A Montségur sur Lauzon, prendre la D481 en direction de Clansaye. Une fois sortie du village, prendre à droite (Chemin des Barquets) et continuer jusqu'à la Chapelle des Bas Barquets. Une large aire de stationnement est disponible aux abords de la chapelle. Le chemin est en grande partie ombragée et plutôt à l'abri du mistral. Il peut se faire à pied ou en VTT mais attention pour cela le chemin est parfois très technique. Compter autour de 2 heures de marche avec la recherche (et un peu plus avec de jeunes enfants).
!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! A BIEN NOTER AVANT DE PARTIR !!!!!!!!!!!!!!!!!!!
Quelques caches sont un peu en retrait du chemin, le terrain y est parfois plus accidenté.
Pour certaines caches vous aurez besoin d'une pince à épiler.
Pour la cache #9 vous aurez besoin d'eau (0,5 litre).
Penser à bien récolter les indices qui vous mèneront vers la cache bonus. Ils se trouvent dans les caches 1, 3, 4, 6, 7 et 8.
L’alphabet runique ou futhark — terme formé à partir du nom des six premières lettres de cet alphabet — était l’alphabet utilisé pour écrire certaines langues germaniques par d'anciens peuples parlant ces langues, tels les Scandinaves, les Frisons, les Anglo-Saxons, etc. L'étymologie exacte du mot rune est obscure. En celtique commun tout d'abord, où *rūno- signifie « secret, mystère, incantation ». Il se poursuit dans le celtique insulaire dans le vieil irlandais rún « id. », le gallois rhin « mystère, secret, charme », le moyen breton rin « secret, sagesse ». Par ailleurs, on note le composé gaulois comrunos, combrunos mot à mot « dans le secret », c'est-à dire « confident, initié » (d'où les anthroponymes Courunus, Cobrunus, etc.) exactement comparable au gallois cyfrin « qui est dans le secret, confident », au moyen breton queffrin « mystère, secret » et au vieil irlandais comrún « secret commun ».
Il existe plusieurs types d'alphabet runique qui ont évolué en fonction du temps mais aussi du peuple qui les employait. Les plus anciennes inscriptions se trouvent en Norvège méridionale et elles datent du IVe siècle ap. J.-C. (Pierre de Kylver). L'usage de cet alphabet a perduré en Suède jusqu'au XIXe siècle dans un endroit reculé de Dalécarlie, alors qu'au Danemark il n'est pas utilisé au-delà du XIVe siècle. Le futhark fut créé par les locuteurs d'un dialecte germanique afin de transcrire leur langue par écrit. La plupart des runes préservées sont gravées sur pierre, cependant quelques fragments existent sur bois, sur écorce et sur os, et quelques-uns sur parchemin, le plus fameux étant le Codex Runicus. Ces inscriptions à la traduction incertaine voire impossible, ont donné de multiples interprétations à caractère magique lui donnant un rôle ésotérique mais sans fondement scientifique.
Bien suivre les étapes virtuelles pour accéder à la carrière et ensuite vous n'aurez plus qu'à gravir les escaliers des géants. Attention, les abords de la cache peuvent être dangereux avec des enfants. Soyez très prudents pour l'approche et vigilants lors de la recherche. Merci de bien remettre en place. Revenir ensuite sur vos pas pour continuer le chemin vers la cache #6.
Saurez-vous déchiffrer ces quelques runes ?