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[#015 CEL] Les Autels Villevillon Traditional Geocache

Hidden : 4/23/2017
Difficulty:
2 out of 5
Terrain:
2.5 out of 5

Size: Size:   micro (micro)

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Geocache Description:


Les communes d'Eure-et-Loir [CEL]

Cette cache fait partie de la série "401 communes en Eure-et-Loir [CEL]".

Il s'agit d'une idée assez simple : vous faire découvrir toutes les communes que compte notre département.

Pour relever ce défi, un groupe de géocacheurs s'est créé afin d'organiser au mieux la pose des caches. Ces dernières peuvent être de différents types et de différentes tailles.

Nom des habitants : Autelois, Auteloises

Population : 160 (recensement de 2014)

Superficie : 1008 hectares

Densité : 16 hab./km²

Un peu d’histoire :

Le village des Autels Villevillon appartient au canton de Brou et à l'arrondissement de Nogent le Rotrou et est l’une des 16  Communes de la Communauté de communes du Perche-Gouët. Il se situe à une altitude comprise entre 174 et 217 mètres.

La commune des Autels-Villevillon est issue de la fusion, par ordonnance royale du 07 mars 1835, des communes des Autels-Saint-Éloi et de Villevillon; la première, au cours de la Révolution française, porta provisoirement le nom de Sonnettes.

Jusqu’au XVIIIe siècle, Les Autels était un bourg très animé. La route aux Bœufs (actuelle A11) était un chemin de roulage et une dizaine d’hôtelleries offrait le vivre et le couvert aux postillons.

Sur les bords de la Sonnette s’élève l’ancien château, haute et froide construction en brique de style Louis XIII, convertie en ferme.

Après la fusion des deux communes, le bourg s'est recentré essentiellement sur l'ancienne commune des Autels-Saint-Eloi (mairie, école, commerces) mais la commune a conservé les deux églises.

Comme dans presque toutes les communes rurales, la population a décru considérablement depuis un siècle.

Le village avait pris de l’extension entre 1836 et 1851.L’agglomération s’agrandit, de nouveaux commerçants et artisans s’installent pour satisfaire les besoins d’une population plus nombreuse.
De 1851 à la fin du siècle, c’est la population des Autels qui diminue, passant de 162 habitants en 1851 à 113 en 1901. Au contraire, la population de la campagne reste à peu près stationnaire, passant seulement de 345 en 1851 à 338 en 1891. C’est qu’à ce moment disparaissent des artisans qui ne peuvent supporter la concurrence d’ateliers et des usines qui commencent à grandir. C’est le cas, en particulier, des artisans qui travaillaient la laine : fileuses, tisserands. D’autres métiers disparaissent en partie pendant cette période : des meuniers, des aubergistes.
À partir du début de ce siècle, la population décroît dans toute la commune. Au recensement de 1953, la population était de 350 habitants. Les jeunes gens vont moins qu’avant travailler dans les fermes de Beauce. Après leur service militaire, beaucoup essaient de trouver un emploi à Paris ou à Chartres.

Maintenant hors des grands axes de circulation, au recensement de 2014 le village ne comptait plus 160 habitants et il ne reste plus aucun commerce.

 

Les Auberges :
« Le Chemin des coches» avait fait du bourg un centre important. Ses « hostelleries » étaient nombreuses et fréquentées.
L’hostellerie de «La Bretagne» était très importante ; sa position sur le grand chemin de Paris au Mans, en avait fait un rendez-vous de nombreux voyageurs, et c’était là  que le coche et le carrosse du Mans et Angers à  Paris avait coutume de loger. Ses vastes dépendances formaient un rectangle de 150 mètres de long et de 180 mètres de large. Chaque semaine les écuries et les étables regorgeaient de chevaux de toutes sortes.

Cette auberge s’appelait la Croix-aux-Bretons en 1682, la Croix-de-Bretaigne en 1690, la Bretagne en 1768 (registres de la paroisse).
En 1739, la gabelle y avait un petit grenier à  sel, ainsi que l’atteste l’acte suivant « damoiselle Marie des Landes, de la Croix-de-Bretaigne, colloquée dans le bourg desdits Autels à cause de petit grenier à  sel, suivant les ordonnances du Roy notre sire et dont elle en remplit son devoir».
Mais « La Bretagne », n’était pas seule. « Le Sauvage », « Saint-Eloi », « Le Lion d’Or », mais également « Sainte Barbe », « Les Rateaux », « Le Four-à-ban », « Les Trois anges » et deux ou trois tavernes moins importantes se côtoyaient. On comptait 1 auberge sur 3 habitations.

 

Église Notre-Dame de Villevillon :

L’église Notre-Dame de Villevillon est protégée (ISMH) depuis 2006. Une association la valorise (concerts) et l’anime régulièrement (visites commentées).

Vraisemblablement construite en bois comme la plupart des églises antérieures à l'an mil, l'église Notre-Dame de Villevillon était en mauvais état au XIe siècle. Selon une charte rédigée entre 1059 et 1060, elle fut cédée par le seigneur Eudes qui la possédait, à l'abbaye Saint-Père de Chartres, à charge pour elle d'en édifier une nouvelle.

Reconstruite en pierre et grison pour les moines, l'église romane se compose d'une nef unique prolongée à l'est par une abside semi-circulaire.

Au XVe siècle, l'édifice a été l'objet d'importantes transformations. Dans les murs épais en maçonnerie de silex, on peut encore observer les fenêtres romanes primitives bordées de grisons. Sur le mur sud de la nef, vous verrez une fresque, « Le Dit des Trois Morts et des Trois Vifs ».

La clocher actuel, de plan rectangulaire, couvert d'une toiture à croupes, fut sans doute élevé au XVIIIe siècle près du pignon occidental pour recevoir une sonnerie plus importante.

Spoliée et désaffectée à la Révolution, l'église fut dépouillée de son mobilier en 1792.

En raison de l'existence de deux églises sur la commune, les fidèles de Villevillon se mobilisèrent afin que puisse être sauvegardée l'église Notre-Dame.

L'édifice peut s'enorgueillir d'abriter une collection de statues 14 statues du XVIe.

 

Eglise st éloi :

L’église Saint-Eloi des Autels est une construction dont les murs sont en cailloux, soutenus par des contreforts en grison et pierre de taille. La nef est éclairée par 4 fenêtres ogivales dont deux ornées de verrières posées en 1874. Deux autres verrières datent de 1869 (la vierge et l’enfant, Saint Joseph, Saint Blaise et Saint Eloi).
La voute cintrée en bardeau a été posée en 1873. Le petit clocher quadrangulaire est surmonté d’une pyramide hexagonale et couvert en ardoises.

 

Sources :
Wikipédia
Cercle de recherches généalogiques du Perche-Gouet
Site de l’OT de Brou

Site de la communauté de communes

Additional Hints (Decrypt)

Zntaégvdhr à y'bzoer. [Merci de prendre le temps de replacer la cache au bon endroit]

Decryption Key

A|B|C|D|E|F|G|H|I|J|K|L|M
-------------------------
N|O|P|Q|R|S|T|U|V|W|X|Y|Z

(letter above equals below, and vice versa)