Lavoir d'Orits
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Si le
s femmes allaient par devoir au lavoir laver leur linge, elles y ont certainement construit quelque chose de poétique par leurs conversations, les mots qu’elles y chuchotaient... Ces abris seraient autant de témoignages de ces temps où les femmes se reflétaient dans ces miroirs d’eau et de cendres.
Mémoires d’eau est une scène de vie fictive où se croisent femmes du passé et vies du présent. Les portraits d’habitants d’Hélette, sérigraphiés et mis en scène par l’artiste, animent le lavoir de poésie.
Caro Worboys s’intéresse aux individus, à la place que chacun prend dans la communauté et à ses échanges avec l’Autre. La rencontre avec les personnes qu’elle photographie, ainsi que le thème de la Femme, prennent une place importante dans son œuvre.
Parmi les récits légendaires qui ont pour cadre les lavoirs se dégagent ceux qui concernent les Laminak, ces femmes de petite taille avec des pieds de canard et qui ont de nombreux contacts avec les humains. Elles vivent dans des grottes et ne sortent que la nuit pour se rendre près des sources ou sur le bord des ruisseaux pour faire leur toilette, se peigner et se laver leur linge. C'est ainsi que les femmes et les hommes peuvent rencontrer les Laminak.
Écoutez couler l'eau et vous entendrez probablement fredonner le refrain d'une célèbre chanson du siècle dernier interprétée entre autres par Georges Guétary ! :
"Tant qu'y aura du linge à laver
On boira de la manzanilla
Tant qu'y aura du linge à laver
Des hommes on pourra se passer
Et tape et tape et tape avec ton battoir
Et tape et tape tu dormiras mieux ce soir…"
Et si vous ne l'avez pas déjà entendu voici une interprétation de la chanson :
Les lavandières du Portugal par Sylvère Morisson
La Cache
Contenu initial de la cache (12x5cm): Log book, Info Géocaching…
Le lieu pouvant être fréquenté et la cache exposée aux regards, soyez discrets dans vos recherches et replacez la à l’identique pour ne pas compromettre sa survie.