planté une vigne, dans les anciens jardins du presbytère au pied de l'église, entretenu par des bénévoles de l'association.

Sur le site de l'ancienne fosse Delloye se trouve aujourd'hui le plus grand Centre historique minier de France. C'est à la fois un centre de documentation et un lieu touristique qui présente de nombreux objets, outils et machines. Le visiteur, guidé par d'anciens mineurs, peut également se faire une idée du travail dans les mines de charbon en parcourant des galeries reconstituées. Elles reprennent le concept des mines-images utilisées par les compagnies minières pour la formation de leurs personnels.

Source Wikipedia).


Blason

 

Le lieu

Le château de Lewarde est une belle construction du XVIIIe siècle; une pierre de fondation donne la date de 1765. Il a été construit en brique et pierre, des pilastres à refends marquent ses angles et délimitent les trois  travées centrales de ses deux façades principales bâties intégralement en pierre; au-dessus de la porte de la façade principale, un balcon borde la fenêtre de l'étage; de part et d'autre de ces 3 travées, les fenêtres des parties latérales au nombre de deux pour chacun des deux niveaux de l'élévation sont séparées par des panneaux de brique; les baies de l'ensemble du niveau supérieur sont plus petites que celles du rez-de-chaussée. Une balustrade couronne la construction et dissimule la toiture. La façade regardant vers le parc est composée de la même façon que celle qui vient d'être décrite, son ornementation est très riche; des clefs timbrent les encadrements à peine cintrés des ouvertures, deux consoles en volute soutiennent le balcon en fer forgé de la fenêtre centrale; deux autres guirlandes les rattachent à un masque de femme disposé dans une coquille. A l'intérieur, l'escalier a conservé une belle rampe d'escalier en fer forgé aux courbes délicates. Le château avait été doté d'importantes dépendances dont l'entrée en plein cintre est surmontée d'un pigeonnier carré.

Éléments protégés MH : les façades ; la rampes en fer forgé ; la salle de billard au rez-de-chaussée avec son décor de gypseries : inscription par arrêté du 21 mars 1983.

Additional Hints (Decrypt)

W'nv qh pbheevre ?

Decryption Key

A|B|C|D|E|F|G|H|I|J|K|L|M
-------------------------
N|O|P|Q|R|S|T|U|V|W|X|Y|Z

(letter above equals below, and vice versa)