La cache ne se trouve pas aux coordonnées
Pour trouver l'emplacement final vous devrez avoir terminé l'Aventure Labcache du Suquet en ayant noté les 5 réponses.
Il est possible que certaines zones soient temporairement inaccessibles, notamment en cas d'évènements culturels
Qu'est-ce que l'Adventure Lab ?
Si vous avez déjà participé à un Mega ou un Giga Event vous connaissez sans doutes les lab caches. Pour les autes, il s'agît de caches virtuelles créées par les organisateurs, spécialement pour ces évènements.
Groundspeak ayant décidé d'étendre ce type de géocaches, a donné la possibilité à d'autres propriétaires d'élaborer eux-mêmes des aventures virtuelles hors event. Chaque aventure comporte au maximum 5 labcaches et donne la possibilité à l'owner de créer une cache bonus mystery.
Comment ça marche ?
L'adventure lab se joue depuis un smartphone via une application.
L'Adventure lab du Suquet se télécharge en cliquant sur l'icône ci-dessous :
Ou via le QR Code suivant
Ou via ce lien : https://labs.geocaching.com/goto/le_suquet
Après chaque réponse un mot indice vous sera dévoilé. Veuillez entrer les mots dans l'ordre en MAJUSCULES et sans espace dans le checkeur certitudes.
Vous pouvez valider votre solution d'énigme avec certitude.
Pour aller plus loin concernant l'adventure lab ...
La chapelle de la Miséricorde marque la limite entre le pied du quartier historique et le Suquet dit « contemporain » délimité par la rue du Dr Pierre Gazagnaire à l’ouest, la rue Louis Blanc à l’est, le boulevard Victor Tuby au nord et la promenade de la Pantiero au sud où se trouve l’hôtel de Ville.
La chapelle est vendue pendant la Révolution, les confréries étant interdites. Celle des pénitents noirs renouvèle son activité en 1815 après la chute de Napoléon 1er et le retour au pouvoir des Bourbons.
Depuis 2012, la chapelle abrite l’ancien orgue mobile du compositeur Pierre Cochereau.
L’hôtel de ville a été édifié en 1876 sur les plans de l’architecte Louis Durand. Rectangulaire et de style néoclassique il s’élève sur 4 niveaux avec colonnes doriques, sculptures du blason de la ville et 16 caryatides (statues de femmes vêtues d’une longue tunique).
Jusqu’en 1941 le musée d’histoire naturelle y était installé, avant que les services administratifs prennent possession du bâtiment.
La rue St Antoine étant connue comme la plus ancienne, il n’est donc pas étonnant d’y trouver le plus ancien puits de la cité. Lorsque l’abbaye de Lérins décide d’édifier la forteresse sur le tertre, la principale préoccupation est de pouvoir y amener l’eau. Une seule source d’eau douce coule au pied de la colline. Les activités du village sont liées à l’agriculture (blé et olivier), ainsi qu’à la pêche.
Le dynamisme commercial est lié à l’activité portuaire, ainsi qu’à la richesse de la ville de Grasse qui y exporte tissus et cuirs.
La construction de l’église Notre-Dame-d’Espérance ne débute qu’au XVIe, l’idée est d’échapper à l’emprise des abbés de Lérins. C’est près de 100 ans plus tôt, en 1447, que les habitants décident de se constituer en commune libre.
Elle devait être à l’origine érigée « à l’imitation de celle de Roquebrune-sur-Argens, mesurant 18 cannes de long, 6 de large et terminée dans les 3 ans moyennant 2000 floris, 15 écus et 50 barils d’anchois ».
Les chapelles latérales sont dédiées aux confréries d’artisans chargées de leur décoration.
De l’entrée, à droite on trouve successivement : la chapelle des Baptêmes, celle de St Pierre, du Sacré Cœur et de la vierge. Sur la gauche, la chapelle de Ste Thérèse, de St Nicolas (patron de la ville) et Ste Rita.
Au-dessus du maître-hôtel se trouve la statue de Notre Dame d’Espérance, en bois doré, datant du XVIIe. Elle est placée sous le vitrail central représentant l’Annonciation.
Au-dessus de l’entrée, le grand orgue italien de Pavie, datant de 1857. Il dispose de 30 jeux sur 2 claviers et pédalier.
La place de l’église est occupée chaque année par le festival des Nuits Musicales du Suquet durant la 2è moitié du mois de juillet.
De l’ancien château, et des traces du Moyen-Âge en général, il ne reste plus grand-chose, si ce n’est cette imposante tour carrée qui domine la ville, ainsi que la chapelle fortifiée de forme arrondie.
Guillaume 1er le Libérateur fait don en 960 à Rodoard, chef d’une branche familiale de la maison de Grasse, en récompense de sa fidélité, d’un modeste castrum avec le fief d’Antibes dont les terres de Cannes en font partie.
D’un château en bois qui aurait vu le jour à la fin du Xe siècle, le site sera transformé en une véritable forteresse lors de la session d’une partie des terres de Guillaume de Gruette, fil aîné de Rodoard, qui entre dans les ordres.
Au XIe siècle bon nombre de fortifications voient le jour dans une région en proie aux attaques sarrasines, aux corsaires et autres bandes qui sévissent sur les terres. C’est donc vers 1080 que la construction débute.
En 1131 la donation est confirmée par le Comte de Provence, le lieu est connu sous le nom de Castellum Marcellini. En 1178 il prend l’appellation de Castellum Francum.
Un système de signalisation par des feux entre la tour du monastère fortifié de Lérins et celle du Suquet est installé en 1327. La Tour du Castellum n’est achevée qu’en 1365.
Le château est fortement endommagé dès la fin du XVIe, puis partiellement détruit au XVIIIe sur ordre de l’évêque de Grasse. Il sera vendu à la Révolution, servira de demeure d’habitation avant d’être loué à une manufacture de céramique « La Faïencerie d’art du Mont-Chevalier » avant d’être racheté par la mairie en 1919 pour en faire un musée. La tour et la chapelle sont classés au titre des Monuments Historiques depuis le 28 juillet 1937.
Le musée de la Castre voit son appellation changer au 1er janvier 2021, devenant le MEM « Musée des Explorations du Monde ».