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Histoire du XXème siècle: La police génétique Mystery Cache

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SLAG62: Au revoir !!!!!

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Hidden : 7/17/2019
Difficulty:
4 out of 5
Terrain:
1.5 out of 5

Size: Size:   micro (micro)

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Geocache Description:


Par une loi du 31 août 1832, la France abolit le marquage au fer rouge des condamnés, une mutilation humiliante et dégradante utilisée depuis fort longtemps. Des techniques vont être développées par la police pour tenter d'identifier les récidivistes par d'autres moyens mais sans grands succès dans un premier temps.

A cette époque, on utilise des experts scientifiques privés pour faire avancer les enquêtes (armuriers, médecins ou chimistes). En 1878, le laboratoire central de la Préfecture de Police de Paris est créé. En 1881, la première salle d'autopsie de Paris est inaugurée.

En 1882, Alphonse Bertillon révolutionne le système de signalement et de classement en créant le « signalement anthropométrique ». Neuf mesures de l'ossature vont être réalisées et consignées dans le fichier du condamné ainsi que la couleur de l'iris gauche. En 1888, on ajoute au dossier des clichés photographiques standardisés.

En 1896, grâce aux différents travaux de Henry Faulds, Sir Francis Galton, Jean Vucetich et Edward Henry, on ajoute les empreintes digitales (uniques pour chaque être humain) de la main droite des condamnés dans le signalement anthropométrique. En 1901, Landsteiner découvre un « marqueur génétique » : le groupe sanguin.

En 1910, Edmond Locard crée le premier laboratoire de police scientifique français.

En 1943, on institue au niveau national, pour la première fois, un « service de police technique relevant de la direction générale de la police nationale chargé de rechercher et d'utiliser les méthodes scientifiques propres à l'identification des délinquants ».

L'ADN, acide désoxyribonucléique, est la molécule support universel de l'information génétique.

En 1953, James Watson et Francis Crick poursuivent les travaux d'Oswald Avery et proposent un modèle pour la molécule : deux chaînes, enroulées en hélice autour du même axe. Chaque chaîne est constituée d'une suite (ou séquence) de plus petites molécules appelées nucléotides. Il existe quatre nucléotides : adénine (A), thymine (T), cytosine (C) et guanine (G). Ces nucléotides sont associés par paires complémentaires (A et T, C et G). Les deux chaînes de l'ADN sont reliées entre elles par des liaisons entre nucléotides.

On estime que l'ensemble de l'ADN d'un être humain est constitué d'environ 3 milliards de paires de nucléotides. En 1985, grâce aux travaux de Alec Jeffreys, on découvre que chaque être humain a une séquence ADN propre (à l'exception des vrais jumeaux) et qu'il est possible d'observer les variations d'un individu à l'autre. En 1986, le concept “d'empreinte génétique” est né.

L'IRCGN est créé en 1990 et l'Institut National de Police Scientifique (INPS) en 2001.

Dans les années 2000, les méthodes d'analyse sont automatisées et un fichier des empreintes génétiques des condamnés est créé.

L'Empreint génétique

sources: ina.fr -afp- Wikipedia

 

 

 

Additional Hints (Decrypt)

Znefuryy Averzoret 1301-9144-3763-6212-4035-1199-5821-3958-0019-1280-2671-9546-1153-8779-5005-3416

Decryption Key

A|B|C|D|E|F|G|H|I|J|K|L|M
-------------------------
N|O|P|Q|R|S|T|U|V|W|X|Y|Z

(letter above equals below, and vice versa)