Cette série a pour objectif de faire découvrir le petit patrimoine de la commune de Saint Martin Le Hébert.
Sans difficulté particulière,faible circulation bien qu'empruntant une route départementale.
Le stationnement est possible à l'emplacement des caches bien qu'il n'y ai pas de parking.
Voici quelques règles que nous vous demandons de respecter afin que les géocacheurs qui feront ce parcours après vous puissent en profiter à 100% :
- Manipulez précautioneusement les caches.
- Remettez en place les caches comme vous les aurez trouvées initialement.
- Respectez l'environnement : trouver une cache ne signifie pas détruire la nature. De plus, pensez à ramassez vos déchets.
Ne déposez pas de photos spoiler et ne donnez pas d'indices dans vos logs. Nous nous réservons le droit de supprimer votre log dans le cas contraire.
Cette église est un édifice de style néo-roman, venu remplacer à la fin du XIXe siècle un édifice antérieur dont ne subsiste aujourd’hui que la tour, surmontée d’une flèche, érigée en 1771. Le reste de l’église a été construit entre 1897 et 1900, à l’initiative de l’abbé Lemarinel, avec le soutien des moines de l’abbaye de la Trappe de Bricquebec et des paroissiens. Le souvenir de ces bienfaits est matérialisé par la représentation d’un moine trappiste sur chacune des verrières de l’église. Ces vitraux, tous installés en 1900, forment une série complète, entièrement réalisée par l’atelier du maitre verrier Edouard Amédée Didron. Ils retracent les étapes de la vie de Saint-Martin …. Ils ont été offerts par des familles de la commune ou des notables, Prêtre, institutrice ou encore les moines de l’Abbaye de la Trappe de Bricquebec. En 2010 et 2011, la restauration complète de ces vitraux a été réalisée par le maître verrier Vincent Jaillette de Trévières pour un coût de 25 000 €.
Les fonds baptismaux 2ème moitié du 13ème siècle.
Le chemin de croix fut bénit en 1904.
Le lutrin est tripode : pieds à griffes d’aigle, placage acajou, bois ciré et doré. 1er empire
Statue de la vierge à l’enfant sur le faîtage du toit à la croisée du transept. Fin du 15ème – début 16ème siècle.