En 1855 on écrivait: Moulin ayant quatre paires de meules qui sont mises en mouvement, à savoir deux par deux roues à barils et deux par deux grandes roues (roues à aubes) et un battoir à blé. Une chute de 1,60 mètre pour une force dynamique de 12 chevaux. Cette usine chôme quatre mois par an par manque et crues d'eau pour deux paires de meules sur quatre.
Les derniers meuniers de Parmoins sont Albert Vincent, qui finira sa carrière comme ouvrier au Moulin de Chantemerle et Célestin Bey qui arrêtera en 1941, date de la cessation d'activite du moulin.
Il n'existe actuellement plus aucun vestige si ce n'est le pont du canal ainsi qu'une vanne a crémaillère.