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[#331 CEL] Saint Maixme-Hauterive Traditional Geocache

Hidden : 3/11/2017
Difficulty:
1.5 out of 5
Terrain:
1.5 out of 5

Size: Size:   micro (micro)

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Geocache Description:

Les communes d'Eure-et-Loir [CEL]


Cette cache fait partie de la série "401 communes en Eure-et-Loir [CEL]".

Il s'agit d'une idée assez simple : vous faire découvrir toutes les communes que compte notre département.

Pour relever ce défi, un groupe de géocacheurs s'est créé afin d'organiser au mieux la pose des caches. Ces dernières peuvent être de différents types et de différentes tailles.

Si vous souhaitez rejoindre le projet [CEL], contactez l'un des propriétaires de cache de la série : il se fera un plaisir de vous indiquer les communes disponibles et la marche à suivre.

 

#331 Saint-Maixme-Hauterive

 

 

Population : 436 (recensement de 2014)

Superficie : 31,95 km2

Densité : 14 hab./km²

 

 

Saint-Maixme est une ancienne seigneurie appelée autrefois Saint-Mesme. Le Chef-lieu primitif de cette paroisse fut Abronville (Brouvilliers).

L'église d'Abronville ayant été incendiée pendant les guerres de religion, au XIV ème siècle, on employa au service du culte une chapelle située en bordure de la commune.

Celle-ci devint successivement paroisse et alentour se forma un village qui prit le nom de Saint-Maixme, "Sanctus Maximus', patron de cette chapelle.

Abronville devint alors simple hameau et le nouveau chef-lieu fut appelé Saint-Maixme d'Abronville.

Les registres de l'état civil datent de 1580.

Un peu d'histoire sur deux hameaux de la commune :

Brouvilliers :

Ce lieu d'abord appelé Abronville 'Abronvilla' puis Bronville et, enfin Brouvilliers était un ancien 'Pagus' gaulois, nommé Abron. On pense même que cette bourgade fut le chef lieu d'un 'Gow' ou canton aux époques celtiques ou gauloises. La forme circulaire de ce lieu et le nombre de ses rues qui ont conservé longtemps les noms: rue des orfèvres, rue des juifs, rue des enfers, ect..., les chemins qui y aboutissent, les vestiges multipliés d'anciennes habitations, les lieux voisins qui faisaient alors partie de son enceinte, ne laissent aucun doute sur l'ancienneté d'Abronville et sur l'importance dont elle jouissait encore au Moyen-Age.

On y remarquait un dolmen ou Hautel druidique qui a été détruit en 1790. Le nom de Méné ou 'champ de la pierre' (nom celtique) conservé à l'un de ces chantiers au sud-est, indique l'ancienne existence de plusieurs menhirs dont la réunion formait vraisemblablement un sanctuaire druidique.

 

Hauterive :

C'était le second bourg communal associé à celui de Saint-Maixme par ordonnance royale du 14 mai 1837. Le lieu est en hauteur, au dessus de deux ruisseaux, ce qui pourrait expliquer son nom.

Hauterive le Bourgeois, nom donné sur les registres d'état civil en 1784, était une ancienne ville ayant des fossés, des murailles, des portes et halles couvertes ainsi que plusieurs verreries. Cette commune comptait plus de 2000 habitants. Elle fut ruinée pendant les guerres de religions. Son église était le chœur d'une ancienne église beaucoup plus vaste et qui fut en partie détruite à cette période. Les halles furent transportées vers 1740 à Châteauneuf en Thymerais ou elles ont subsisté jusqu'en 1847.

 

Patrimoine

 

Eglise Saint-Même

 

 

Abbaye Saint-Vincent-de-Bois

Au début du XIIème siècle des moines fondèrent un oratoire dédié à Saint Vincent. Ils commencèrent à édifier une abbaye qui se développa rapidement grâce aux libéralités des seigneurs de Châteauneuf et prit le titre d'abbaye royale. Elle conservait diverses reliques, dont le traditionnel morceau de la vraie croix. Les bâtiments, incendiés par les protestants en 1562, furent reconstruits entièrement. Cette abbaye était très riche et disposait de droits seigneuriaux. Elle était composée d'un grand corps de bâtiments de 150 pieds de longueur, d'une église avec un chœur fermé par une grille et des bas-côtés, d'un colombier, de divers autres bâtiments et trois cours que l'on distingue bien sur le plan du cadastre napoléonien, ainsi que de pièces d'eau, toutes disparues. Ses possessions en terres et bois étaient considérables. 

 

Cela n'empêcha pas le déclin de l'abbaye au XVIIIème siècle, faute de religieux. Ils n'étaient plus qu'une poignée à la veille de la Révolution.

L'abbaye, bâtiments et terres, est vendue comme bien national, une première fois à un acquéreur insolvable, une seconde fois à M. de Pâris, magistrat et collectionneur. Le nouveau propriétaire adapte les bâtiments à leur nouvelle destination. Il détruit l'église abbatiale sans utilité désormais et transforme le corps principal en château. Les dortoirs et le réfectoire deviennent des salles d'exposition consacrées à l'archéologie, la numismatique, la minéralogie, la géologie. La bibliothèque contient 10 000 volumes. Edouard Lefèvre, qui a visité le château dans les années 1850, écrit que c'est le musée le plus complet du département. 

Le château est reconstruit une seconde fois en 1884 dans le style néo-renaissant, avec des tourelles et des clochetons. On commence les travaux d'une chapelle, restée inachevée. Le château est le siège de la Komandantur pendant la dernière guerre. Laissé à l'abandon, racheté encore une fois, il a été démoli en 1976. Du site, il reste des caves, la chapelle inachevée, des bâtiments agricoles, un parc entièrement clos de murs et une grande grille d'entrée, au bout d'une allée majestueuse. Les pièces d'eau ont disparu. La chaire, un tableau et deux grandes statues, provenant de l'ancienne église, ont été transportés à celle de Châteauneuf, où l'on peut encore les voir.

 

 

Sources : Wikipédia ; site officiel de la commune  

 

Additional Hints (Decrypt)

Qreevèer

Decryption Key

A|B|C|D|E|F|G|H|I|J|K|L|M
-------------------------
N|O|P|Q|R|S|T|U|V|W|X|Y|Z

(letter above equals below, and vice versa)