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Les Hauts de Ménil'muche - Le chateau de mon père Traditional Geocache

This cache has been archived.

DunstanCooper: Malheureusement la boite à disparu.
Je laisse la place au nouveau géocacheur du 11ème qui pourront faire des maintenances de façon plus simple.

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Hidden : 11/26/2015
Difficulty:
1 out of 5
Terrain:
1.5 out of 5

Size: Size:   micro (micro)

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Geocache Description:

Le pavillon des frères Goncourt. A Ménilmontant. Tout est dit.


ATTENTION : Le lieu de la cache n'est pas tout le temps ouvert au public. De plus il y a une boite du jeu des Cistes à proximité : NE PAS CONFONDRE. Sur le logbook il est clairement noté géocaching, sur l'autre il est clairement indiqué Ciste.

Ouverture
-8h en semaine
-9h week-end et jours fériés

Fermeture : horaires variables selon les saisons
-De l'horaire d'hiver à la fin février: 17h00
-Du 1er mars à l'horaire d'été: 19h
-De l'horaire d'été au 30 avril: 20h30
-Du 1er mai au 31 août: 21h30
-Du 1er au 30 septembre: 20h30
-Du 1er octobre à l'horaire d'hiver: 19h30

Cette cache fait suite aux caches suivantes : Les Hauts de Ménil'muche, Les Hauts de Ménil'muche - Réveil sans fanfare, Les Bas de Ménil'muche - La forge des artistes, et Les Bas de Ménil'muche - le chemin des indics'. Elle peuvent toutes se faire indépendamment les unes des autres.

Je me rapprochais du « château » à grand pas. Enfin à grand pas… la rue de Ménilmontant étant ce qu’elle est les pas sont plus du genre petits. La grimpette est forte mais j’arrive enfin devant la folie. Ça c’est du bureau. La grande classe.

« Le pavillon, dit Pompadour, est une maison de plaisance, une folie, construite au XVIIIe siècle comme lieu de plaisir et de villégiature. L'un des premiers propriétaires, Nicolas Carré de Baudouin, en hérita en 1770, et demanda à Pierre-Louis Moreau-Desproux, qui était Maître des bâtiments de la ville de Paris, d'y adjoindre une façade palladienne en péristyle avec quatre colonnes de style ionique. La maison fut ensuite la propriété de la famille Goncourt, et Jules et Edmond de Goncourt y passèrent une partie de leur enfance. Le pavillon été inscrit au titre des monuments historiques par un arrêté du 19 octobre 19281.
À partir de 1836, les sœurs de Saint Vincent de Paul y fondent un orphelinat, l'Asile des petits-orphelins, dans un bâtiment adjacent construit pour l'occasion et comprenant une chapelle. De 1971 à 1992, les sœurs gèrent avec la ville de Paris un centre médico-social et un foyer de jeunes travailleurs. Après que les sœurs ont annoncé en 1992 leur souhait de vendre cette propriété, celle-ci est achetée par la ville de Paris en 2003 et réhabilitée par les architectes Stéphane Bigoni et Antoine Mortemard.
En 2005, le jardin Carré-de-Baudouin de 1 800 m2 est ouvert au public, et en 2007 le pavillon qui avait jusque-là été caché à la vue du public, est ouvert à son tour. Il offre différents équipements consacrés à l'art et à la culture sur 815 m2 : un auditorium, des salles d'exposition, des bureaux pour des associations, une Maison de la laïcité, etc. »

Un lieu appréciable à tout niveau que j'admirais les fesses sur un banc. Ce qui dénote c’est le gus, une véritable armoire à glace, qui traine devant la porte d’entrée. Je parierai ma chemise que c’est lui qui m’a matraqué pas plus tard que la veille. J’suis pas du genre à tenir les comptes mais quand on me sonne j’aime bien rendre le coup de cloche. Il m’avait pas vu approcher et je lui envoyais mon retour dans sa mauvaise trombine. De quoi le sonner quelques temps. J’entrais dans l’bâtiment. Je tombais nez à nez avec la vampette, la sœur de René, et un mec qui lui ressemblait suffisamment pour que j’en déduise leur lien de parenté. Là où c’est devenu carrément louche c’est quand elle m’a appelé par mon prénom. « Salut Nestor, on attendait plus que toi pour la fête. »

Additional Hints (No hints available.)