Au coeur d'un triangle et derrière quelques palmiers se nichait des thermes aux parfums orientaux depuis le début de 1905.
Le culte hygieia était ici célébré par les petites gens qui ne possédait pas le confort moderne hydrique.
L'ouverture avait lieu tous les matins à 5 h l'été et 6 h l'hiver. Le service coûtait 20 centimes savon et serviette compris pour le choix en le bain simple ou la douche de vapeur.
La concurrence était dure en 1906, en effet ce n'est pas moins de quatre autre établissements qui se disputaient le marché de la bonne hygiène publique.
Depuis le milieu des années 1970, tout a disparu au profil d'un art international qui évoquait à l'époque le sommet de la modernité.
Cette structure aux murs rideaux ne fait plus rêver et l'architecte est voué par certains aux gémonies ...
Il faudra donner à Jean-Baptiste l'italien le nom de ce bâtiment d'art international en majuscule en trois mots sans espaces afin de révéler la position de la géocache.
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À partir du côté nord du triangle prendre la rue allant vers le nord-est et au premier carrefour chercher dans le panneau.
Cornélius 47