Skip to content

Street Art Lorient #8 : Bois du Château Multi-cache

This cache has been archived.

lapin56100: Suite à la disparition du lieu abritant le dispositif, j'archive définitivement la cache.

More
Hidden : 4/15/2018
Difficulty:
2 out of 5
Terrain:
1.5 out of 5

Size: Size:   micro (micro)

Join now to view geocache location details. It's free!

Watch

How Geocaching Works

Please note Use of geocaching.com services is subject to the terms and conditions in our disclaimer.

Geocache Description:


Le Street Art


Le street art ou art urbain est un mouvement artistique contemporain qui regroupe toutes les formes d’art réalisées dans la rue, où dans des endroits publics. Il englobe diverses techniques telles que le graffiti rapide sur mur, la réclame, le pochoir, la mosaïque, le sticker, l'affichage, voire le yarn bombing (techniques utilisant du fil) ou les installations. C'est principalement un art éphémère vu par un large public. Les fresques murales sont parfois des solutions alternatives pour limiter les tags sauvages.

Le graffe est associé à la culture hip-hop, un mouvement apparu dans les années 1970 à New York, mais aussi dans le même temps à Los Angelès, à Philadelphie Le hip-hop, c’est une culture de masse, une culture populaire, un état d’esprit, des expressions artistiques rassemblées autour de trois pôles : musical (rap, ragga, …), corporel (break dance, smurf, hype, …), graphique (tag, graffe), le tout englobé dans un culture urbaine (mode de vie, langage, mode vestimentaire, état d’esprit, économie ...). Par ailleurs, le graffe (on écrit aussi graff', graf', il n’y a pas de règles établies) appartient au mouvement graffiti (du mot italien graffiti signifiant « dessin gravé », qui vient du verbe italien « graffiare » qui veut dire graver). Si à l’origine le graffiti est surtout composé de tags qui apparaissent de manière compétitive sur les véhicules de transports urbains, les artistes graffiti furent obligés de changer de cible et se tournèrent vers la peinture murale. En France, le graffiti connaît de multiples techniques picturales.

Bois du Château


Le château c’est celui de Tréfaven, édifié au Moyen Age sur la rive du Scorff. Le bois c’est le domaine qui entourait celui-ci.et qui apparaît encore sur un plan de 1779, mais qui est rasé en 1805, après une expropriation au profit de l'État. Le défrichement permit l'installation de nouvelles fermes. Jusqu’au début du vingtième siècle ce territoire appartient à la commune de Ploemeur, puis à la commune éphémère de Keryado jusqu’à peu après la seconde guerre mondiale. Jusqu'aux années 60, ce secteur conserve une dominante rurale, avec une dizaine d'exploitations agricoles. En 1955, des abattoirs municipaux sont construits à Kerdual, à proximité du Scorff. Tout change en 1966 avec la création d'une zone HLM, puis d'une zone d'urbanisation prioritaire (ZUP) en 1967. A cette époque, Lorient connaît un fulgurant essor démographique. Entre 1954 et 1968, la population de Lorient passe d’environ 47000 à 66500 habitants. Dans l'euphorie des « trente glorieuses », la municipalité anticipe sur les besoins en logements populaires. Bois-du-Château devient un secteur d'habitations à loyer modéré. On y construit des tours : beaucoup de logements sur peu de foncier. Les grands équipements suivent (groupe scolaire, foyer pour personnes âgées, équipements sportifs, parc paysager).


En dix ans, à marche forcée, Lorient a sorti de terre une « banlieue de l'intérieur ». Dans cette euphorie, Lorient frôle les 70 000 habitants en 1975. On rêve des 100 000 pour l'an 2000. La réalité sera tout autre. En trente ans, la ville perd 11 000 habitants, au profit des communes voisines. A Bois-du-Château, la croissance s'arrête. Les équipements vieillissent, les logements séduisent moins, les nouveaux habitants sont souvent de condition plus précaire que leurs prédécesseurs. Deux populations se côtoient : celle des débuts, qui n'a plus d'enfants scolarisés, et des familles souvent d'origine étrangère, plus jeunes, moins intégrées au modèle originel. Une certaine fragilité sociale s'installe. Malgré une rénovation urbaine, malgré l’activité et le dynamisme de la maison de quartier et de l’association d'animation et de gestion qui entretiennent le lien social, ce quartier situé à l’entrée de Lorient souffre d’une mauvaise image, pas très reluisante, et garde une image de banlieue.

Du côté de la rue Gabriel Fauré, à l’angle de la rue Hector Berlioz, sur le soubassement de l’immeuble allant du numéro 1 (Les Oliviers) au numéro 7 (Les Pommiers), s’étend une fresque d’environ 70 mètres. Il s’agit en fait d’un ensemble de 13 tableaux aux motifs variés et de factures très diverses. Réalisés en 2008 par BDC PROD (la maison de quartier du Bois-du-Château), ils évoquent tout à la fois le métissage, le monde animal, mais également la revendication identitaire.


Coordonnées


Pour déterminer les coordonnées de la cache, il vous faudra répondre aux questions suivantes.

Quel est le nom de l’arbre, au singulier, de l’entrée numéro 3 de l’immeuble ? Soit X la somme réduite des nombres donnant le rang de chacune des lettres formant ce mot de 9 lettres.

Quel est le nom de l’arbre, au singulier, de l’entrée numéro 5 de l’immeuble ? Soit Y la somme réduite des nombres donnant le rang de chacune des lettres formant ce mot de 9 lettres.

La cache est aux coordonnées suivantes :

N 47° 45.(134X)’ W 003° 22.(76Y)


(Vérification : N=5 et W=7)


Soyez très discret !



Additional Hints (Decrypt)

Pbva / Zntaégvdhr

Decryption Key

A|B|C|D|E|F|G|H|I|J|K|L|M
-------------------------
N|O|P|Q|R|S|T|U|V|W|X|Y|Z

(letter above equals below, and vice versa)