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Jean Royer Traditional Geocache

This cache has been archived.

miguaine: Bonjour kitty37000,

Cache archivée pour permettre éventuellement à un autre géocacheur d'en placer une dans le secteur.

Cordialement,
Miguaine - "Geocaching HQ Volunteer Reviewer"

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Hidden : 10/8/2019
Difficulty:
1.5 out of 5
Terrain:
1.5 out of 5

Size: Size:   small (small)

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Geocache Description:


la cache demande de la discrétion, elle se situe près d'une école et d'une zone commerçante. Je vous laisse un peu d'histoire :

Jean Royer, né le 31 octobre 1920 à Nevers (Nièvre) et mort le 25 mars 2011 à Chambray-lès-Tours (Indre-et-Loire), est un homme politique français, maire de Tours, ministre sous les deux derniers gouvernements Pierre Messmer et candidat à l'élection présidentielle de 1974.

Il est élu député en Indre-et-Loire en novembre 1958 ; il siège à l'Assemblée nationale parmi les non-inscrits jusqu'en 1993.

Il remporte l'année suivante, en 1959, la mairie de Tours, bénéficiant du soutien de Charles de Gaulle en tant qu'ancien délégué du RPF en Indre-et-Loire. Il lance, dans les années 1960, une importante politique d'extension de la ville, annexant les communes de Sainte-Radegonde-en-Touraine et de Saint-Symphorien afin d'augmenter la surface de terrains constructibles. Outre la construction du quartier Sanitas, son œuvre majeure reste l'aménagement sur quatre kilomètres des rives du Cher, déviant et viabilisant le cours de la rivière pour y construire un important quartier de barres d'immeubles et une base de loisirs comprenant un lac artificiel. Il suscita cependant la controverse en soutenant le passage de l'A10 en bordure de la ville, coupant Tours de l'est de l'agglomération, mais aussi l'admiration, faisant ainsi du centre historique de Tours l'un des premiers périmètres urbains classés de France en 1964.

Cependant, sa rivalité avec Michel Debré, maire de la ville voisine d'Amboise, écarte Tours du statut de capitale de la région Centre au profit d'Orléans, en 1964. On prête également à Michel Debré d'avoir influé sur le choix de cette ville, à la suite de son échec personnel lors des élections législatives de 1962 en Indre-et-Loire2.

Considéré comme conservateur et réactionnaire, Jean Royer signe des arrêtés interdisant la projection de films pornographiques et ordonnant la destruction d'une ancienne maison de tolérance, qui sera finalement conservée, après une campagne de défense du site, en souvenir de Georges Courteline (l'écrivain y aurait passé quelques soirée gaillardes et les fresques, signées Jacquemin, qui ornent l'établissement avaient une réelle valeur artistique)3. En 1968, il chasse de Tours Michel-Georges Micberth et ses collaborateurs qui avaient fondé « un centre de recherche en psychosexologie normale et pathologique4 ».

Il est nommé ministre du Commerce et de l'Artisanat dans le deuxième gouvernement Pierre Messmer, en avril 1973 ; il abandonne alors son mandat de député, mais reste maire de Tours. En décembre 1973, il est l'auteur de la loi d'orientation du commerce et de l'artisanat (loi Royer), qui réglemente l'ouverture des grandes surfaces de plus de 1 000 m2 dans le but de soutenir les petits commerces. Il est brièvement, au début de l'année 1974, ministre des Postes et Télécommunications.

Après la mort subite de Georges Pompidou, début avril 1974, Jean Royer démissionne de sa fonction de ministre pour se lancer dans la course à l'Élysée. Il se présente comme le candidat de droite de l'« ordre moral ». Durant la courte campagne, certains de ses meetings sont chahutés : ainsi, à Toulouse, des étudiants scandent des slogans obscènes et exhibent des posters osés pour protester contre la politique moraliste de Jean Royer en cette période de révolution sexuelle5. À Lille, où il exprime sa volonté de développer, une fois élu, la production charbonnière de la France, il obtient un certain succès. Au soir du premier tour, il arrive en quatrième position, en recueillant 3,17 % des voix (810 540 voix). Beaucoup de ses voix provient d'Indre-et-Loire et des départements limitrophes.

Jean Royer se recentre ensuite sur son mandat de maire de Tours, et retrouve son siège de député le 9 mai 1976, après la démission de Jean Chassagne. Son action en tant que maire est cependant ralentie à partir de 1974 par la crise économique et l'exode rural : la ville commence à perdre des habitants, le grand projet des Rives du Cher doit être revu à la baisse. Néanmoins, comme par le passé, si sa politique municipale demeure teintée de certaines décisions autoritaires, Jean Royer reste d'un grand recours dans les situations de crise : après l'effondrement du pont de pierre en avril 1978, faisant preuve d'un grand sang-froid, il a chapeauté le ravitaillement en eau de la ville de Tours.

Plus tard, dans les années 1980, la ville stagne économiquement, l'agglomération est frappée par d'importantes vagues de fermetures et de licenciements (notamment à la SKF, fabrique suédoise de roulements à billes, à Saint-Cyr en 1989). L'arrivée du TGV en plein centre-ville, la construction du centre de congrès Vinci, d'après les plans de l'architecte Jean Nouvel, sont à mettre au crédit de Jean Royer. Mais briguant un nouveau mandat lors des élections municipales de 1995, il est battu par Jean Germain (PS) à l'occasion d'une triangulaire. Acceptant sa défaite, Jean Royer décide de se « retirer totalement de la mairie ».

 

 

Additional Hints (Decrypt)

Nffrm fvzcyr, ibhf a'nivrm cnf orfbva q'vaqvpr :) Qvfpeégvba boyvtr

Decryption Key

A|B|C|D|E|F|G|H|I|J|K|L|M
-------------------------
N|O|P|Q|R|S|T|U|V|W|X|Y|Z

(letter above equals below, and vice versa)