Au fil de cette série vous avez pu découvrir et recopier les indices présents dans ces boites « féeriques ».
Ceux qui ont déjà échangé avec moi auront déduit l'origine de ce langage, pour les autres voici la clef du mystère. Il s'agit du langage des Elfes, une langue élaborée avec son vocabulaire précis et ses règles de grammaire.
Les coordonnées de la cache sont les suivantes :
Les coordonnées en poche, il vous faudra pour loguer cette cache être digne du Royaue de féérie :
- Savoir vous détacher de la notion du temps humain
- Faire preuve de patience
- Etre délicat
- Avoir de l'humour
- Etre dôté d'une intelligence fine et observatrice.
Nul doute que les esprits de la forêt vous entoureront, vous observeront et que vous ferez le soir l'objet des histoires contées lors des veillées féériques !
Avant de repartir n'oubliez de remercier les fées de la nature, car vous venez d'être leur hôte.
Le langage elfique:
Le sindarin (edhellen, edhellen en script tengwar), ou gris-elfique, est l’une des langues imaginaires parlée par les Elfes . C’est la langue des Sindar ou Elfes Gris et s’écrit en alphabet latin, en script tengwar ou en script cirth. Principalement influencé par le finnois, dans sa grammaire, sa phonologie et son vocabulaire, on y trouve aussi des influences du latin, du grec, de l’allemand et de l’espagnol.
Alaphabet Sindarin:
Règles de numération en sindarin
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Les chiffres de un à neuf et les nombres de dix à douze sont rendus par des mots spécifiques :
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mîn (mîn)[1],
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tâd (tâd)[2],
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nêl (nêl)[3],
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canad (canad)[4],
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leben (leben)[5],
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eneg (eneg) [6],
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odog (odog)[7],
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tolodh (tolodh),
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neder (neder) [9],
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pae (pae) [10],
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minig (minig) [11]
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et uiug (uiug) [12].
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Les Elfes utilisaient originellement un système duodécimal (de base 12), ce qui explique l’irrégularité de onze et douze.
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Les dizaines sont formées en ajoutant une forme du mot dix (phae, phae) après la racine du chiffre multiplicateur correspondant, à l’exception de dix : pae (pae) [10],
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taphae (taphae) [20],
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nelphae (nelphae) [30],
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canaphae (canaphae) [40],
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lephae (lephae) [50],
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enephae (enephae) [60],
odophae (odophae) [70],
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tolophae (tolophae) [80]
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etnederphae (nederphae) [90].
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Les nombres de treize à quatre-vingt-dix-neuf se construisent en disant la dizaine en premier, puis l’unité reliée avec -a- (-a-) ou -ar- (-ar-) avant une voyelle pour les nombres entre treize et dix-neuf (exp. : pae-ar-eneg(pae-ar-eneg) [16], pae-ar-odog (pae-ar-odog) [17], taphae-a-leben (taphae-a-leben) [25], canaphae-a-eneg (canaphae-a-eneg) [46]).
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Les centaines se construisent de la même façon que les dizaines, c’est-à-dire en ajoutant le mot cent (haran,haran) après la racine du chiffre multiplicateur correspondant, à l’exception de cent lui-même : haran (haran) [100], tacharan (tacharan) [200], nelcharan (nelcharan) [300], canacharan (canacharan) [400], lefaran (lefaran) [500], enecharan (enecharan) [600], odocharan (odocharan) [700], tolocharan (tolocharan) [800] et nedercharan(nedercharan) [900].
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Le mot pour mille est meneg (meneg).
Les chiffres en Sindarin :
le Zéro est le même que pour le langage humain
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