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LE SQUARE VICTOR HEMERY Traditional Geocache

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lalealboflo: Site complètement nettoyé.
Il n'y a plus rien du tout...
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Hidden : 8/22/2014
Difficulty:
2.5 out of 5
Terrain:
1.5 out of 5

Size: Size:   micro (micro)

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Geocache Description:

UNE CACHE PROPOSEE PAR ...

Montage créé avec bloggif

 

  

Joli parc où vous pourrez faire une pause casse-croûte sur la série des caches de MONTFORT... D'autres vont suivre, ce village mérite bien qu'on s'y penche un peu... Profitez en pour faire la cache le pont du circuit de VIPER, elle est très instructive et les deux font la paire!

Victor Hémery (né le 18 novembre 1876 à Sillé-le-Guillaume (Sarthe) et mort le9 septembre 1950 au Mans) était un pilote automobile français.

Il a notamment remporté le Grand Prix automobile de France 1911, au volant d'une Fiat S61.

Il entre à 13 ans au Collège technique du Mans, comme mécanicien, où il est un brillant élève.

À 17 ans, il entre chez Bollé qui remarque ses prédispositions : il en fait immédiatement son aide, tantôt comme mécanicien, tantôt comme dessinateur.

Vers 1895, il est embauché chez Darracq(Talbot), et en 1902 il produit sa première course, puis termine 4e sur le circuit de Paris-Vienne, et participe au Paris-Madridl'année suivante (1903, 19e). En 1904, il collabore activement -comme pilote d'essais- à la préparation de la Darracq pour la coupe Gordon Bennett, ainsi qu'à la victoire de cette voiture dans la course Hambourg-Bahrenfeld.

En 1905, il obtient son premier record du monde de vitesse terrestre : à Ostende, il couvre le kilomètre à 176 km 400 à l'heure, sur Darracq. Il remporte la course de côtede Chênée en août, le Circuit des Ardennes à Bastogne, et en octobre la Vanderbilt Cup de Long Island (NY) ce qui lui vaut rétroactivement en 1951 le titre de Champion des États-Unis des conducteurs pour l'année citée, grâce à l'ensemble de ses résultats américains alors récoltés.

En 1907, il entre chez Benz, termine second du Grand-Prix de France ainsi que du Grand-Prix de Savannah (Georgie), puis remporte la course de côte d'Évreux en novembre1.

Le 19 mai 1908 il gagne la course Saint-Pétersbourg-Moscou, véritable rallye long de plus de 700 kilomètres devant Victor Demogeot sur Darracq, et Louis Wagner sur Fiat (5e Otto Hieronimus)2.

En 1909 et toujours pour Benz, il bat à Brooklands le record du monde de vitesse en couvrant le kilomètre à 202 km 700 de moyenne horaire, sur la fameuse Blitzen Benz: c'est alors la plus grande vitesse jamais réalisée avec un moyen de locomotion humain, que ce soit sur terre, dans l'eau, ou dans les airs.

En 1912, il entre chez Lorraine-Dietrich et remporte sa dernière victoire, sur le Circuit de Brooklands.

De 1902 à 1912 il aura obtenu un total de 34 podiums.

Puis survient la guerre, durant laquelle il est affecté comme chef de parc à Versailles. Après celle-ci il reste dans le milieu automobile, et devient inspecteur des permis de conduire.

Le Grand Prix automobile de France (officiellement appelé Grand Prix de l'ACF jusqu'en 1967) est une course automobile créée en 1906. Il figurait au calendrier du championnat du monde de Formule 1 de 1950 à 2008 (exception faite de l'année 1955 où l'épreuve a été annulée suite au drame des 24 Heures du Mans). L'épreuve s'est déroulée sur le circuit de Nevers Magny-Cours de 1991 à 2008.

Historique

Du Mans à Nevers Magny-Cours

Créé en 1906, le Grand Prix de France est le doyen des Grand Prix automobiles. Suite aux accidents qui marquèrent la course Paris-Madrid en 1903, l'Automobile Club de France et les autorités imposent la tenue de l'épreuve sur circuit. Le Mans fait acte de candidature et la ville qui a vu naître la première voiture commercialisée (Amédée Bollée) reçoit le 26 juin 1906 trente-deux voitures pour le premier Grand Prix de France, sur un circuit de 103,16 km constitué presque uniquement de lignes droites. Contrairement aux courses se tenant de ville à ville, le secteur routier utilisé pour la course est fermé à la circulation. Pour contourner certains villages, les organisateurs mettent en place des déviations en bois. De plus, on goudronne « à chaud » le circuit, formant des escarbilles brûlantes arrivant à s'immiscer jusque derrière les lunettes spéciales des pilotes.

Ces travaux coûtent fort cher et le bilan financier du Grand Prix est catastrophique. L'année suivante la longueur du circuit est réduite de moitié. On délocalise ainsi les éditions 1907 et1908 sur le petit circuit de Dieppe, nettement moins coûteux.

Le Grand Prix de France n'a, dès l'origine, jamais privilégié un circuit en particulier. Le dernier circuit utilisé était le circuit de Nevers Magny-Cours.

Tentatives de sauvetage

Le contrat liant la Formula One Management à la société gérant le circuit de Magny-Cours était valide jusqu'en 2009 mais la FFSA(organisateur et promoteur de l'épreuve), estimant que toutes les conditions n'étaient pas réunies pour le financement de l'événement, renonce au statut de promoteur financier, ce qui provoque l'annulation de l'édition 2009, faute de promoteur1.

La FFSA a eu pour projet de réorganiser le Grand Prix à partir de 2011, sur un nouveau tracé situé en région parisienne. Après de multiples propositions, dont une au Parc Disneyland, une à Versailles et une autre à Flins-sur-Seine, sur un site situé à côté de l'usine Renault, deux projets restent en lice : Val de France, à Sarcelles près de l'aéroport de Roissy Charles-de-Gaulle et un projet de modernisation du circuit de Nevers Magny-Cours2. Enfin, le circuit Paul-Ricard est également candidat à l'organisation du Grand Prix de France qu'il a accueilli à de nombreuses reprises entre 1971 et 19903.

Courant 2011, le gouvernement français se saisit de l'affaire et le Premier ministre François Fillon crée une cellule d'étude du projet dirigée par Gilles Dufeigneux, délégué aux grands événements sportifs4. Les efforts se concentrent sur l'idée d'une alternance des Grands Prix de France et de Belgique5. Après l'abandon des autres projets, l'épreuve pourrait donc être organisée une année sur deux sur le circuit Paul Ricard. Le Premier Ministre se rend sur le circuit Paul Ricard le 30 mars et annonce le retour du Grand Prix de France au Castellet pour « des raisons techniques, historiques et financières ». Sujet à l'alternance avec Spa-Francorchamps, il ne peut pour l'heure être donnée de date, compte tenu des difficultés financières du Grand Prix de Belgique6.

Faits marquants

GP de France 1953 : Présentée par la presse spécialisée de l'époque comme la « course du siècle », l'épreuve est le théâtre d'un affrontement au sommet entre les armadas Ferrari et MaseratiJuan Manuel Fangio (Maserati) semble en mesure de faire trébucher les Ferrari pour la première fois depuis près de 18 mois, mais au prix d'une manœuvre de dépassement « virile » dans le dernier virage, le jeune pilote britannique Mike Hawthorn décroche sa première victoire tout en conservant l'invincibilité de la marque au cheval cabré.

  • GP de France 1954 : L'événement de la course est la présence au départ des « Flèches d'Argent » Mercedes, absente du monde des Grands Prix depuis 1939. Dès leur première apparition, les W196 font preuve d'une insolente supériorité sur la concurrence et Fangio remporte facilement la course.

  • GP de France 1957 : Annoncé sur le déclin après une saison 1956 en demi-teinte (bien que ponctuée d'un quatrième titre de champion du monde), Fangio (Maserati) livre une leçon de pilotage sur le circuit de Rouen-les-Essarts. Obligé de composer avec des pneus à l'agonie, il gratifie notamment les spectateurs de spectaculaires passages tout en glisse dans la descente du « Nouveau Monde ». Sa victoire le rapproche de son cinquième titre mondial.

  • GP de France 1958 : Mike Hawthorn (Ferrari) remporte sa seule victoire de la saison, ce qui ne l'empêchera pas de décrocher le titre mondial. Marqué par l'accident mortel de Luigi Musso (Ferrari), le Grand Prix est également celui des adieux à la compétition de Fangio. Obligé de composer avec une Maserati vieillissante, en proie à un embrayage cassé, le pilote argentin est proche de subir l'humiliation de se faire prendre un tour en fin de course par Hawthorn. Par respect, l'Anglais restera derrière lui et en réponse aux interrogations des journalistes sur son attitude, aura ce mot resté célèbre : « On ne prend pas un tour à Fangio ».

  • GP de France 1961 : Débutant en championnat du monde (il a déjà disputé et remporté deux Grand Prix de F1 hors-championnat, mais face à une opposition hétérogène), le pilote italien Giancarlo Baghetti crée la sensation en s'imposant au volant de sa Ferrari privée (engagée par la fédération italienne). Si l'on excepte Giuseppe Farina (GP inaugural du championnat en 1950) et Johnnie Parsons (premier Indy 500 comptant pour le championnat), Baghetti est le seul pilote à s'être imposé dès ses débuts en championnat du monde.

  • GP de France 1968 : Disputée dans des conditions météorologiques exécrables, la course est marquée par l'accident mortel du populaire pilote français Jo Schlesser (Honda), dont c'étaient les débuts en F1. Vainqueur de son premier Grand Prix, Jacky Ickx(Ferrari) déposera son bouquet de fleurs sur le lieu de l'accident.

  • GP de France 1979 : Jean-Pierre Jabouille (Renault) marque l'histoire de la F1 en remportant son premier Grand Prix, mais surtout en faisant triompher pour la première fois une monoplace à moteur turbo. Sur le coup, son succès est pourtant en grande partie éclipsé par le duel d'anthologie que se sont livrés dans les derniers tours pour le gain de la deuxième place Gilles Villeneuve(Ferrari) et René Arnoux (Renault).

  • GP de France 1982 : Les pilotes français sont à l'honneur sur leurs terres puisqu'ils signent un quadruplé historique (dans l'ordre : René Arnoux, Alain ProstDidier Pironi et Patrick Tambay). Mais sur le podium, la tension est palpable entre Arnoux et Prost, équipiers chez Renault. Prost, mieux placé qu'Arnoux dans la course au titre, reprochera à celui-ci de ne pas avoir joué le « jeu d'équipe » comme il s'y était, d'après lui, engagé avant le départ.

  • GP de France 1999 : Disputé dans des conditions météorologiques dantesques, le Grand Prix donne lieu à un scénario à rebondissement d'où émerge en vainqueur l'inattendu Heinz-Harald Frentzen sur Jordan-Mugen.

  • GP de France 2002 : Vainqueur de la course (après avoir notamment profité d'une erreur de Kimi Räikkönen en vue de l'arrivée), Michael Schumacher(Ferrari) remporte son cinquième titre mondial. Jamais un champion du monde n'avait été sacré aussi tôt dans la saison.


 

 

 

Additional Hints (Decrypt)

rager frf cvrqf, ovra pnzbhyér!

Decryption Key

A|B|C|D|E|F|G|H|I|J|K|L|M
-------------------------
N|O|P|Q|R|S|T|U|V|W|X|Y|Z

(letter above equals below, and vice versa)