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GENDARMERIE Traditional Geocache

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Hidden : 4/5/2020
Difficulty:
1.5 out of 5
Terrain:
1.5 out of 5

Size: Size:   micro (micro)

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Geocache Description:


La gendarmerie de sa naissance à aujourd'hui

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La gendarmerie, héritière des maréchaussées

La gendarmerie est l'héritière des maréchaussées dont la création remonte à la guerre de Cent ans (1337 – 1457) pour contrôler les débordements des troupes. La déclaration du 25 janvier 1536 étend la compétence de ces compagnies à la population civile. Les réformes du XVIIIe siècle créent la première force de police à caractère national. L'édit de 1720 sédentarise les unités, permettant ainsi une continuité dans le service. Après la réforme de 1778, toutes les compagnies ne forment plus qu'un corps unique : la maréchaussée, comptant 4 114 hommes à la veille de la Révolution.

Cette période est décisive puisqu'elle détermine les attributions de la maréchaussée puis de la gendarmerie pour plusieurs siècles : rechercher et poursuivre les malfaiteurs, assurer la libre circulation des biens et des personnes, observer la bonne marche des troupes, veiller au bon ordre dans les fêtes et autres assemblées, maintenir en toutes circonstances la sûreté et la tranquillité publiques.

Le 16 février 1791, une loi organise et crée une nouvelle institution, héritière de l'ancienne maréchaussée : la gendarmerie nationale. La loi du 28 germinal an VI (17 avril 1798), considérée comme « la grande Charte » de la gendarmerie, vient réformer le corps et augmente les effectifs qui passent à 10 000 hommes. Le Consulat dote l'institution d'un état-major spécifique, supprimé par Louis XVIII, dont le commandement est confié au général – puis maréchal – Moncey.

Lors de la restauration

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Lors de la restauration, l'institution paie d'une épuration drastique le prix de sa participation à l'épisode napoléonien.

La légion d'Afrique, créée en 1839, se distingue tout particulièrement au combat de Taguin en 1843. Quelques années plus tard, en 1849, la garde républicaine est rattachée à la gendarmerie. En 1854, un décret réorganise l'institution. Toujours sous le Second Empire, la gendarmerie fait à nouveau preuve de son savoir-faire combattant en prenant part à la guerre de Crimée, notamment lors du siège de Sébastopol en 1855, ainsi qu'au conflit franco-allemand de 1870-1871.

Le décret du 20 mai 1903 ne modifie pas les missions de l'Arme, mais réaffirme son statut militaire. Pendant la première guerre mondiale et conformément aux prescriptions réglementaires, la gendarmerie doit assumer le rôle peu enviable de prévôt et voit son image brouillée auprès des combattants. Cette période est pourtant féconde en transformations. En février 1918, le gouvernement met en place une sous-direction de la gendarmerie, dont le commandement est confié au lieutenant-colonel Plique. Par ailleurs, les gendarmes reçoivent le rang de sous-officier.

L'entre-deux-guerres

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L'entre-deux-guerres est également une période de grandes mutations pour l'Arme. En 1921, chargés du maintien de l'ordre, sont créés des pelotons mobiles de gendarme, en renfort des brigades, rattachés aux légions de gendarmerie départementale.

Ces unités prennent le nom de garde républicaine mobile (GRM) en 1926. Cette formation ne prend toute sa mesure qu'en septembre 1927 avec la création des légions autonomes de GRM. Entre 1927 et 1939, seize légions sont constituées. En 1933, le groupe spécial de Satory est formé. Il fournit l'essentiel du personnel et du matériel du 45e bataillon de chars de combat. Ce dernier résiste lors des combats du printemps 1940 dans les Ardennes. Un monument commémoratif situé à Sy (08) immortalise son action.

Pendant l'Occupation

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Pendant l'Occupation, les missions de la gendarmerie sont commandées par le gouvernement de Vichy et par l'occupant. Des gendarmes participent ainsi à la déportation des Juifs et à l'arrestation des réfractaires au service du travail obligatoire. D'autres choisissent la voie de la Résistance et combattent pour la libération du pays, seuls ou en unités constituées (groupements Daucourt et Thiolet notamment).

Nombre de gendarmes ont par la suite pris part aux guerres de décolonisation notamment en Indochine et en Afrique du Nord. Deuxième force armée présente en Indochine, la gendarmerie assure des missions d'encadrement et de surveillance, souvent au sein de postes isolés sur lesquels les soldats Viêt-minh opèrent de nombreuses attaques. Au cours de ce conflit, les gardes républicains mobiles perdent 682 des leurs et comptent 1 500 blessés sur un effectif global de 15 000 hommes. En Afrique du Nord, 541 officiers, gradés, gendarmes auxiliaires et harkis tombent entre 1952 et 1962.

Depuis la Seconde Guerre mondiale, la gendarmerie ne s'est jamais autant diversifiée et modernisée. Son commandement supérieur, après avoir été rattaché à la justice militaire au sein d'une direction de la justice militaire au sein et de la gendarmerie en 1947, trouve une nouvelle autonomie en 1981 avec la création de la Direction générale de la gendarmerie nationale. Dirigée depuis 1947 par un civil, magistrat ou préfet, elle l'est depuis 2004 par un général de gendarmerie.

La gendarmerie départementale

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La gendarmerie départementale va évoluer au fil des années.

La gendarmerie départementale voit également son champ d'action étendu avec la mise en place d'unités composées d'un personnel spécialisé, pour les missions de surveillance générale et de protection des personnes et des biens (pelotons de surveillance et d'intervention – Psig – créés en 1975, pelotons de montagne, brigades fluviales, sections aériennes), de police de la circulation routière (pelotons motorisés, escadrons et pelotons d'autoroute...), de police judiciaire (unités de recherches, institut de recherche criminelle de la gendarmerie nationale pour la police scientifique).

De plus, pour renforcer et optimiser le service des brigades, les centres opérationnels de gendarmerie (COG) sont créés en 1990 et les Communautés de brigades (Cob) en 2005.

La gendarmerie mobile

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La gendarmerie mobile, dont l'appellation s'est substituée à celle de garde républicaine mobile en 1954, reste une force spécialisée dans le maintien de l'ordre.

Après les événements de 1968 et leurs enseignements, la gendarmerie mobile se dote d'un centre de perfectionnement installé à Saint-Astier en 1969. De même, dans les années 1970, pour faire face à la montée de la menace terroriste, l'embryon est formé de ce qui est appelé aujourd'hui le Groupe d'intervention de la gendarmerie nationale (GIGN).

Les gendarmeries spécialisées

https://www.gendarmerie.interieur.gouv.fr/var/ezwebin_site/storage/images/accueil/notre-institution2/notre-histoire/la-gendarmerie-de-sa-naissance-a-aujourd-hui/les-gendarmeries-specialisees/64526-1-fre-FR/Les-gendarmeries-specialisees_full.jpg

L'institution comprend également des formations spécialisées parmi lesquelles :

 La garde républicaine chargée de la protection des hautes autorités de l'État et des palais nationaux

 La gendarmerie maritime devant assurer la sécurité dans les arsenaux et les établissements relevant de l'état-major de la Marine. Elle dispose d'une flotte de patrouilleurs pour des missions de service public à la mer. Elle exerce des fonctions de police judiciaire et de police administrative, tout comme les gendarmeries spécialisées citées ci-après

 La gendarmerie de l'air, contrôle les bases et les établissements de l'armée de l'Air 

 La gendarmerie de l'armement, surveille les établissements relevant de la délégation générale pour l'armement 

 La gendarmerie des transports aériens, chargée de la police des zones, non accessibles au public, dans les aérodromes civils et des enquêtes judiciaires consécutives aux accidents aériens

 La gendarmerie de la sécurité des armements nucléaires 

 Par ailleurs, un corps spécifique constitué du corps technique et administratif pour les officiers et du corps de soutien technique et administratif de la gendarmerie nationale est créé en 2000 pour assurer le soutien de l'ensemble de l'Institution.

 Aujourd'hui, la gendarmerie représente une force de plus de 100 000 hommes et femmes, d'active ou de réserve présents sur l'ensemble du territoire national métropolitain et d'outre-mer. Dans le cadre de son action internationale et de ses missions de défense, la gendarmerie déploie en permanence près de 1 200 personnels à l'étranger.

Depuis 2002, la gendarmerie nationale est placée pour emploi auprès du ministre de l'Intérieur et depuis 2009, elle fait partie intégrante du ministère de l'Intérieur.

SOURCE :Ministère de l’Intérieur.

Fin de soirée pour VALENTIN...

En retournant chez lui après une soirée arrosée Valentin est passé en voiture devant la Gendarmerie voisine...Hélàs ,les gendarmes aussi étaient de sortie et lui ont fait essayer un objet "à usage unique"...et il a du rentrer chez lui..à pied  !!!! dépité , il s'est mis au GEOCACHING et a dissimulé le "CADEAU DU GENDARME"...

L’Objet caché contenant le logbook est l'un de ceux-ci smileywink:

Dräger Alcotest® 6820

Alcotest 6820 : Contrôle de l’alcoolemie... 

Compact, cet instrument de mesure de poche se distingue par des temps de réponse très courts et est conforme aux réglementations internationales. Équipé d‘un boîtier encore plus solide et d‘un capteur  l‘Alcotest® 6820 analyse le taux d‘alcool présent dans l‘air expiré.

Quelques accessoires

Alimentation électrique :Piles alcalines ou jeu de batteries rechargeables pour le 6820

Câble de connexion PC avec interface USB

Chargeur de véhicule

 

Embout bucal (« Slide’n’click »)

 

Pochette en cuir noir ou jaune pour fixation à la ceinture

 

 

 

 

 

 

Additional Hints (Decrypt)

A'NEENPURM CNF, RAYRIRM CEHQRZZRAG, RG ENPPEBPURM OVRA YR PNQRNH QH TRAQNEZR N HFNTR HAVDHR...

Decryption Key

A|B|C|D|E|F|G|H|I|J|K|L|M
-------------------------
N|O|P|Q|R|S|T|U|V|W|X|Y|Z

(letter above equals below, and vice versa)