L'enclos du Port
La "montagne" du Faouédic protège les chantiers situés à proximité des vents dominants. Et c'est tout naturellement qu'en 1677, elle accueille le moulin de la boulangerie de la Compagnie. En 1719 un village s'installe mais à part quelques exceptions ce ne sont que des taudis ...
La tour de la Découverte
La métamorphose de ce quartier date de 1731, lorsque le contrôleur général Orry ordonne de regrouper à Lorient toutes les activités de la Compagnie des Indes. Puis de 1733 à 1750, menée par Saint-Pierre et Guillois, l'équipe de Jacques V Gabriel, premier architecte du roi, le quartier se développe. Réseau de fontaines pour l'eau, pavage et plantations ... Les taudis sont rasés. La tour de la Découverte, plusieurs fois reconstruite de 1737 à 1787, domine l'ensemble. De son sommet, le veilleur scrute la mer, de Belle Ile aux Glénan.
Premier indice
Aux coordonnées N 47° 44.721 W 003° 21.226 vous pouvez voir la date de la réédification de la tour de la découverte. Notez A la somme des chiffres de cette date. N'oubliez pas de faire une réduction de cette somme ! (par exemple 23 est égal à 5) ...
Les moulins du Faouëdic
La Compagnie des Indes aura fait élever deux moulins sur la colline du Faouëdic : le premier en 1677, le second en 1719. Construits en moellons et couverts d'ardoises, ils mesurent chacun 25m de haut et possèdent un escalier intérieur desservant les différents niveaux.
Ces moulins à blé fournissaient la farine nécessaire à la confection du pain et des biscuits de mer qui nourrissaient les ouvriers du port ainsi que les équipages.
Les moulins étant rendus inopérants après une violente tempête en 1825, la meunerie est totalement supprimée et le moulin situé à l'est est transformé en observatoire, puis en musée de la Marine. L'autre sert au XIXe siècle de logement au gardien-guetteur.
Second indice
Aux coordonnées N 47° 44.721 W 003° 21.198 vous vous trouvez entre les 2 moulins. Qu'a t'on érigé là ? Notez B le nombre de lettres de ce que vous voyez.
Le réservoir
Construit en 1875 par l'ingénieur Edouard Angiboust sur le réseau d'alimentation en eau de la Compagnie des Indes, le réservoir dit " de la haute cour des travaux maritimes " permettait de stocker l'eau utilisée dans l'arsenal.
D'une capacité de 3105 m3, il est en grande partie enfoui et recouvert d'un remblai végétal. Plutôt que la pierre de taille, c'est un béton de ciment de Portland qui a été utilisé ici à titre expérimental pour édifier les voûtes portées des piliers.
Troisième indice
Aux coordonnées N 47° 44.697 W 003° 21.216 vous êtes devant le remblai du réservoir. Cette petite ruelle qui descend à pour nom la rampe des ??? Notez C le nombre de lettres de cette rampe (sans compter le terme de rampe des).
Il ne vous reste plus qu'à vous rendre aux coordonnées de la cache. Après cette plongée dans le passé de l'enclos vous vous dirigez vers une partie beaucoup plus moderne !
La cache se situe aux coordonnées suivantes : N 47° 44.[6(A+B+4)] W 003° 21.[1(C+36)]