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À la découverte des Salins Multi-cache

Hidden : 1/29/2018
Difficulty:
2 out of 5
Terrain:
1.5 out of 5

Size: Size:   micro (micro)

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Geocache Description:


Available in English - click here :

Disponible en Español - haga clic aquí :

 


Bienvenue dans le quartier du Salin, quartier au croisement des magnifiques Carmes et Saint-Étienne. Maisons anciennes, temples et palais, vous trouverez votre compte en termes de richesse patrimoniale. Le quartier doit son nom au grenier à sel royal où s'approvisionnaient les revendeurs se trouvant à proximité. Par ailleurs, le marché au salé est une survivance de l'ancien marché au porcs, qui se tenait au moment de Noël. La place était enfin très connue pour être un lieu d'exécutions.

 

Je vous propose donc une cache type Multi qui vous fera faire le tour du quartier, en observant les nombreuses curiosités emblématiques des Salins. Comme toutes les Multis de la série, une description du patrimoine à chaque Waypoint viendra égayer vos découvertes et vos recherches d’indices. Mais pour les encore-plus curieux, n’hésitez pas à aller feuilleter les pages du génial livre Toulouse, secret et insolite - Les trésors cachés de la ville rose, de C. Clément et S. Ruiz, pour découvrir l’histoire de tous les bâtiments et curiosités architecturales que vous allez découvrir avec cette Multi.

La Multi ne pose aucune difficulté de terrain, les bâtiments visités sont tous situés dans un périmètre restreint. Un bon géocacheur aura parcouru les différents lieux et réuni tous les indices en moins d’une demi-heure. Un astérisque indiquera pour chaque Waypoint s’il est possible d’entrer dans le bâtiment (aux horaires d’ouverture), chose (vraiment) intéressante à faire mais pas nécessaire pour la résolution des questions. Tous les Waypoints sont en effet situés à l’extérieur des bâtiments afin de privilégier une balade à toute heure de la journée. De plus, les questions pour chaque Waypoint sont relativement simples, pour vous éviter une énième balade si le checker vire au rouge. Vous trouverez de nombreux autres bâtiments et curiosités historiques dans le quartier, les Waypoints ne sont évidemment pas exhaustifs, alors ouvrez les yeux !

 

Commencez votre périple, 7 Waypoints vous attendent !

WP1 – À côté de la plaque N 43° 35.733 E 001° 26.586

Savez-vous qu'il existe un système astucieux pour se repérer dans Toulouse lorsque vous êtes perdus ? Il faut bien avouer que la municipalité a fait fort cette fois-ci. Tout part d'un point de repère, non pas de l'Hôtel de Ville, comme les édiles l'avaient prévu en 1806, mais de l'incontournable Garonne. C'est très simple ! Si vous vous trouvez devant une plaque de rue jaune à pans coupés, alors il s'agit d'une rue parallèle au fleuve, numérotée également sur fond jaune, de l'amont vers l'aval (pairs à droite, impairs à gauche). En revanche, si vous apercevez une plaque blanche ou des numéros sur fond blanc, vous êtes dans une rue perpendiculaire à la Garonne ou oblique, les numéros remontant depuis le fleuve. Ce dispositif fut généralisé en 1815 et on fit appel au faïencier Fouque pour la production industrielle de plaques de céramique avec lettres au manganèse. La manufacture, située près de Saint-Sernin, s'installa ensuite à Saint-Gaudens et produisit jusqu'à la fin du XIXe siècle la fameuse porcelaine bleue dite "de Valentine." Le principe de la plaque signalétique remonte au XVIIIe siècle. Quelques propriétaires prirent l'initiative d'en faire graver en pierre. Toutefois, il fallut attendre une ordonnance du 14 janvier 1752 pour voir les capitouls prendre les choses en main. Ils firent réaliser cent quatre-vingt-onze plaques en fer blanc peintes à l'huile, qui furent balayées par la Révolution. Le 6 floréal de l'an II (1794) fut publié le tableeau des nouvelles appellations. Évocatrices de l'atmosphère politique de l'époque, elles allaient bientôt disparaître à leur tour. En 1875 furent adoptées les plaques en fonte, inscrites en bleu sur fond blanc. Que de choix à l'angle des rues Pierre-Brunière et de la Fonderie. Combien de plaques (métallique et « sculptée ») ornent l’angle de ces deux rues ?

WP2* – Un rempart et des canons à l'Institut N 43° 35.726 E 001° 26.584

Vous vous situez devant l'Institut catholique, rue de la Fonderie, l'une des rares voies publiques à avoir conservé son appellation révolutionnaire. Avant de connaître son origine, il faut savoir que le portail de l'Institut s'ouvre sur un univers d'une richesse historique insoupçonnée. Deux galeries aménagées sous la façade ouest permettent en effet de découvrir le rempart du Bas-Empire, dégagé sur une longueur de 71 mètres, et classé Monument historique le 11 décembre 1963. À cette époque, le contexte était tout autre dans la ville rose... Vers 270, les menaces de troubles et d'invasions barbares incitèrent en effet les cités de la Gaule romaine à renforcer leur protection. L'enceinte toulousaine existante était complétée par une fortification faisant face à la Garonne, composée d'une unique courtine à parement de briques, sans tour, dotée d'une poterne. Imbriqués dans le soubassement du mur fait de mortier et de galets concassés, on découvre avec stupéfaction de nombreux fragments de blocs sculptés, comme jetés pêle-mêle à la hâte. Chapiteaux, consoles à volutes, tronçons de colonnes et de statues sont autant de vestiges de monuments funéraires démantelés, pratique ordinaire à l'époque. L'origine de ces vestiges est toute simple. La grande nécropole qui s'étendait le long de la voie Narbonnaise au sud de la cité, à l'instar de la voie Appienne à Rome, fut en effet utilisée comme carrière.

L'autre caractéristique historique de l'Institut catholique est qu'à partir du XIVe siècle et jusqu'à la Révolution, le site fut occupé par un couvent. Fondé à Toulouse vers 1246, la communauté des pauvres dames de Saint-Damien, dites aussi minorettes ou clarisses*, se réfugia à l'abri des remparts pendant la guerre de Cent Ans. [*en 1212, sainte Claire, âgée de 19 ans, fonda avec saint François d'Assise le premier couvent de femmes rattaché à l'ordre mendiant des franciscains, qui s'installa près de l'église Saint-Damier à Assise] Les filles de sainte Claire étaint loin d'imaginer que ce lieu de réclusion et de silence allait être reconverti, de 1793 à 1866, en fonderie de canons. La République devait affronter la menace étrangère, notamment espagnole, et Toulouse devint une ville de garnison et d'industries d'armement. À la fin du XIXe siècle, on changea de nouveau de décor, et l'Université catholique s'installa dans les lieux. Conformément à la loi Jules Ferry, elle dut abandonner cette appellation en 1880 pour prendre le nom d'Institut catholique. C'est une bien drôle de sculpture qui se trouve au-dessus du portail d'entrée... Mais ce qui nous intéresse ici se trouve plus haut sur la façade. Combien de fenêtres rondes comptent le bâtiment sous son toit ?

WP3 – Le bon sauvage N 43° 35.684 E 001° 26.592

Qui est donc ce petit bonhomme barbu et bien en chair, à l'affût dans sa niche ? En veut-il à votre bourse ou bien est-il posté là afin de protéger le quartier des visiteurs indésirables (N.D.L.R. Moldus) ? La rue de l'Homme-Armé et sa voisine, la rue de la Hache, évoquent en effet quelque coupe-gorge hanté par les rôdeurs. Au XVe siècle, la première portait pourtant l'appellation très pacifique de "ruelle où s'ouvre le jardin des minorettes", religieuses du couvent de Sainte-Claire-du-Salin. À partir de 1550, elle devint la "rue du Sauvage." Est-ce Peyronnet Delfau, propriétaire en 1476 de l'auberge du même nom, qui fit sculpter cette enseigne à l'angle de sa maison ? Cette statuette rustique compte-t-elle parmi les représentations de sauvages qui se multiplièrent après la découverte du Nouveau Monde ? Quoi qu'il en soit, sa posture explicitement ithyphallique et menaçante lui donne un air canaille en accord avec l'ambiance du lieu : non seulemeent deux auberges se faisaient face au XVIe siècle dans cette rue mais, dès le XIIe siècle, la prostitution se pratiquait dans l'actuelle rue des Moulins, non loin du Château narbonnais et de ses garnisons. Lorsque vous êtes face à la statuette, retournez-vous. Combien de trous sculptés comptent la porte en bois ?

WP4 – Le mal-aimé N 43° 35.672 E 001° 26.683

Toulouse peut être fière d'avoir donné naissance à l'un des plus grands juristes français de la Renaissance. Pourtant, les relations entre Jacques Cujas et sa ville furent loin d'être idylliques... Né en 1520 au n°12 de la rue qui porte désormais son nom, ce fils de drapier était un étudiant brillant, formé à la très prestigieuse faculté de droit de la cité. On venait alors à Toulouse de toute l'Europe "pour y apprendre le droit romain, c'est-à-dire pour se préparer à gouverner les cités et à instruire les peuples." À 25 ans, le jeune professeur ouvrit un cours privé où il dispensa durant sept ans un enseignement fort apprécié. Son avenir semblait tracé lorsqu'il brigua la chaire de droit romain... Mais le jury lui préféra son concurrent, le jurisconsulte Forcadel. Cujas, acquis aux idées nouvelles de la Réforme, tourna alors le dos à ceux qui n'avaient pas su reconnaître sa valeur ; d'autres surent l'accueillir à bras ouverts à Cahors, Valence, Paris, Turin ou Bourges, ville dans laquelle il finit par se fixer. Il fallut attendre le XIXe siècle pour que la municipalité de Toulouse se souvienne enfin du grand homme. Après de nombreuses délibérations, on finit par retenir le projet d'une statue de Cujas en bronze. Inaugurée en 1850, elle se dressait face à la cour d'appel. Pas pour longtemps ! Lors de l'aménagement de la place du Salin, on fit pivoter la statue, si bien que la malheureuse tournait le dos aux passants. Les ennuis continuèrent lorsqu'elle fut récupérée sous l'Occupation pour être fondue. Quant à sa remplaçante en pierre, elle fut mystérieusement décapitée en 1994, à la veille de la célébration du 550e anniversaire du parlement. Le moule du modèle original, retrouvé dans l'atelier Giscard, a heureusement permis une reconstitution en résine. Quel mot est écrit sous le nom de ce juriste ? Remplacez chaque lettre par son chiffre équivalent dans l’alphabet. Calculez ensuite la racine numérique.

[Petite aide pour les non-matheux ! La racine numérique d’un nombre est obtenue en additionnant les valeurs associées à chacun de ses chiffres, puis on reprend le processus avec les valeurs associées aux chiffres du nombre obtenu et ainsi de suite jusqu’à ce qu’il ne reste qu’un seul chiffre. Prenons le nombre 4589. 4 + 5 + 8 + 9 = 26 et 2 + 6 = 8. La racine numérique de 4589 est 8.]

WP5* – Étonnante reconversion N 43° 35.697 E 001° 26.672

La façade au décor néo-gothique de ce temple protestant, ouvert au culte depuis 1911, a de quoi piquer la curiosité... Une imposante tour carrée disposée à l'angle de l'édifice évoque une maison forte, tandis que les bâtiments austères alignés sur l'impasse présentent des vestiges de fenêtres gothiques. Vous voici transportés au Moyen Âge devant l'ancienne Trésorerie royale, appelée Maison du Roi. Implantée sans doute peu de temps après le rattachement du comté de Toulouse à la couronne de France, en 1272, elle se dressait comme un symbole fort du pouvoir. Le roi y séjournait même lorsqu'il était de passage à Toulouse. À l'intérieur du temple, une belle porte gothique et cinq culots de pierre représentant les quatre évangélistes au XVe siècle. Après avoir appartenu durant un siècle aux religieuses de Notre-Dame, les bâtiments furent rachetés en 1908 par l'Association cultuelle de l'Église Réformée de Toulouse. Le temple occupe donc la maison du très catholique roi de France, dans l'ancien quartier du très orthodoxe parlement et face à la place du Salin où tant de protestants furent suppliciés entre le XVIe et le XVIIIe siècles. Combien de rosaces comptez-vous au-dessus de la porte autour du cercle central ?

WP6* – La maison de l'Inquisition N 43° 35.637 E 001° 26.632

À l'abri de l'agitation du monde, derrière un porche anondin, s'ouvre un univers de silence, un lieu exceptionnel imprégné de spiritualité, mais sur lequel pèse aussi un sombre passé. Adossé à la muraille romaine, dont on peut voir les vestiges, se trouve la maison dont Pierre Seilhan, fils du viguier du comte de Toulouse Raimond VI, fit don au XIIIe siècle à saint Dominique. Celui-ci y fonda l'année suivante la première communauté des frères prêcheurs. Le jeune aristocrate castillan Dominique de Guzmán, prêtre chanoine, avait pu constater lors de son passage en Languedoc en 1203 l'extension de la religion cathare, qu'il combattit ensuite par une prédication incessante. Après le départ de la communauté, qui s'installa près de la rue Saint-Rome, puis au jardin des Garrigues pour y construire le couvent des Jacobins, les bâtiments furent occupés en 1233 par le tribunal de l'Inquisition. Le pape confia en effet directement aux frères prêcheurs la terrible tâche, jusqu'alors dévolue aux évêques, d'extirper la dissidence. Au XVIe siècle, les dominicains y instituèrent une communauté de vicaires au service du quartier. La salle des jugements fut transformée en chapelle en 1648. [Cette dernière présente encore aujourd'hui un exemple unique de plafond à caissons peints conservé à Toulouse. Véritable album d'images vivantes et colorées, les quinze caissons de bois racontent aux fidèles les épisodes de la vie de saint Dominique, depuis son baptême jusqu'à sa mort à Bologne en 1221.] Sous la pression de l'archevêque de Toulouse Loménie de Brienne, le vicariat de la maison de l'Inquisition disparut en 1771. En quelle année a habité Saint-Dominique dans cette maison ?

WP7* – Un gage d'immortalité N 43° 35.597 E 001° 26.692

Le parlement du Languedoc, deuxième de France après celui de Paris, fut créé par le roi Charles VII et installé à Toulouse le 4 juin 1444. Les festivités somptueuses déployées à cette occasion annonçaient le destin prestigieux de cette institution judiciaire et politique jusqu'à la Révolution. Avant la création du parlement de Bordeaux, en 1462, sa compétence s'étendait sur toute la partie méridionale du royaume. Affermis dans leur pouvoir, les parlementaires prirent l'habitude d'exercer un droit de remontrance sourcilleux sur les actes du souverain. L'opposition de ces derniers se manifesta avec force en 1763, sous le règne de Louis XV, lorqu'ils refusèrent d'enregistrer de nouveaux édits fiscaux. Ce bras de fer suscita la réforme du chancelier de Maupeau, qui supprima le parlement en 1773. Son rétablissement en 1775 par Louis XVI, alors âgé de 21 ans, mit la population toulousaine en liesse. La ville, où les plaideurs venaient séjourner par milliers, vivait depuis des siècles de l'activité judiciaire. En signe de gratitude, l'ordre des avocats fut ériger dans la grand-chambre un obélisque de marbre vert sur lequel le jeune roi figure en médaillon. C'est aujourd'hui l'un des trois monuments à la gloire de Louis XVI conservés en France. [Les deux autres sont le monument du port de Port-Vendres eet la statue dressée dans le parc de l'ancien collège royal de Sorrèze (Tarn).] L'inscription gravée en latin cite la date du 14 mars 1775 "comme un gage d'immortalité." Gage fort efficace si l'on considère que, depuis plus de cinq siècles et demi, la justice est plus que jamais présente en ces lieux. Une fois devant, que voyez-vous à travers les vitres du palais de justice, en hauteur ? 1- une tour, 2- une cloche, 3- une statue

 

Coordonnées finales :

N 43° 35.((WP1 x WP2 x WP3 x WP4)+414)

E 001° 26.((WP5 + WP6 + WP7)-498)

 

N’hésitez pas à utiliser le Géochecker !

 

Afin d'assurer la pérennité de cette cache, replacez-la bien où vous l'avez trouvée, et surtout, restez discrets. Bon Géocaching !

 


Welcome to the Salin district, at the crossroads of the magnificent Carmes and Saint-Etienne. Old houses, temples and palaces, you will find your account in terms of rich heritage. The district owes its name to the royal salt granary where the nearby dealers used to stock up. Moreover, the salt market is a survival of the old pig market, which was held at Christmas time. Finally, the square was well known as a place of executions.


I therefore propose a Multi-type hiding place that will take you on a tour of the district, observing the many emblematic curiosities of the Salins. Like all the Multis in the series, a description of the heritage at each Waypoint will brighten up your discoveries and your search for clues. But for the even more curious, don't hesitate to browse through the pages of the brilliant book Toulouse, secret et insolite - Les trésors cachés de la ville rose, by C. Clément and S. Ruiz, to discover the history of all the buildings and architectural curiosities that you will discover with this Multi.

The Multi does not pose any difficulty of ground, the visited buildings are all located in a restricted perimeter. A good geocacher will have gone through the different places and gathered all the clues in less than half an hour. An asterisk will indicate for each Waypoint if it is possible to enter the building (during opening hours), something (really) interesting to do but not necessary for the resolution of questions. All Waypoints are indeed located outside the buildings in order to favour a walk at any time of the day. Moreover, the questions for each Waypoint are relatively simple, to save you another walk if the checker turns red. You will find many other buildings and historical curiosities in the area, the Waypoints are obviously not exhaustive, so keep your eyes open !


Start your journey, 7 Waypoints are waiting for you !

WP1 - Wide of the plate N 43° 35.733 E 001° 26.586

Did you know that there is a clever system to find your way around Toulouse when you are lost ? We must admit that the municipality has done a great job this time. Everything starts from a landmark, not from the Town Hall, as the town councillors had planned in 1806, but from the inevitable Garonne. It's very simple ! If you are in front of a yellow street sign with cut-off sides, then it is a street parallel to the river, also numbered on a yellow background, from upstream to downstream (evens on the right, odds on the left). On the other hand, if you see a white plaque or numbers on a white background, you are in a street perpendicular to the Garonne or oblique, the numbers going up from the river. This device was generalized in 1815 and the Fouque earthenware company was called upon for the industrial production of ceramic plates with manganese letters. The factory, located near Saint-Sernin, then moved to Saint-Gaudens and produced until the end of the 19th century the famous blue porcelain known as "de Valentine." The principle of the nameplate dates back to the 18th century. Some owners took the initiative to have it engraved in stone. However, we had to wait for an ordinance of January 14, 1752 to see the capitulants take matters into their own hands. They had one hundred and ninety-one oil-painted tin plates made, which were swept away by the Revolution. On 6 Floréal of the year II (1794) the table of the new appellations was published. They were evocative of the political atmosphere of the time and were soon to disappear in their turn. In 1875 the cast iron plates were adopted, inscribed in blue on a white background. What a choice at the corner of Pierre-Brunière and de la Fonderie streets. How many plaques (metallic and "sculpted") decorate the corner of these two streets ?

WP2* - A rampart and cannons at the Institute N 43° 35.726 E 001° 26.584

You are located in front of the Catholic Institute on rue de la Fonderie, one of the few public roads to have kept its revolutionary name. Before knowing its origin, you should know that the portal of the Institute opens onto a world of unsuspected historical richness. Two galleries arranged under the western facade make it possible to discover the rampart of the Lower Empire, cleared over a length of 71 meters, and classified as a Historic Monument on December 11, 1963. At that time, the context was quite different in the pink city... Around 270, threats of unrest and barbarian invasions incited the cities of Roman Gaul to reinforce their protection. The existing Toulousian enclosure was completed by a fortification facing the Garonne, composed of a single brick-facing curtain wall, without a tower, with a postern. Embedded in the base of the wall made of mortar and crushed pebbles, one discovers with amazement many fragments of sculpted blocks, as if thrown in a hurry. Capitals, scrolled brackets, sections of columns and statues are the remains of dismantled funerary monuments, a common practice at the time. The origin of these remains is quite simple. The large necropolis that extended along the Narbonnaise road south of the city, like the Appian road in Rome, was in fact used as a quarry.

The other historical characteristic of the Catholic Institute is that from the 14th century until the Revolution, the site was occupied by a convent. Founded in Toulouse around 1246, the community of the poor ladies of Saint-Damien, also known as minorettes or clarisses*, took refuge in the shelter of the ramparts during the Hundred Years' War. [*in 1212, together with St. Francis of Assisi, St. Clare, aged 19, founded the first convent of women attached to the mendicant order of Franciscans, which was set up near the church of St. Damier in Assisi] The daughters of St. Clare had no idea that this place of seclusion and silence was going to be converted, from 1793 to 1866, into a... foundry for cannons. The Republic had to face the foreign threat, especially from Spain, and Toulouse became a city of garrisons and arms industries. At the end of the 19th century, the setting was changed again, and the Catholic University moved in. In accordance with the Jules Ferry law, it had to give up this name in 1880 to take the name of Catholic Institute. It's a funny sculpture above the entrance gate... But what interests us here is higher up on the façade. How many round windows does the building have under its roof ?

WP3 - The good savage N 43° 35.684 E 001° 26.592

Who is this little bearded and fleshy man lying in wait in his doghouse ? Is he after your purse or is he posted there to protect the area from unwanted visitors (Muggles?) ? The Rue de l'Homme-Armé and its neighbour, the Rue de la Hache, indeed evoke some cutthroat haunted by prowlers. In the 15th century, the first street was however very peacefully called "the alleyway where the garden of the minorettes", nuns of the convent of Sainte-Claire-du-Salin, opens. From 1550, it became the "rue du Sauvage." Was it Peyronnet Delfau, owner in 1476 of the inn of the same name, who had this sign carved on the corner of his house ? Is this rustic statuette one of the representations of savages that multiplied after the discovery of the New World ? In any case, its explicitly ithyphallic and threatening posture gives it a scoundrel look in keeping with the atmosphere of the place : not only did two inns face each other in this street in the 16th century, but as early as the 12th century, prostitution was practiced in the current rue des Moulins, not far from the Narbonne Castle and its garrisons. When you are in front of the statuette, turn around. How many carved holes are there in the wooden door ?

WP4 - The Unloved N 43° 35.672 E 001° 26.683

Toulouse can be proud to have given birth to one of the greatest French jurists of the Renaissance. However, the relationship between Jacques Cujas and his city was far from idyllic... Born in 1520 at n°12 of the street that now bears his name, this draper's son was a brilliant student, trained at the very prestigious law school of the city. People came to Toulouse from all over Europe "to learn Roman law, i.e. to prepare themselves to govern cities and educate people." At the age of 25, the young professor opened a private course where he taught for seven years a much-appreciated course. His future seemed clear when he applied for the chair of Roman law... but the jury preferred him to his competitor, the jurisconsult Forcadel. Cujas, who was familiar with the new ideas of the Reformation, then turned his back on those who had failed to recognize his value; others knew how to welcome him with open arms in Cahors, Valencia, Paris, Turin or Bourges, the city in which he finally settled. It was not until the 19th century that the municipality of Toulouse finally remembered the great man. After much deliberation, the project of a bronze statue of Cujas was finally chosen. Inaugurated in 1850, it stood facing the Court of Appeal. Not for long ! When the Place du Salin was laid out, the statue was rotated so that the unfortunate woman turned her back on passers-by. The troubles continued when it was recovered during the Occupation to be melted down. As for its stone replacement, it was mysteriously beheaded in 1994, on the eve of the celebration of the 550th anniversary of the Parliament. The mould of the original model, found in the Giscard workshop, fortunately allowed a resin reconstruction. What word is written under the name of this jurist ? Replace each letter with its equivalent number in the alphabet. Then calculate the numerical root.

[A little help for the non-mathletes ! The numerical root of a number is obtained by adding up the values associated with each of its digits, then the process is repeated with the values associated with the digits of the resulting number, and so on until only one digit remains. Let's take the number 4589. 4 + 5 + 8 + 9 = 26 and 2 + 6 = 8. The numerical root of 4589 is 8.]

WP5* - Amazing Reconversion N 43° 35.697 E 001° 26.672

The neo-gothic facade of this Protestant temple, open to worship since 1911, is enough to pique the curiosity... An imposing square tower at the corner of the building is reminiscent of a fortified house, while the austere buildings lined up on the cul-de-sac have remnants of Gothic windows. You are transported to the Middle Ages in front of the former Royal Treasury, called the King's House. Implanted probably shortly after the county of Toulouse was attached to the French crown in 1272, it stood as a strong symbol of power. The king stayed there even when he was passing through Toulouse. Inside the temple is a beautiful Gothic door and five stone bases representing the four evangelists in the 15th century. After having belonged for a century to the nuns of Notre-Dame, the buildings were bought in 1908 by the Religious Association of the Reformed Church of Toulouse. The temple thus occupies the house of the very Catholic King of France, in the former district of the very orthodox parliament and facing the Place du Salin where so many Protestants were tortured between the 16th and 18th centuries. How many rosettes do you count above the door around the central circle ?

WP6* - The House of the Inquisition N 43° 35.637 E 001° 26.632

Sheltered from the hustle and bustle of the world, behind a swampy porch, a world of silence opens up, an exceptional place imbued with spirituality, but also with a dark past. Leaning against the Roman wall, the remains of which can be seen, is the house that Pierre Seilhan, son of the watchman of the Count of Toulouse Raimond VI, donated to Saint Dominic in the 13th century. The following year he founded the first community of friars preachers there. The young Castilian aristocrat Dominic de Guzmán, a canonical priest, had noticed during his visit to Languedoc in 1203 the extension of the Cathar religion, which he then fought against with incessant preaching. After the departure of the community, which settled near the rue Saint-Rome, then in the Garrigues garden to build the Jacobin convent, the buildings were occupied in 1233 by the court of the Inquisition. The Pope entrusted directly to the friar preachers the terrible task, until then devolved to the bishops, of eradicating dissent. In the 16th century, the Dominicans set up a community of vicars to serve the neighbourhood. The judgment hall was transformed into a chapel in 1648. [The chapel is still today a unique example of a painted coffered ceiling preserved in Toulouse. A veritable album of lively and colourful images, the fifteen wooden caissons tell the faithful about the episodes in the life of Saint Dominic, from his baptism to his death in Bologna in 1221.] Under pressure from the Archbishop of Toulouse Loménie de Brienne, the vicariate of the house of the Inquisition disappeared in 1771. In what year did Saint-Dominique live in this house ?

WP7* - A pledge of immortality N 43° 35.597 E 001° 26.692

The parliament of Languedoc, second in France after that of Paris, was created by King Charles VII and installed in Toulouse on 4 June 1444. The sumptuous festivities deployed on this occasion heralded the prestigious destiny of this judicial and political institution until the Revolution. Before the creation of the Parliament of Bordeaux in 1462, its jurisdiction extended over the entire southern part of the kingdom. Firm in their power, the parliamentarians became accustomed to exercising an uncompromising right of reprimand over the acts of the sovereign. Their opposition was strongly expressed in 1763, during the reign of Louis XV, when they refused to register new tax edicts. This confrontation led to the reform of Chancellor de Maupeau, who abolished parliament in 1773. Its reinstatement in 1775 by Louis XVI, then 21 years old, put the population of Toulouse in jubilation. The city, where thousands of litigants came to stay, had lived for centuries from judicial activity. As a sign of gratitude, the Bar Association erected a green marble obelisk in the grand chamber on which the young king is depicted in a medallion. Today it is one of the three monuments to the glory of Louis XVI preserved in France. [The two others are the monument in the port of Port-Vendres and the statue erected in the park of the former royal college of Sorrèze (Tarn).] The inscription engraved in Latin quotes the date March 14, 1775 "as a pledge of immortality." A very effective pledge if we consider that for more than five and a half centuries, justice has been more than ever present in these places. Once in front, what do you see through the windows of the courthouse, high up ? 1- a tower, 2- a bell, 3- a statue


Final coordinates :

N 43° 35.((WP1 x WP2 x WP3 x WP4)+414)

E 001° 26.((WP5 + WP6 + WP7)-498)


Feel free to use the Geochecker!

GeoCheck.org

 


In order to ensure the durability of this cache, put it back where you found it, and above all, remain discreet. Happy Geocaching !

 


Bienvenidos al barrio de Salins, en el cruce de las magníficas Carmes y Saint-Etienne. Casas antiguas, templos y palacios, encontrará su cuenta en términos de rico patrimonio. El distrito debe su nombre al granero de sal real donde los comerciantes cercanos solían abastecerse. Además, el mercado de la sal es una supervivencia del antiguo mercado de cerdos, que se celebraba en Navidad. Finalmente, la plaza era bien conocida como un lugar de ejecuciones.


Por lo tanto, propongo un escondite de tipo múltiple que le llevará por el distrito, observando las muchas curiosidades emblemáticas de las Salins. Como todos los Multis de la serie, una descripción del patrimonio en cada Waypoint alegrará tus descubrimientos y tu búsqueda de pistas. Pero para los más curiosos, no duden en hojear las páginas del brillante libro Toulouse, secret et insolite - Les trésors cachés de la ville rose, de C. Clément y S. Ruiz, para descubrir la historia de todos los edificios y curiosidades arquitectónicas que descubrirás con este Multi.

El Multi no plantea ninguna dificultad de terreno, los edificios visitados están todos situados en un perímetro restringido. Un buen geocaché habrá recorrido los diferentes lugares y recogido todas las pistas en menos de media hora. Un asterisco indicará para cada Waypoint si es posible entrar en el edificio (durante el horario de apertura), algo (realmente) interesante de hacer pero no necesario para la resolución de las preguntas. Todas las balizas se encuentran fuera de los edificios para favorecer el paseo a cualquier hora del día. Además, las preguntas de cada baliza son relativamente simples, para ahorrarle otro paseo si la baliza se pone roja. Encontrarás muchos otros edificios y curiosidades históricas en la zona, las balizas no son obviamente exhaustivas, ¡ así que mantén los ojos abiertos !


¡ Comienza tu viaje, 7 balizas te están esperando !

WP1 - Junto a la placa N 43° 35.733 E 001° 26.586

¿ Sabías que hay un sistema inteligente para encontrar tu camino en Toulouse cuando estás perdido ? Debemos admitir que el municipio ha hecho un gran trabajo esta vez. Todo comienza desde un punto de referencia, no desde el Ayuntamiento, como los concejales habían planeado en 1806, sino desde la inevitable Garona. ¡ Es muy simple ! Si estás frente a un cartel de calle amarillo con lados de corte, entonces es una calle paralela al río, también numerada sobre un fondo amarillo, de arriba a abajo (pares a la derecha, probabilidades a la izquierda). Por otro lado, si ves una placa blanca o números sobre un fondo blanco, estás en una calle perpendicular a la Garona u oblicua, los números suben desde el río. Este dispositivo se generalizó en 1815 y se recurrió a la empresa de loza de Fouque para la producción industrial de platos de cerámica con letras de manganeso. La fábrica, situada cerca de Saint-Sernin, se trasladó después a Saint-Gaudens y produjo hasta finales del siglo XIX la famosa porcelana azul conocida como "de Valentine." El principio de la placa de identificación se remonta al siglo XVIII. Algunos propietarios tomaron la iniciativa de grabarlo en piedra. Sin embargo, tuvimos que esperar a una ordenanza del 14 de enero de 1752 para ver a los capitulares tomar el asunto en sus manos. Hicieron ciento noventa y una planchas de hojalata pintadas al aceite, que fueron arrasadas por la Revolución. El 6 de Floréal del año II (1794) se publicó la tabla de las nuevas denominaciones. Eran evocadores de la atmósfera política de la época y pronto desaparecerían a su vez. En 1875 se adoptaron las planchas de hierro fundido, inscritas en azul sobre fondo blanco. Qué elección en la esquina de las calles Pierre-Brunière y de la Fonderie. ¿ Cuántas placas (metálicas y "esculpidas") decoran la esquina de estas dos calles ?

WP2* - Una muralla y cañones en el Instituto N 43° 35.726 E 001° 26.584

Usted se encuentra frente al Instituto Católico en la rue de la Fonderie, una de las pocas vías públicas que ha conservado su nombre revolucionario. Antes de conocer su origen, debe saber que el portal del Instituto se abre a un mundo de insospechada riqueza histórica. Dos galerías dispuestas bajo la fachada occidental permiten descubrir la muralla del Bajo Imperio, despejada en una longitud de 71 metros y clasificada como Monumento Histórico el 11 de diciembre de 1963. En ese momento, el contexto era bastante diferente en la ciudad rosa... Alrededor del 270, las amenazas de disturbios e invasiones bárbaras incitaron a las ciudades de la Galia romana a reforzar su protección. El recinto tolosano existente se completó con una fortificación frente al Garona, compuesta por un único muro cortina de ladrillos, sin torre, con un póster. Incrustados en la base del muro de mortero y guijarros triturados, se descubren con asombro muchos fragmentos de bloques esculpidos, como si fueran lanzados a toda prisa. Capiteles, soportes enrollados, secciones de columnas y estatuas son los restos de monumentos funerarios desmantelados, una práctica común en esa época. El origen de estos restos es bastante simple. La gran necrópolis que se extendía a lo largo de la carretera de la Narbonesa al sur de la ciudad, como la carretera de la Appia en Roma, se usaba de hecho como una cantera.

La otra característica histórica del Instituto Católico es que desde el siglo XIV hasta la Revolución, el sitio fue ocupado por un convento. Fundada en Toulouse hacia 1246, la comunidad de las damas pobres de Saint-Damien, también conocidas como minorettes o clarisses*, se refugió en el refugio de las murallas durante la Guerra de los Cien Años. [*en 1212, junto con San Francisco de Asís, Santa Clara, con 19 años, fundó el primer convento de mujeres de la orden mendicante de los franciscanos, que se instaló cerca de la iglesia de San Damián en Asís] Las hijas de Santa Clara no tenían ni idea de que este lugar de reclusión y silencio se iba a convertir, de 1793 a 1866, en un... fundición de cañones. La República tuvo que enfrentarse a la amenaza extranjera, especialmente de España, y Toulouse se convirtió en una ciudad de guarniciones e industrias de armas. A finales del siglo XIX, el escenario cambió de nuevo, y la Universidad Católica se mudó. De acuerdo con la ley de Jules Ferry, tuvo que renunciar a este nombre en 1880 para tomar el nombre de Instituto Católico. Es una divertida escultura sobre la puerta de entrada... Pero lo que nos interesa aquí está más arriba en la fachada. ¿ Cuántas ventanas redondas tiene el edificio bajo su techo ?

WP3 - El buen salvaje N 43° 35.684 E 001° 26.592

¿ Quién es este pequeño hombre barbudo y carnoso que está al acecho en su perrera ? ¿ Está detrás de tu bolso o está apostado allí para proteger la zona de visitantes no deseados (Muggles?) ? La Rue de l'Homme-Armé y su vecina, la Rue de la Hache, evocan en efecto a unos asesinos acechados por los merodeadores. En el siglo XV, la primera calle fue sin embargo muy pacíficamente llamada "el callejón donde se abre el jardín de las minoritas", monjas del convento de Sainte-Claire-du-Salin. A partir de 1550, se convirtió en la "rue du Sauvage." ¿ Fue Peyronnet Delfau, dueño en 1476 de la posada del mismo nombre, quien hizo tallar este cartel en la esquina de su casa ? ¿ Es esta estatuilla rústica una de las representaciones de los salvajes que se multiplicaron tras el descubrimiento del Nuevo Mundo ? En cualquier caso, su postura explícitamente itifálica y amenazadora le da una apariencia de sinvergüenza acorde con la atmósfera del lugar : no sólo dos posadas se enfrentaban en esta calle en el siglo XVI, sino que ya en el siglo XII se practicaba la prostitución en la actual rue des Moulins, no lejos del Castillo de Narbona y sus guarniciones. Cuando estés delante de la estatuilla, date la vuelta. ¿ Cuántos agujeros tallados hay en la puerta de madera ?

WP4 - El no amado N 43° 35.672 E 001° 26.683

Toulouse puede estar orgullosa de haber dado a luz a uno de los más grandes juristas franceses del Renacimiento. Sin embargo, la relación entre Jacques Cujas y su ciudad estaba lejos de ser idílica... Nacido en 1520 en el n°12 de la calle que ahora lleva su nombre, el hijo de este pañero fue un estudiante brillante, formado en la muy prestigiosa escuela de leyes de la ciudad. La gente vino a Toulouse de toda Europa "para aprender el derecho romano, es decir, para prepararse para gobernar las ciudades y educar a la gente." A la edad de 25 años, el joven profesor abrió un curso privado donde enseñó durante siete años un curso muy apreciado. Su futuro parecía claro cuando solicitó la cátedra de derecho romano... pero el jurado lo prefirió a su competidor, el jurisconsulto Forcadel. Cujas, que estaba familiarizado con las nuevas ideas de la Reforma, dio entonces la espalda a los que no habían reconocido su valor; otros supieron acogerlo con los brazos abiertos en Cahors, Valencia, París, Turín o Bourges, ciudad en la que finalmente se instaló. No fue hasta el siglo XIX que el municipio de Toulouse finalmente recordó al gran hombre. Después de mucha deliberación, el proyecto de una estatua de bronce de Cujas fue finalmente elegido. Inaugurado en 1850, estaba frente a la Corte de Apelaciones. ¡ No por mucho tiempo ! Cuando la Place du Salin fue dispuesta, la estatua fue girada para que la desafortunada mujer diera la espalda a los transeúntes. Los problemas continuaron cuando se recuperó durante la Ocupación para ser fundido. En cuanto a su reemplazo de piedra, fue misteriosamente decapitado en 1994, en la víspera de la celebración del 550 aniversario del Parlamento. El molde del modelo original, encontrado en el taller de Giscard, permitió afortunadamente una reconstrucción de resina. ¿ Qué palabra está escrita bajo el nombre de este jurista ? Reemplaza cada letra con su número equivalente en el alfabeto. Entonces calcula la raíz numérica.

[¡ Un poco de ayuda para los no deportistas ! La raíz numérica de un número se obtiene sumando los valores asociados a cada uno de sus dígitos, luego se repite el proceso con los valores asociados a los dígitos del número resultante, y así sucesivamente hasta que sólo quede un dígito. Tomemos el número 4589. 4 + 5 + 8 + 9 = 26 y 2 + 6 = 8. La raíz numérica de 4589 es 8.]

WP5* - Una conversión asombrosa N 43° 35.697 E 001° 26.672

La fachada neogótica de este templo protestante, abierto al culto desde 1911, es suficiente para despertar la curiosidad... Una imponente torre cuadrada en la esquina del edificio recuerda a una casa fortificada, mientras que los austeros edificios alineados en el callejón sin salida tienen restos de ventanas góticas. Se le transporta a la Edad Media frente al antiguo Tesoro Real, llamado la Casa del Rey. Implantado probablemente poco después de que el condado de Toulouse fuera unido a la corona francesa en 1272, se erigió como un fuerte símbolo de poder. El rey se quedó allí incluso cuando estaba de paso por Toulouse. Dentro del templo hay una hermosa puerta gótica y cinco bases de piedra que representan a los cuatro evangelistas del siglo XV. Después de haber pertenecido durante un siglo a las monjas de Notre-Dame, los edificios fueron comprados en 1908 por la Asociación Religiosa de la Iglesia Reformada de Toulouse. El templo ocupa así la casa del muy católico Rey de Francia, en el antiguo distrito del parlamento muy ortodoxo y frente a la Place du Salin donde tantos protestantes fueron torturados entre los siglos XVI y XVIII. ¿ Cuántas rosetas cuentas sobre la puerta alrededor del círculo central ?

WP6* - La Casa de la Inquisición N 43° 35.637 E 001° 26.632

Al abrigo del ajetreo del mundo, detrás de un porche pantanoso, se abre un mundo de silencio, un lugar excepcional imbuido de espiritualidad, pero también de un pasado oscuro. Apoyada contra la muralla romana, cuyos restos se pueden ver, está la casa que Pierre Seilhan, hijo del vigilante del conde de Toulouse Raimond VI, donó a Santo Domingo en el siglo XIII. Al año siguiente fundó allí la primera comunidad de frailes predicadores. El joven aristócrata castellano Domingo de Guzmán, un sacerdote canónico, había notado durante su visita a Languedoc en 1203 la extensión de la religión cátara, contra la cual luchó entonces con una incesante predicación. Tras la salida de la comunidad, que se instaló cerca de la calle Saint-Rome, luego en el jardín de las Garrigues para construir el convento jacobino, los edificios fueron ocupados en 1233 por el tribunal de la Inquisición. El Papa confió directamente a los frailes predicadores la terrible tarea, hasta entonces delegada a los obispos, de erradicar la disidencia. En el siglo XVI, los dominicos establecieron una comunidad de vicarios para servir al vecindario. La sala del juicio se transformó en una capilla en 1648. [Esta capilla es todavía hoy un ejemplo único de un artesonado pintado conservado en Toulouse. Un verdadero álbum de imágenes vivas y coloridas, los quince cajones de madera cuentan a los fieles los episodios de la vida de Santo Domingo, desde su bautismo hasta su muerte en Bolonia en 1221.] Bajo la presión del arzobispo de Toulouse Loménie de Brienne, el vicariato de la casa de la Inquisición desapareció en 1771. ¿ En qué año vivió Saint-Dominique en esta casa ?

WP7* - Una muestra de inmortalidad N 43° 35.597 E 001° 26.692

El parlamento de Languedoc, segundo en Francia después del de París, fue creado por el rey Carlos VII e instalado en Toulouse el 4 de junio de 1444. Los suntuosos festejos desplegados en esta ocasión anunciaron el prestigioso destino de esta institución judicial y política hasta la Revolución. Antes de la creación del Parlamento de Burdeos en 1462, su jurisdicción se extendía a toda la parte sur del reino. Firmes en su poder, los parlamentarios se acostumbraron a ejercer un derecho inflexible de reprimenda sobre los actos del soberano. Su oposición se expresó con fuerza en 1763, durante el reinado de Luis XV, cuando se negaron a registrar nuevos edictos fiscales. Este enfrentamiento llevó a la reforma del Canciller de Maupeau, que abolió el parlamento en 1773. Su reinstauración en 1775 por Luis XVI, entonces con 21 años, puso a la población de Toulouse en júbilo. La ciudad, donde miles de litigantes vinieron a quedarse, había vivido durante siglos de actividad judicial. Como signo de gratitud, el Colegio de Abogados erigió un obelisco de mármol verde en la gran cámara en la que el joven rey está representado en un medallón. Hoy es uno de los tres monumentos a la gloria de Luis XVI conservados en Francia. [Los otros dos son el monumento del puerto de Port-Vendres y la estatua erigida en el parque del antiguo colegio real de Sorrèze (Tarn).] La inscripción grabada en latín cita la fecha del 14 de marzo de 1775 "como muestra de inmortalidad." Una promesa muy efectiva si consideramos que durante más de cinco siglos y medio, la justicia ha estado más presente que nunca en estos lugares. Una vez en el frente, ¿ qué ves a través de las ventanas de la corte, en lo alto ? 1- una torre, 2- una campana, 3- una estatua


Coordenadas finales :

N 43° 35.((WP1 x WP2 x WP3 x WP4)+414)

E 001° 26.((WP5 + WP6 + WP7)-498)


¡ Siéntete libre de usar el GeoChecker !

GeoCheck.org

 


Para asegurar la durabilidad de este caché, devuélvelo a donde lo encontraste, y sobre todo, mantente discreto. ¡ Feliz Geocaching !

Additional Hints (Decrypt)

[FR] Qnaf yr purpxre ! OLBC ! [EN] Va gur purpxre ! OLBC ! [ES] Ra ry irevsvpnqbe ! OLBC !

Decryption Key

A|B|C|D|E|F|G|H|I|J|K|L|M
-------------------------
N|O|P|Q|R|S|T|U|V|W|X|Y|Z

(letter above equals below, and vice versa)