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Plévenon Cap-Fréhel "Le Dernier Gardien de Phare" Traditional Geocache

This cache has been archived.

PhilaCache: Bonjour Le Staff,

Puisqu'il n'y a pas eu de maintenance dans un laps de temps raisonnable, j'archive cette cache.
voir aussi : http://www.geocaching.com/about/guidelines.aspx#cachemaintenance.

Comme cet archivage a eu lieu à cause d'un manque de maintenance, il m'est impossible de la réactiver. Si vous voulez refaire une cache ici ... s.v.pl. soumettez un nouveau listing.

Cordialement,
PhilaCache
Geocaching Community Volunteer Reviewer

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Hidden : 7/21/2017
Difficulty:
2 out of 5
Terrain:
1.5 out of 5

Size: Size:   micro (micro)

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Geocache Description:


L'automatisation des phares a fait évoluer le métier de gardien. Le dernier gardien, même si aujourd'hui on dit technicien supérieur du développement durable, est encore en mission au phare du Cap Fréhel. Il s'agit d'Henri Richard. Né le 14 juillet 1953 à Pleumeur-Gautier (22),

Henri Richard a eu une vie d'exception entre terre et mer. Il la raconte avec fierté, humour et nostalgie.

 

Quatorze jours en mer sept à terre Après le collège à Bégard, il entre au lycée technique de Guingamp, et en sort avec un CAP-BEP d'électromécanicien. La vie active commence à Guingamp, dans la téléphonie, puis en atelier de mécanique, mais l'aventure l'attend. Henri commence à faire des remplacements en tant qu'auxiliaire aux « Héaux de Bréhat, Triagoz, Sept-Îles. On faisait quatorze jours en mer et sept jours à terre, toujours en équipe de deux. Ces phares étaient équipés de brûleur à vapeur de pétrole. C'était intéressant », se souvient Henri. En 1970, il suit des cours à l'école des électro-mécaniciens de Brest, et fait un remplacement au phare de l'île Vierge. À la fin de l'année, avec un collègue, il part au phare d'Ar Men. Là aussi quatorze jours en mer et sept jours à terre, durant deux ans et demi.

 

Se barricader lors de tempêtes «Essuyer une tempête, ce n'est pas évident. On se barricadait, on sentait le phare bouger sous les assauts de la mer. Il y avait l'entretien mécanique, astiquer les cuivres, faire les peintures, la surveillance par rapport à la brume...On était en veille 24 heures sur 24. On se voyait pour manger. La relève se faisait par "ballon", un filin (le cartahu), lancé par les gardiens servant de va-et-vient. Le passager s'installait à califourchon sur une sorte de ballon et glissait le long du filin ».

 

Depuis 1993 au Cap Fréhel Puis, Henri part au phare des Pierres Noires, près de la pointe Saint-Mathieu, pendant encore deux ans et demi. « Pour la relève, c'était plus compliqué. C'était folklo » ! Le marin profite d'un remplacement au phare des Sept-Îles pour faire un stage d'électronique au Greta à Nantes, dans le but de se préparer à l'automatisation des phares. En 1993, l'opportunité de repartir en phare se présente. Au Cap Fréhel. Au début comme gardien remplaçant, puis seul. « Toutes les trois heures, je devais remonter le poids de la machine de rotation ». À deux ans de la retraite, Henri Richard continue sa mission et ses passions pour la lecture, la collection de cartes postales anciennes sur les phares et sur les costumes anciens d'hommes.

 

Henri Richard, dernier gardien de phare, est encore en mission au phare du Cap Fréhel.

Henri Richard, dernier gardien de phare, est encore en mission au phare du Cap Fréhel.



 

 

Additional Hints (Decrypt)

Rager yrf 2

Decryption Key

A|B|C|D|E|F|G|H|I|J|K|L|M
-------------------------
N|O|P|Q|R|S|T|U|V|W|X|Y|Z

(letter above equals below, and vice versa)