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ALPHONSE DUPEUX Traditional Geocache

Hidden : 11/22/2019
Difficulty:
2 out of 5
Terrain:
1.5 out of 5

Size: Size:   small (small)

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Geocache Description:


Bien que verte cette GC comporte un petit indice car le GPS est un peu fatigué angryet vous mènera vers le centre de la place d' Arlac où n'est pas la boîte.. ..pour vous inviter à lire le descriptif une piste y est incluse....cherchez et trouvez..

Pour les "cadors"..rien de difficile..

Pour les débutants ..de quoi inciter à essayer les GC  mystéry bleues-point d'interogation...ou multiples oranges...

 

Qui était Alphonse Dupeux, ?
Né à Rochefort en 1851, il avait passé sa thèse à Paris en 1877. Installé à Bordeaux, il épousa en 1880 Suzanne Blanc, la fille du propriétaire du château Brown à Léognan. Tout lui souriait, jusqu’à une succession de drames personnels : en peu de temps, il avait vu mourir de la tuberculose sa mère, ses quatre soeurs et ses trois enfants, dont une fille de 16 ans et un fils de 25 ans. Il décida alors de se consacrer à trouver comment lutter contre cette terrible maladie en créant L’Œuvre du sanatorium girondin.
En 1903, il ouvre le premier dispensaire antituberculeux bordelais, sur le modèle de celui du Dr Calmette à Lille, au 10 de la rue François-de-Sourdis, pour y pratiquer des consultations gratuites et préconiser des conseils d’hygiène. A cette fin, une souscription publique fut ouverte, et la ville de Bordeaux céda pour vingt ans, moyennant un loyer annuel de un franc, le terrain sur lequel fut construit ce dispensaire. L’œuvre se chargeait de l’assistance alimentaire des tuberculeux (distribution hebdomadaire de viande de bœuf et de cheval, de lait, d’œufs, etc …). Exceptionnellement, des secours de loyer étaient accordés aux plus nécessiteux ou à ceux pour lesquels un changement d’habitation était reconnu nécessaire. Des crachoirs de poche et de nuit étaient distribués largement avec du lysol. En une année, nombre de malades examinés dans ce dispensaire: 274 hommes (dont 69 reconnus tuberculeux, parmi lesquels 9 enfants au-dessous de 15 ans) et 312 femmes (75 reconnues tuberculeuses, dont 13 enfants de moins de 15 ans).
Le 1° mars 1917, le docteur Dupeux signe avec le maire à Lège, M. Guérin, un sous-seing privé « contenant vente pour un montant de 100 francs » au Comité Girondin d’un terrain destiné à un sanatorium pour soldats tuberculeux, la future Pignada.
Le 18 juin 1918, il cède à la Ville de Bordeaux le sanatorium de Feuillas qui deviendra ainsi l’établissement emblématique de la toute jeune Fédération des Oeuvres Girondines anti-tuberculeuses, présidée par le professeur Arnozan. La Pignada rejoindra la Fédération le 12 février 1920.

Alphonse Dupeux, l’un des chefs les plus influents du Parti radical-socialiste, fut conseiller municipal en charge de l’assistance et de l’hygiène publique dans la municipalité Paul-Louis Lande.
Vers 1890, il avait fait bâtir un immeuble 129, rue de Pessac, où il s’éteindra le 4 mars 1920, victime d’une congestion pulmonaire.

Histoire de l’église saint Victor BORDEAUX

L’église Saint Victor a été fondée en 1905, sur la dernière grande prairie existant alors dans le quartier. Elle voit le jour grâce à l’abbé Bauzin, curé bâtisseur qui répond à la politique du diocèse au début du XXe siècle, à savoir l’évangélisation à tout prix des nouveaux quartiers populaires de Bordeaux.

Jusqu’aux années 1939/1945,les chiffres de la population qui travaillait dans les usines implantées dans ce quartier ( lessive Saint Marc, manufacture des tabacs, verrerie Domerc…) sont importants.. Un curé avait dit que « la paroisse était riche de pauvres et pauvre de riches ». La population ne trouvait pas sa place dans les paroisses alentour. Aussi les fondateurs ont voulu une paroisse et une église où tous se sentent à l’aise ainsi qu’ un patronage pour les très nombreux enfants . On peut dire que la paroisse a été crée dans un but missionnaire.

La première chapelle, en bois, a brûlé. Il est décidé dès 1936 de construire un édifice en dur. L’abbé Bourceau (enterré dans la chapelle St Victor) a eu bien des difficultés a faire bâtir cette église en dur pendant la guerre de 39-45.

La charpente métallique (ne risque pas de prendre feu !) est achetée à la verrerie d’Arlac, fermée en 1930 (L’actuelle Place d’Arlac, devant l’église St Victor, a pris le nom de l’usine qui y était implantée). Et cependant en 1946, un tiers de l’église brûle.

Le 19 octobre 1947 Mgr Feltin a consacré l’église.

L’édifice adopte un plan allongé doté d’un chevet plat et d’un narthex, précédé par un vaste escalier et un porche. Il se compose d’une nef unique rythmée par cinq travées possédant une ouverture dans chaque axe et délimitées par des arcs doubleaux.

Les statues monumentales de Jésus accueillant bras ouverts les fidèles et de Saint Victor sont de Joseph Rivière. Les autres statues en pierre sont un don du ministère des Beaux-Arts  et ont été transférées depuis Paris.

Le tabernacle en cuivre martelé, les chandeliers et la ferronnerie sont de la Maison Garde.

Pourquoi Saint Victor ? simplement parce que l’archevêque, Mgr Lecôt , qui l'a crée, se prénommait Victor.

Additional Hints (Decrypt)

...TCF NCCEBKVZNGVS..YVFRM YR QRFPEVCGVS ..FHEGBHG YRF PNENPGRERF RA TENF...YN OBVGR RFG GERF CERF QH FBY

Decryption Key

A|B|C|D|E|F|G|H|I|J|K|L|M
-------------------------
N|O|P|Q|R|S|T|U|V|W|X|Y|Z

(letter above equals below, and vice versa)