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HUGUES DE PAYNS Mystery Cache

Hidden : 11/15/2016
Difficulty:
3 out of 5
Terrain:
1.5 out of 5

Size: Size:   other (other)

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Geocache Description:


HUGUES DE PAYNS 

 

 

Hugues de Payns                                   

 

 

voici une petite mysterie sur Hugues de Payns est un chevalier champenois, fondateur et premier maître de l'ordre du Temple

pour cela il vous suffira de resoudre cette egnime 

 

1) combien d'enfants a t'il eu (.......) = A

2) thibaud un de ses fils : trouver sa valeur (...) +5 (...) = B

3)  l' abbaye de  Sainte-Colombe de Saint-Denis-lès-Sens et inscrit aux monument historique en quelle année (.....) prendre le dernier chiffre (...) =C

4) en quel année hugues de payns et née a troyes prendre le dernier chiffre (.....) =D

soit : N 48°12.9AB et E 03°16.2CD 

bon geocaching a tous 

Département de l'Yonne Ancy-le-Franc (89) Grange d'Ancy-le-Franc Département: Yonne, Arrondissement: Avallon, Canton: Ancy-le-Franc - 89 Grange d'Ancy-le-Franc Localisation: Grange d'Ancy-le-Franc Les Templiers possédent des terres qu'ils cultivent, ainsi qu'une rente sur le moulin de ce lieu en 1224 et le droit d'y bâtir une grange destinée à recevoir la dîme en 1224. Fond commanderie de Saint-Marc: Anceinum-Francum, 1225. Voir le cartulaire de Bourgogne Sources: De Delphine Marie; Les Templiers dans le diocèse de Langres, Des moines entrepreneurs au XIIe et XIIIe siècle. Dominique Guéniot, éditeur. Ancy-le-Franc, arrondissement de Tonnerre — Anceius, 1147 (Cartulaire général de l'Yonne, I, 2) — Anceium-Francum, 1225 (Maison du Temple de Saint-Marc) — Ancy-le-Franc, 1289 (Chapitre d'Auxerre) — Ancey-lou-Franc, 1295 (Cartulaire de l'Hôpital de Tonnerre) — Important château élevé au XVIIe siècle Sources: Dictionnaire topographique du département de l'Yonne, rédigé par M. Max. Quantin. Paris Imprimerie Nationale M. DCCC. LXII. Top Asnieres (89) Domaine du Temple à Asnières Département: Yonne, Arrondissement: Auxerre, Canton: Cry - 89 Domaine du Temple à Asnières Localisation: Domaine du Temple à Asnières Les Templiers de la Maison du Temple de Saint-Marc obtiennent du seigneur de Rougemont et de Rochefort, le droit de faire pâturer leur troupeau en 1246. Sources: De Delphine Marie; Les Templiers dans le diocèse de Langres, Des moines entrepreneurs au XIIe et XIIIe siècle. Dominique Guéniot, éditeur. Top Auxerre (89) Maison de ville d'Axerre Département: Yonne, Arrondissement et Canton: Auxerre - 89 Rue du Temple à Auxerre Voir le site Auxerre historique L'hôtel de la commanderie était situé à Auxerre, dans la rue du Temple, près de la porte de ce nom. Il y avait une chapelle où l'on disait encore, au siècle dernier, une messe les dimanches et fêtes. Les Hospitaliers possédaient encore à Auxerre une maison, qui était connue sous le nom du Petit-Hôtel de Malte, située dans la rue de l'ancien Jeu-de-Paume. Ils avaient aux environs de la ville des vignes que Pierre de Bethisy, prévôt d'Amiens, et Lucienne, sa femme, avaient données à la sainte maison du Temple, par leurs lettres du mois de mars de l'année 1208. D'autres vignes avec une maison et un pressoir, près de l'église de Saint-Gervais, avaient été cédées en 1256, par un sieur du Val et Elnise, sa femme, à frère Guillaume, commandeur du Sauce, qui possédait en outre des cens sur des maisons dans la ville, situées entre la maison du chevalier Colin de Chatillon et la porte des Kalendes de Mai, « et portant de Kalendis Maii », cens qui avaient été achetés des chevaliers Hugues d'Auxerre et Hugues de Fresnes, ainsi qu'il est constaté par une charte de Guy, comte de Nevers et de Foretz, du mois de juin 1239. On voit d'après un terrier de 1648, que la censive de la commanderie s'étendait dans la ville et finage d'Auxerre, « depuis le coin de la grande rue de la Feverie; et l'autre rue, dudit coin montant à l'église, en allant tout à bas les pilliers et grande place de ladite Feverie, poursuivant jusqu'à un poncelot et conduict des eaues qui viennent du costé de la porte d'Esgleny, revenant depuis ledit conduict sous les pilliers de pierres de ladite Feverie, tournant au coin de la maison aux héritiers Etienne Thevenaux, et finissant à la sortie dudit conduict qui entre au-dessus de la croix de pierre en la grande rue Saint Siméon; » Plus sur les maisons et jardins assis depuis la maison seigneuriale du Sauce jusques au coin de la rue Saint Anthoine, la Haute et Basse Perrière, mesme le grand cimetière de Mont Tartré, nevenant et passant la rue qui avalle à l'église Saint Mamert, depuis la maison où pend pour enseigne: la Petite Magdelaine, traversant par derrière à une aullre rue qui avalle de l'église Saint Eusèbe aux Jacobins, et jusques à l'esglise dudit Saint Mamert; Plus sur tout le finage des vignes et terres au lieu dit Bechereau, sur celles de Bouffault, des Mergers et, de Gratery. Le Livre-Vert nous donne le revenu de la maison d'Auxerre, comme s'élevant en 1373, à 449 livres; et ses charges à 435 livres. Le Commandeur résidait alors à Auxerre, parce qu'il y trouvait, à cause de la guerre, plus de sécurité qu'au Sauce. Le personnel et la dépense de sa maison sont ainsi constatés: Pour les despens et vivres de bouche du Commandeur, de deux chappelains: l'un donné, l'autre séculier, d'un donné séculier, d'un clerc, d'un varlet, d'un charretier qui font XII personnes, VI livres 20 sol. A la fin du XVe siècle, le commandeur de Bornel se plaignait du mauvais état de la maison d'Auxerre qui était très-vieille, et où il se trouvait très-mal logé. Son successeur, Jacques de Bourbon, la tira de ses ruines, en la faisant rebâtir en grande partie. Cette maison fut louée plus tard. La ville d'Auxerre la prit à bail en 1721 , pour y loger le marquis de Lambert, gouverneur de la ville, « Chardon, Histoire d'Auxerre. » En 1777, le loyer de l'hôtel de la commanderie était de 400 livres; et le revenu des autres possessions de l'Hôpital dans la ville et aux environs, s'élevait à la même époque, à 962 livres. Sources: les commanderies du Grand-Prieuré de France - Eugène Mannier - Paris, Aubry et Dumoulin, 1872 (Paris) Auxerre A l'origine simple maison urbaine de la commanderie templière de Sauce, sur l'actuelle commune d'Escolives-Sainte-Camille, l'établissement d'Auxerre, une fois passé aux mains de l'Hôpital, est devenu chef-lieu de baillie pendant la guerre de Cent Ans. Bien que la première implantation du Temple dans le comté d'Auxerre, à Saint-Bris, eût remonté à 1180, le point de départ de l'expansion de l'ordre résulta de la donation faite en 1216 par Dreux de Mello de ses biens à Sauce, au sud d'Auxerre, dans une plaine marécageuse le long de l'Yonne. Cette concession fut complétée en 1231 par l'achat des moulins qu'y possédait la léproserie de Saint-Siméon d'Auxerre. A cette date, un commandeur était en place. La mainmise du Temple sur Sauce et ses environs fut obtenue par l'acquisition de nombreuses parcelles, des vignes en particulier. Procédant à des achats massifs dans les années 1250, les frères constituèrent de nouvelles maisons à Vallan, Tourbenay et Serein. Dans le même temps, ils prirent pied à Auxerre et incorporèrent à Sauce les établissements indépendants de Monéteau, Saint-Bris, Villemoison, Vermenton et Merry-sur-Yonne. L'ensemble passa aux Hospitaliers en 1317. Ceux-ci, comme l'enquête pontificale de 1373 le montre, réorganisèrent la baillie désormais composée de la commanderie chef-lieu, Sauce, et de six membres: Auxerre, Vallan, Serein, Coulanges, Tourbenay et Vermenton. Les destructions de la guerre de Cent Ans entraînèrent l'abandon de ces deux dernières maisons et le repli du commandeur sur Auxerre. La reconstruction, entreprise avec vigueur après 1450, a été facilitée par l'octroi aux preneurs de terre de baux à long terme, concédés à une ou deux vies. Alain Demurger « Les templiers à Auxerre (XIIe et XIIIe siècles) », dans Religion et société urbaine au Moyen Age: études offertes à Jean-Louis Biget par ses anciens élèves, édité par Patrick Boucheron et Jacques Chiffoleau, Paris, 2000 (Histoire ancienne et médiévale, 60), pages 301-312 Hôtel des Templiers Cellier monumentale, à Auxerre. Tout près de cette construction se trouve un édifice du XIIe ou du XIIIe siècle. C'est un grand bâtiment en petit appareil à deux pignons. Il était occupé, au commencement du XIIIe siècle, par les chevaliers de Saint-Jean de Jérusalem, qui l'ont ensuite délaissé pour habiter l'hôtel des Templiers, quand la confiscation le leur a attribué. Mais l'Ordre de Malte possédait encore en 1789 le grand bâtiment à pignons, ancienne résidence des Templiers. Une grande salle de cet édifice, l'ancienne salle capitulaire sans doute, dont la voûte a été récemment démolie, offre encore des chapiteaux octogones, tout-à-fait analogues aux consoles du cellier récemment découvert. Il est donc permis de supposer que ce cellier était l'étage souterrain d'une vaste grange ou autre bâtiment d'exploitation, destiné à emmagasiner les récoltes, dîmes ou approvisionnements que l'Ordre du Temple tirait de ses domaines dans la contrée. Rien n'indique, du reste, à quelle occasion la voûte et les piliers du cellier ont été démolis; on n'a trouvé dans les déblais nuls trace d'incendie. Les pièces de monnaie qu'on y a découvertes sont, au plus tard, du règne de Louis XIII: ce serait donc à la première moitié du XVIIe siècle qu'il faudrait rapporter l'époque du remblai, peut-être à l'occasion de l'établissement du jeu de paume quand la grange supérieure avait été détruite, et que l'on voulait obtenir un sol que l'on pût fouler à l'aise, sans craindre que les voûtes, restées à découvert et crevassées par l'action des intempéries, ne s'écroulassent sous les pieds des passants. Sources: M. Challe, de l'institut des provinces. Bulletin monumental, publié sous les auspices de la Société française pour la conservation et la description des monuments historiques; et dirigé par M. de Caumont. Auteur: Société française d'archéologie. Editeur: Lance Paris. Tome 3 série 3, volume 26, 1860. Top Chambeugle (89) Maison du Temple de Chambeugle Département: Yonne, Arrondissement: Auxerre, Canton: Charny - 89 Maison du Temple de Chambeugle Localisation: Maison du Temple de Chambeugle Cette ancienne Maison du Temple de Chambeugle était située dans la paroisse de Chambeugle (1). La maison se trouvait près de l'église, tenait vers couchant au cimetière, et vers midi au chemin de Chambeugle à Fontenouillet. Le Temple de Chambeugle existait au commencement du XIIIe siècle. Il en est question dans une décision arbitrale rendue au mois de septembre 1207, par l'évêque de Chartres et un de ses chanoines, sur un différend entre Augalone, seigneur de Prénoy, et les frères du Temple de Chambeugle, « fratres Templi de Campobugle », au sujet d'un droit d'usage que ces derniers prétendaient avoir, eux et leurs hommes, dans le bois de ce seigneur. Chapelle de Chambeugle Chapelle du Temple de Chambeugle - Sources: Jack Bocar — Le domaine de Chambeugle comprenait 150 arpents de terre, labour, prés et bois. — Le Commandeur était seigneur du lieu, et avait toute juridiction sur ses habitants, qui étaient au nombre de huit en 1495. — Le revenu de la terre et seigneurie de Chambeugle était, en 1493, de quatre setiers de froment et de 8 livres tournois par an. Il s'élevait, en 1783, à 300 livres. — Les membres de l'ancienne Maison du Temple de Chambeugle étaient au nombre de trois: Montbouy, Saint-Romain et Gien. Fief du Temple de Moulin-Rouge Il dépendait de la seigneurie de Chambeugle un fief, appelé le Moulin-Rouge, avec douze arpents de vigne, situé dans la paroisse de Saint-Martin-sur-Ouanne, sur la petite rivière qui y passe. Ce fief rapportait, en 1783, 260 livres. Fief du Temple de Moulin-Rouge Localisation: Fief du Temple de Moulin-Rouge Sources: les commanderies du Grand-Prieuré de France - Eugène Mannier - Paris, Aubry et Dumoulin, 1872 (Paris) Chambeugle durant le Procès Yonne, arrondissement de Joigny, canton de Charny à la limite des départements de l'Yonne et du Loiret: « Chambucle », « Chambugle », « domus Templi de Campo bubali. » Chapelle du Temple de Chambeugle Chapelle du Temple de Chambeugle - Sources: Jack Bocar Cette ancienne commanderie du Temple était située dans la paroisse de ce nom. La maison se trouvait près de l'église, tenait vers couchant au cimetière, et vers midi au chemin de Chambeugle à Fontenouillet. La maison du Temple de Chambeugle, au diocèse de Sens, était peu éloignée de celle de Montbouy sur le Loing, dont elle dépendait peut-être; car il est question, dans le Procès, de réceptions faites à Chambeugle par le précepteur de Montbouy. L'une de ces réceptions fut faite en la chapelle de la maison, « in quadragesima proxima, ante capcionem », par Jean de Thére, lequel est donné ici comme précepteur de Chambeugle; un prêtre du Temple, Daniel de Paris, se trouvait là. Sources: Trudon des Ormes: Les possessions templières recueillent durant les interrogatoires des templiers par les hommes de Philippe le Bel et les commissions pontificales des diocèses de France. La plupart de ces informations sortent des archives départementales, de la bibliothèque nationale et des textes rédigés par Michelet sur le Procès des Templiers. Procès des Templiers, tome I, page 293 Item, dixit se recepisse fratres P. de Claramonte et Jacobum de Via Parisia inservientes ipsius ordinis, in capella domus Templi de Campo Bubali Senonensis diocesis, et dictum fratrem P. recepit, bene sunt octo anni, presentibus fratribus Guillelmo le Parrier Henrico dicto Bolart servientibus, et Johanne dicto Peynet, et Hugone dicto David presbiteris. Procès des Templiers, tome I, page 329 Sed nescit certitudinaliter si ita fieret, quia non interfuerat capitulis eorum nec recepcioni alicujus alterius fratris ipsius ordinis nisi semel, quando frater Jacobus de Villa Parisia serviens fuit receptus apud Chambucle Senonensis diocesis, per fratrem Johannem de Tara, testem supra receptum et examinatum, et in recepcione dicti fratris Jacobi fuerunt servata omnia que supra deposuit de se ipso usque ad tradicionem mantelli. Post quam quidem tradicionem idem testis recessit inde, quia habebat curam furni in quo debebat statim panis poni, et non vidit quid fuit extunc ibi actum, ut dixit. Procès des Templiers, tome I, page 330 Item, super contentis in XCVII, VIII, VIIII et C respondit non esse vera contenta in eis, quia ellemosine ex precepto superiorum convenienter fiebant omnibus transeuntibus, et eciam ter generaliter in septimana, et hospitalitas convenienter servabatur in domibus in quibus moratus fuit, videlicet apud Oysemont et Chambugle, et inhibebatur quod non acquirerent aliquid indebite ordini. Procès des Templiers, tome II, page 40 Dixit enim se fuisse receptum in capella domus Templi de Campo Bubali Senonensis diocesis, per fratrem Johannem de Tara preceptorem dicte domus, testem supra examinatum, in Quadragessima proxima ante capcionem eorum, presentibus fratribus Daniele de Parisius presbitero, Matheo de Tilheio et Petro de Loyson, qui Matheus et Petrus fuerunt supra examinati. Sources: Procès des Templiers, publié par M. Jules Michelet, tome 1 et 2 - Imprimerie Nationale - Paris - M. DCCC. LI. Top Charny (89) (89) Seigneurie du Temple de Charny Département: Yonne, Arrondissement: Auxerre, Canton: Charny - 89 Seigneurie du Temple de Charny Localisation: Seigneurie du Temple de Charny Cette Maison était une dépendance de la Maison du Temple de Chambeugle. Les Templiers de Charny possédaient une douzaine de maisons dont une maison administrative, une grange, des participations à un moulin, (une des maisons jouxte une porte de la ville). Les templiers possédaient leur faubourg hors de l'enceinte. L'entrée ouest du pont était gardée par un château, le Bignon. On appelait Bignon une source importante alimentant un plan d'eau. Le château a disparu mais ses dépendances ont survécu, c'est le Clos actuel. Les deux caves, la basse et la haute, dépendaient de la même demeure féodale. Les seigneurs de Chêne-Arnoult, les Corquilleroy possédaient également une résidence sur la châtellenie de Charny, le château d'Arrabloy devenu Rablay. Les templiers exploitant les ferriers possédaient, outre la Commanderie de Chambeugle qui était leur camp de base, des extensions locales à: La Grange-Rouge A Prunoy et A Saint-Martin-sur-Ouanne La croix rouge, emblème des templiers, apposée sur la porte de la grange est à l'origine de la dénomination de ces lieux. A la Grange Rouge de Prunoy les templiers avaient rasé les bois permettant aux chercheurs de fer d'exploiter le minerai sauf le bois de Marolles, réservé comme futaie pour fournir du bois d'oeuvre. Un chemin, encore existant de nos jours, conduisait de la Grange-Rouge à la forge des Moulins Neufs en passant par Cocico. Les moulins neufs, situés près de la passerelle conduisant aux prés de l'Erable, deviendront par la suite le moulin de la Ville puis l'Ancien Moulin de nos jours. Le bourg possédait un moulin plus ancien, le moulin de la Gravière. Les habitations les plus confortables, entourées d'une courtille étaient situées rue Saint-Ladre. Les censives (charges) que les habitant devaient payer à la ville étaient le double de celles réclamées aux demeures plus modestes. Les Templiers de Chambeugle s'opposèrent dans un procès au seigneur de Prunoy au sujet d'un droit d'usage dans les bois de la Grange Rouge débordant sur Prunoy. Un autre différend intervint entre les mêmes Chevaliers et le curé de Charny au sujet de la perception des dîmes des Cisterciens de Fontaine-Jean. Au XIIe siècle le passage traditionnel par la Voie Creuse à Ponnessant fut peu à peu délaissé au profit du pont de Malicorne, des Gués et du ravin des Oiseaux pour finalement s'effectuer de façon définitive par Charny et son pont. Les déviations s'effectuèrent alors au bénéfice de Charny. Le passage Sommecaise, Perreux, Ponnessant, entre-autres, sera délaissé par les Templiers et les Cisterciens. Les pèlerins venant de l'est en route pour Compostelle emprunteront le nouvel axe. Le bourg s'allongera en direction du pont et sa population s'agrandira. Sources: Pierre Jeauneau - Yonne, Terre de Passion - Ouvrage édité par l'auteur en Juin 2003 Domaine du Temple de Charny C'est par des acquisitions successives que les Templiers formèrent, au XIIIe siècle, leur domaine de Charny, distant seulement d'un quart de lieue du chef-lieu de la commanderie. Eglise de Charny Eglise de Charny - Sources: Notre Famille.com Simon de Compans, chevalier, et sa femme, Adèle, fille de Guillaume de Cornillon, donnèrent en 1217, aux frères du Temple de Choisy, toute la terre qu'ils avaient au territoire de Charny. En 1221, Haton de Charny, leur vendit dix arpents de terre au même lieu, pour le prix de 10 livres l'arpent. Bientôt après, ils acquirent une partie de la terre et seigneurie de Charny, de Guy, vicomte de Corbeil, qui, par des lettres expédiées sous le sceau de l'archidiacre de Meaux, en 1222, donna aux frères de la chevalerie du Temple de Choisy, deux arpents de la terre de Charny, à prendre où ils voudraient, pour bâtir une maison, et leur céda ensuite, pour le prix de 100 livres parisis et 15 livres de Provins, tout ce qu'il possédait au même lieu, en terres, champart, hôtes et censives, avec le consentement de Raoul Chicart, chevalier, et de Pierre de Cornillon, dans le fief desquels les biens donnés ou vendus se trouvaient. Eglise de Charny Eglise de Charny - Sources: Yves Ducourtioux Les Hospitaliers qui remplacèrent les Templiers à Charny, en complétèrent le domaine et la seigneurie, en achetant en 1457, de Jacqueline des Essars, dame de Charny, tous les droits et parts qu'elle avait dans cette terre, avec les fiefs des Rabâches, des Douaires et de Beauvais qui en dépendaient. La visite prieurale de 1495 contient sur Charny, membre de Choisy, ce qui suit: « Empres de Soysy, a ung villaige a deux traicts d'arc, nommé Charny, lequel donna une dame dudit lieu de Charny en partie; auquel a xx a xxv habitans qui sont de la justice de la religion tenue en partie en fief de Monseigneur l'évesque de Meaulx, et à cause de ladite jurisdicion y a justice dressée à troys pilliers. » La maison de Charny se composait, au XVIe siècle, d'une ferme avec 350 arpents de terre. Le Commandeur avait dans l'église du lieu, tous les droits honorifiques, et la dîme sur tout le territoire. Il possédait encore des terres aux environs de Charny, à Messy, Vineuil, Vinantes, Chaconin, Neufmoutiers, etc. Il avait un moulin à blé à Précy, avec des cens au dit lieu, ainsi qu'à Congy. Sources: les commanderies du Grand-Prieuré de France - Eugène Mannier - Paris, Aubry et Dumoulin, 1872 (Paris) Top Chassignelles (89) Domaine du Temple à Chassignelles Département: Yonne, Arrondissement: Avallon, Canton: Ancy-le-Franc - 89 Domaine du Temple à Chassignelles Localisation: Domaine du Temple à Chassignelles La commanderie de Saint-Mard avait pris possession vers le milieu du XIIIe siècle d'une partie de cette terre qui relevait en fief de l'archevêché de Langres et du château de Cruzy. Chassignelles, conton d'Ancy-le-Franc. — Chassignole, 1246 (Fonds de la Maison du temple de Saint-Marc) — Chassigneles, 1256 (Cartulaire de Crisenon, folio 10 v, bibliothèque Impériale) — Chaisseneles, 1285 (Ibidem) — Chassineles, 1322 (Cartulaire du comté de Tonnerre, archives de la Côte-d'Or) Sources: Dictionnaire topographique du département de l'Yonne, rédigé par M. Max. Quantin. Paris Imprimerie Nationale M. DCCC. LXII. Chapelle funéraire de Chassignelles L'histoire de cette église , succursale de Sainte-Colombe d'Ancy-le-Franc, est très pauvre. Le commandeur de Saint-Marc et de Marchesoif, prélevait en les dîmes sur Ancy-le-Franc et sur Chassignelles près Noyers. Toutefois, sa position solitaire à l'écart du village et quelques découvertes anciennes semblent plaider pour l'hypothèse d'une chapelle funéraire devenue église paroissiale. Sa construction s'est déroulée en plusieurs étapes. Tout d'abord, dans la première moitié du XIIe siècle, il s'agit d'une petite chapelle avec clocher. Quelques années plus tard, le choeur est abattu et la longueur de la nef est doublée. Puis, deux chapelles latérales sont construites dans un troisième temps. Enfin, à la fin du XIIIe ou au début du XIVe siècle, une chapelle située face au clocher et un porche sont élevés. L'intérieur de église dessine donc une croix de Lorraine imposant quatre chapelles latérales. A la fin du XVIIe siècle, des fenêtres sont murées, d'autres repercées et une tribune est installée. Le clocher, effondré, est reconstruit. Primitivement, l'église était fortifiée, comme en témoignent les barres de fermeture de la porte et les archères de la partie ancienne du clocher (base de la tour). Il est probable également qu'un fossé défensif entourait le bâtiment. Autour du porche ogival sont répartis des bancs de pierre du goût des Xe et XIe et un lavabo du XIIIe siècle. Le portail est flanqué de pieds droits biseautés, ornés de chapiteaux romans sculptés de chevrons d'un côté et d'un masque à rabats de l'autre. Le doubleau de l'entrée de l'abside est soutenu par des chapiteaux du XIIIe et XIVe siècle. L'église était entièrement recouverte de peintures murales, dont il subsiste encore quelques fragments, dans la chapelle de gauche notamment. Les plus anciennes, à motifs géométriques ou héraldiques, peuvent dater de la fin du XIIe siècle. Les grands personnages que l'on devine dans le choeur peuvent dater du XIVe. A la fin du XVe ou au début du XVIe siècle sont peints les médaillons représentants les apôtres, l'Annonciation de la chapelle nord-est et les peintures du porche représentant sans doute le « dit des trois morts et des trois vifs », tous sujets très à la mode de cette époque gothique finissante. Le retable du maître-autel (qui est en marbre) ressemble à une boiserie. Il est sculpté en deux rangs superposés de panneaux et porte au angles deux statues en pierre de Saint-Jean et de la Vierge. Renseignements - informations Mairie de Chassignelles et Syndicat d'Initiative d'Ancy-le-Franc Top Coulanges-la-Vineuse (89) Maison du Temple de Coulanges-la-Vineuse Département: Yonne, Arrondissement: Auxerre, Canton: Coulanges-la-Vineuse - 89 Maison du Temple de Coulange Localisation: Maison du Temple de Coulange Cette maison devait sa fondation à la bienfaisance d'un chanoine d'Auxerre, Pierre de Waudes, « de Waudis », qui, par des lettres de H., évêque d'Auxerre, du mois de mai 1232, donna à ses chers amis et seigneurs les frères de la chevalerie du Temple, tout ce qu'il possédait à Coulange-la-Vineuse, « apud Colangias Vinosas », savoir: une grange, une maison, un pressoir avec ses cuves, toutes ses vignes avec une saussaie sous Escolives, « sub Escolivas. » Un mois après, les Templiers achetèrent au prix de 140 livres, d'Agnès, veuve de Mathieu de Toquin, chevalier, son douaire, sur des vignes qui leur avaient été vendues par son défunt mari sur Coulange et Vincelles, ainsi que le constate une charte de l'official de Paris, dit mois de juin 1235. Domaine du Temple de Vincelles Localisation: Domaine du Temple de Vincelles Ils acquirent plus tard d'autres biens à Vincelles. En 1257, ils recevaient à titre de donation d'Adam Trubert, un cellier et une maison avec un terrain qui s'étendait depuis le grand chemin d'Auxerre jusqu'à l'Yonne, « a communi via Autissiodori usque ad Yonam »; Et en 1271 , ils achetaient de Marguerite, dame de Brissy, « de Briciaco », pour 200 livres tournois, toute la justice haute et basse qu'elle avait au finage de Vincelles, vers le bois du val de Mercy, « versus nemus de Valle Marci. » Ils possédaient à la même époque quarante livres de cens ou de rente foncière sur divers héritages à Vincelles, Vincelottes et Escolives, qui leur avaient été concédés par Guy de Trucy, « de Thociaco », et qui avaient été amortis en 1274, par Jean de Chalons et Alice de Nevers, en leur qualité de comte et comtesse d'Auxerre. La maison de Coulange était située près des murs de la ville, dans une rue qui allait de la Grand-rue à la rue de Guienne. Elle fut démolie au XVIe siècle; et ses biens furent réunis à la maison du Sauce-d'Auxerre. Maison du Temple La Saulce Localisation: Maison du Temple Le Saulce-d'Auxerre Sources: les commanderies du Grand-Prieuré de France - Eugène Mannier - Paris, Aubry et Dumoulin, 1872 (Paris) Coulanges-la-Vineuse, arrondissement d'Auxerre. — Coleingiæ, 1197 (Cartulaire général de l'Yonne, tome II, 479) — Colungia-Vinosa, 1206 (Cartulaire de Pontigny, folio 24 r°, Bibliothèque Impériale, n° 153) — Fief appartenant au comte de Joigny et relevant du comté d'Auxerre, 1221 (Cartulaire du comté d'Auxerre) — Coloniæ-Vinosæ, XVe siècle (Pouillé du diocèse d'Auxerre) — Coloinges-les-Vineuse, 1303 (Archives de l'Yonne, commune du Val-de-Mercy) — Colonges-les-Vineuses, 1403 (Abbaye Saint-Julien d'Auxerre) — Colenges-les-Vineuses, 1411 (Titres communaux) — Collanges-les-Vineuses, 1515 (Cartulaire du comté d'Auxerre, archives de la Côte-d'Or) Sources: Dictionnaire topographique du département de l'Yonne, rédigé par M. Max. Quantin. Paris Imprimerie Nationale M. DCCC. LXII. Vincelles, commune de Coulanges-la-Vineuse. — Vincella finis super Ycaunam, 634 (Cartulaire général de l'Yonne, I, 8) — Wincellæ, 1176 (Ibidem, II, 278) — Vincelles, 1162 (Ibidem, II, 137) — Vinceiles, XIIIe siècle. — Vincelles, 1308 (Abbaye de Saint-Marien) — Fief relevant du roi au comté d'Auxerre, 1317 (Chartier des comptes de Dijon) Sources: Dictionnaire topographique du département de l'Yonne, rédigé par M. Max. Quantin. Paris Imprimerie Nationale M. DCCC. LXII. Le Saulce-d'Auxerre, commune d'Escolives. — Salix, 1296 (Archives de l'Empire, carulaire de la Maison du Temple d'Auxerre, folio I r°, S 5240) — Maison du Temple fondée au XIIIe siècle et rénunie ? l'Ordre de Saint-Jean de Jérusalem au XIVe siècle. Sources: Dictionnaire topographique du département de l'Yonne, rédigé par M. Max. Quantin. Paris Imprimerie Nationale M. DCCC. LXII. Top Coulours (89) Maison du Temple de Coulours Département: Yonne, Arrondissement: Sens, Canton: Cerisiers - 89 Maison du Temple de Coulours Localisation: Maison du Temple de Coulours La maison du Temple de Coulours, est une fondation qui remonte à l'année 1157 ou 1158.

 

 

Additional Hints (Decrypt)

qnaf yr pbva n 1.50 z qr unhg

Decryption Key

A|B|C|D|E|F|G|H|I|J|K|L|M
-------------------------
N|O|P|Q|R|S|T|U|V|W|X|Y|Z

(letter above equals below, and vice versa)