Voici une petite série de caches qui n’a pour prétention que de vous faire découvrir ce lieu hors du temps sous divers angles et vous inviter ensuite à flâner dans ses ruelles et éventuellement visiter son château (vu qu’il n’est pas libre d’accès, vous n’y trouverez pas de cache).
Soyez discrets, il en va du devenir des caches et remettez les bien à leur place. Bonne promenade !
La visite du village médiéval et de sa forteresse s'impose !
Dénommé "le nid d'aigle" ou "la citadelle du vertige", Penne se dresse telle une sentinelle veillant sur les gorges de l'Aveyron. Le village se déploie le long de l'éperon rocheux sous la protection de son château médiéval, forteresse inexpugnable, chef d'œuvre d'architecture militaire, défiant les lois de la pesanteur. Étroitement liés, le village et le château forment le castrum caractérisé par son parcellaire et le tracé maillé de ses ruelles sinueuses qui se développaient intra-muros.
Découvrez ce village de charme qui a conservé son authenticité, ses ruelles étroites bordées de maisons à colombages bois et encorbellements, ses anciennes mesures à grains, ses andrones, ses fenêtres à meneaux et portes Louis XIII…
Le château :
La silhouette du château apparaît érigée au sommet de l'éperon rocheux défiant les lois de l'équilibre. Cette forteresse inexpugnable, fleuron de l'Occitanie et chef d'œuvre d'architecture militaire, plonge le visiteur au cœur du chantier médiéval.
Un parcours ludique et instructif pour petits et grands dévoile les techniques de construction médiévales, le fonctionnement des machines de guerre et l'adaptation de l'architecture à une stratégie défensive.
L'église Sainte-Catherine :
Implantée en bordure d'enceinte, l'église Sainte-Catherine constitue une pièce de fortification avancée participant à la défense de la cité. Le chevet s'incorporait aux remparts avec sa haute tour polygonale flanquée jusqu'à mi-hauteur de solides contreforts. De larges créneaux rustiques couronnent l'ensemble sous toiture dans la continuité du chemin de ronde. Des ouvertures y sont aménagées après la guerre de Cent ans pour les tirs d'arquebuses.