Les communes de Nord est une série de caches particulières construites grâce à la collaboration entre les géocacheurs.
Basé sur la participation volontaire, le principe de la série est simple : le premier qui le désire se propose pour poser une cache dans la ou les communes de son choix, selon les préconisations suivantes :
Dans le département du Nord, il y a 650 communes, à vous de jouer...
Pour réserver votre commune, mettre à jour votre contribution sur cette carte et faire entrer votre cache dans la liste des signets, merci d'envoyer un mail à cette adresse dédiée à la série :
communesdunord@gmail.com
Par retour de courriel, nous vous adresserons le code html pour la série "Les communes du Nord"
Nous sommes heureux d'étendre au Nord, l'idée originale d'ATMO Studio que nous remercions sincèrement pour son aide. La première série "Les communes de Vendée" est née non loin de La Roche sur Yon, à Nesmy .
Villereau, noms anciens : Villerellum, 1064, Miroeus I, 156. - Villeriel, 1135, Tit. de Saint-Aubert, Le Carp. Pr. II, 82. -
Vilerot, 1186, J. de G., ann. du Hain. XII, 339.
Monuments : L'église bâtie en 1500 possède trois cloches qui, d'après les inscriptions établies dans leur pourtour,
ont été fondues en l'an 1535, ce qui annonce que le village existait alors, et était même déjà d'une certaine importance.
Un vieux manoir nommé le château d'Odrimont et tombant en ruine existe encore en partie à Villereau.
Ce monument n'offre rien de remarquable; on ne connaît rien sur son origine et ses anciens habitans;
les bâtimens qui en restent servent de logement et de grange à un cultivateur.
Faits historiques : Village donné, en 1064, à l'abbaye du Saint-Sépulcre de Cambrai, par l'évêque Liébert.
Paroisse du décanat de Valenciennes, en 1186.
Le hameau d'Herbignies fut, en 1359, le théâtre d'un héroïque combat entre le sire de Gommegnies,
soutenu seulement par six de ses écuyers, contre 340 français.
Le 18 juin 1793, un poste français de la garnison du Quesnoy fut attaqué à Villereau et repoussé vers la place
par un parti Autrichien qui mit le village à feu et à sang. Douze habitans, dont un enfant à la mamelle et un vieillard
septuagénaire, périrent, dans ce désastre. Chassés de cette position par les Français, les ennemis y revinrent le 17 août suivant,
jour du blocus du Quesnoy, et incendièrent les trois ou quatre maisons qui avaient été épargnées lors de la première affaire.
Il ne resta debout que l'église, dont le portail fut brûlé, le presbytère et le manoir d'Odrimont.
Les archives communales ont été à cette époque complètement détruites.
Villereau a 939 habitants, au nombre desquels sont comptés 38 indigens et 2 mendians.
Son étendue territoriale est de 562 hectares, dont 264 en terres labourables, 264 en prés, 2 en bois, 5 en propriétés bâties,
25 en routes et chemins, et 2 en rivières. On y récolte le blé, l'orge, le seigle, l'avoine, les fèves, le trèfle, le gros fourrage
et les pommes de terre. Ses productions principales sont le blé, l'orge et l'avoine.
On trouve en ce village de Villereau 2 moulins à farine , mus par l'eau une brasserie , 3 blanchisseries de toiles.
Hameaux et lieux dits : Herbignies. La Ferme d'Odrimont. La Belle Maison. Saint-Sépulcre. Ramponneau. Le Franc - Alleu. Le Rond-Chêne.