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Communes du Calvados : Perrières Traditional Geocache

Hidden : 7/4/2014
Difficulty:
1.5 out of 5
Terrain:
1.5 out of 5

Size: Size:   micro (micro)

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Geocache Description:


Les communes du Calvados est une série de cache particulière construite par la collaboration entre les géocacheurs. Le principe de la série est simple et est basé sur la participation volontaire : le premier qui le désire se propose pour poser la suivante de la série en respectant, si possible, les règles ci-dessous :

  • Le nom de la cache posée commencera par "Communes du Calvados : " suivi du nom de la commune du Calvados où elle est située.
  • Il n'y a aucun ordre particulier à suivre
  • Il n'est pas nécessaire d'avoir trouvé une cache de la série pour participer.
  • La cache doit être posée dans une commune du Calvados non encore répertoriée (il y a 706 communes dans le Calvados).
  • Pas de limitation de taille, difficulté, terrain ou type
  • Il est bien que le descriptif de la nouvelle cache contienne les présentes règles et soit suivi d'une présentation de la commune choisie pour la cache.

Cette série est une idée d’Atmo Studio.

 

Pour mettre à jour votre contribution et faire entrer votre cache dans le bookmark list, merci de me contacter.

Je laisse à votre disposition un fichier PDF qui sera mis à jour à chaque demande de réservation de cache ou de création.

Un simple Ctrl+F vous permettra de faire une recherche rapide pour savoir si la commune est disponible.

Listing des communes du calvados.pdf

Histoire de Perrières de 1908 - 1941 

Septembre 1908  -  Les enfants imprudents.  -  Émile Lénard, âgé de 9 ans, dont le père est mineur aux carrières de Perrières, ayant trouvé une cartouche de dynamique  l'on croyait hors d'usage voulut, en compagnie de plusieurs de ses camarades, s'amuser à la faire partir. Une formidable détonation retentit.

Le jeune Lénard fut trouvé renversé, quatre doigts de la main arrachés portant des blessures à tête aux jambes. Un de ses camarades, René Ambroise, avait également de légères blessures à une main.

Émile Lénard a été transporté à l'hôpital. On espère qu'aucune complication ne se produira.  

 

Août 1913  -  Terrible accident  -  On a trouvé au lieu-dit le Mollier, dans un petit chemin rural, à 40 mètres de la route qui traverse Perrières, le nommé Besnard, carrier, les deux jambes broyées. Le malheureux paraissait ivre. On suppose qu'il a été heurter par une automobile et que pour cacher leur méfait, les auteurs de l'accident l'ont traîné à l'écart dans le petit chemin. L'enquête ouverte recherche une automobile qui a pris la direction de la Falaise.  

 

mai 1915  -  Enfant écrasé par le tramway.  -  un enfant qui croit-on, avait voulu monter sur un wagon au moment où le tramway traversait le passage à niveau à la sortie de Perrières, eu la jambe écrasée entre les tampons. Étant ensuite tombé, il fut écrasé par  la roue du 13e wagon trouvé déraillé à l'endroit où l'accident s'est produit. C'est un nommé Falaize, Marcel, né le 1er juillet 1909. Le corps de la petite victime fut transporté au domicile  de sa mère sur les ordres de M. Le maire de Perrières.

 

Janvier 1917  -  Histoire du 1er janvier.  -  Dans la matinée du 1er Janvier, Louis Lemoine, journaliers à Perrières, s'en fut acheter du foin à Courcy, et dut boire pas mal de Cidre et de café dans la journée, car en revenant chez lui, le soir, il était blessé et couvert  de sang. il se plaignait d'avoir été assailli dans le hameau du Breuil, par des individus qui lui auraient porté un coup de bâton sur la tête, le laissant ensuite évanoui à l'endroit où il était tombé. Lemoine avait en outre perdu son porte-monnaie contenant 31 francs, mais ne pouvait dire s'il l'avait perdu ou s'il lui avait été dérobé.

Il conta son histoire à la gendarmerie et dénonça un habitant du pays de l'avoir frappé. Ce dernier nie énergiquement et soutient que Lemoine s'était blessé seul en tombant, étant dans un état d'ivresse l'empêchant de s'en aller sans heurts fâcheux.

L'enquête de la gendarmerie continue, mais déjà il semble que Lemoine ne s'est blessè dans sa chute et qu'il n'a pas été attaqué en route.  

 

Octobre 1917  -  Mordu par un cheval.  -  M. Pescheux, employé à Perrière, voulait débrider un cheval méchant pour le faire manger. Il a été cruellement mordu à la main. Le blessé a reçu les soins du docteur Henseval.

 

Mars 1918  -  Évasion.  -  Au cours du travail, un exclu de l'atelier des carrières de Perrières, le nom Ospital Armand, a réussi à tromper la surveillance des sentinelles et à s'évader. Immédiatement des patrouilles ont été envoyées dans les communes voisines de Vendoeuvre, Jort et Saint-Pierre-sur-Dives, mais les recherches n'ont donné jusqu'ici aucun résultat.

 

Septembre 1918  -  Vol.  -  Un vol de savon et d'eau-de-vie a été commis au préjudice de Mme Madeleine, cultivatrice à Perrières. On soupçonne un ancien domestique de cette dame, actuellement soldat à Falaise.

 

Mars 1924  -  Accident aux carrières.  -  Le carrier espagnol Montoya José, âgé de 24 ans, était en train de déblayer une mine lorsqu'une pierre se détachai et lui tomba sur la tète, lui faisant une plaie de 5 a 6 centimètres de longueur. Étant donné son état, le blessé a été transporté l'hôpital de Falaise.  

 

Juillet 1926  -  Une femme féroce.  -  Les époux Travers, journaliers à Perrières, avaient entre eux des discussions fréquentes dues, la plupart du temps, au caractère irascible et aux habitudes d'intempérance de la femme.

Le mari, homme sobre et laborieux jouissait d'une excellente réputation dans le pays, il fut, maintes fois victime des brutalités de sa terrible compagne.
Le 28 février dernier, dans la soirée, il était allé prendre un verre de cidre chez un voisin et resta quelques instants en conversation avec les personnes présentes.
La femme Travers survint après une scène bruyante, elle ordonna au journalier terrorisé par ses menaces, de rentrer chez elle. 
Pressentant un dénouement tragique, les voisins qui avaient entendu les clameurs de la mégère, se mirent aux écoutes près de l'habitation.

Au comble de la fureur, la femme Travers, à un certain moment, lança par la fenêtre restée ouverte, une lampe qu'elle venait d'allumer. Le mari jugea prudent de sortir, et prétexta qu'il allait chercher son fils. Lorsqu'il rentra, la dispute reprit, encore plus violente. Sous l'empire de la boisson, la femme Travers proféra bientôt les pires menaces.

« Tu vas passer par la fenêtre s'écria-t-elle tout à coup. Joignant le geste à la parole, elle se précipita sur son mari, adossé contre l'appui de cette fenêtre, et d'une poussée traîtresse le fit basculer dans le vide. Il vint s'abattre sur le sol il resta inanimé.

La misérable qui s'était penchée pour voir sa victime, n'eut pas un mot de pitié ni de regret. a « Tu peux crever là, dit-elle, ce n'est pas moi qui te relèverai. Ceux qui vont passer s'occuperont de toi s'ils le veulent ».
Aidés par le garde-champêtre, quelques habitants du village, portèrent secours au malheureux qui s'était bri la colonne vertébrale dans sa chute. Ils le montèrent dans sa chambre et l'étendirent sur son lit.
La femme Travers, en proie à la même fureur, ne
cessait de répéter « Oui, tu peux crever, mon vieux, mais n'attends rien de moi ». Et elle invectiva les charitables voisins qui prodiguaient des soins au blessé.

Transporté à l'hôpital de Falaise, Travers y succomba le 6 mars. Le decin-légiste, chargé de procéder à l'autopsie, a constaté que la mort avait été occasionnée par des lésions de la moelle épinière, consécutives à la chute de la victime, et par la fracture des vertèbres cervicales.

La coupable passa des aveux complets, et se défendit même d'avoir agi sous l'empire de l'ivresse, alléguant qu'elle avait seulement riposté aux bourrades de son mari. Tardivement à la clôture de l'instruction, elle s'est décidée à témoigner de quelques regrets.

L'accusée n'a pas d'antécédents judiciaires, mais les renseignements recueillis sur son compte sont défavorables.
Mariée une première fois en 1891, à un sieur Guillot, ouvrier mineur, et devenue veuve en 1903, après avoir eu six enfants de cette union, elle vécut ensuite, longtemps, en concubinage.
La femme Travers a toujours eu la réputation d'une femme acariâtre, de nature légère, mais elle était réputée travailleuse, et n'a jamais donné lieu à des soupçons sur le rapport de la probité. La femme Blanche Travers a été condamnée à 5 ans de réclusion.

 

Septembre 1926  -  Accident aux carrières.  -  M. Georges Trouillard, 30 ans, charretier aux carrières de l'Ouest, conduisait un cheval traînant des wagonnets. Soudain, il tomba en travers des rails, ne perdant pas son sang-froid, il fit arrêter le cheval, mais il fut cependant atteint à la cuisse gauche qui cala le wagonnet.

M. Trouillard reçut les soins du docteur Fernagut, de Saint-Pierre-sur-Dives, qui fit transporter le blessé à l'hôpital de Falaise.

 

Septembre 1926  -  Tombé de cheval.  -  Le jeune Gérard Leprince, 14 ans, employé chez son père, M. Raoul Leprince, revenait des champs monté sur un cheval, lorsqu'il tomba et reçut un coup de sabot dans la jambe gauche. Le docteur Saillant a ordonné trois semaines de repos.

 

Décembre 1926  -  Une fête du travail aux carrières.  -  Une petite fête intime a eu lieu aux carrières de pierres de Perrières, à l'occasion de la remise de 13 médailles du travail aux ouvriers ci-dessous :

Lagrèze Pierre, 37 années de services ; Charles Louis, 34 ; Foucher Augustine, veuve Chaumont, 34 ; Pannelier Marie, femme Hie, Jules, 33 ; Léon Joseph, 33 ; Hardy Marie-Louise, Vve Ragot, 32 ; Touchet Henri, 32 ; Tarot Mélanie, Vve Lachambre Léon, 32 ; Tharers Louise, femme Charles Charles, 31 ; Guézard Gustave, 30 ; Laigneau Joséphine, Vve Babin, 30 ; Lelandais Dominique, 30 ; Pannetier Joséphine, femme Bresteau Eugène, 30 années de services.

La distribution a été faite sous la présidence de M. Duret, directeur gional de la société des carrières de l'Ouest, à Caen, assisté du personnel dirigeant du chantier. A cette occasion un vin d'honneur a été offert dans les bureaux du chantier à ces dévoués serviteurs auxquels s'étaient joints les décorés des précédentes promotions.

M. Duret a excusé M. Bruneau directeur général à Paris de ne pouvoir venir lui-même présider cette réunion qui est une preuve de la bonne entente et de la cordialité régnant entre les ouvriers et les patrons de cette société. La direction a remis à chaque décoré une petite somme, pour lui permettre de fêter en famille les nombreuses années de services à son chantier de Perrières.
Souhaitons maintenant à tous ces braves ouvriers et ouvrières d'avoir droit à la médaille d'or du travail et nous ne doutons pas qu'à cette occasion la direction des Carrières de l'Oued ne soit heureuse de donner une nouvelle preuve de bienveillance pour son personnel ouvrier.  

 

Décembre 1926  -  Vol de sapins.  -  Il y a quelques jours, M. Fernand Gaubé, garde-champêtre vit, arrivant d'une sapinière appartenant à Mme Ponteau, une charrette à bras poussée par Maurice Moulin, 27 ans, carrier, sans domicile fixe, née à Perrières.

Il était accompagné du jeune Delezée, âgé de 15 ans, auquel il avait demandé de lui aider à pousser la voiture. Moulin avoua qu'il avait scié les 24 sapins morts qui étaient dans la voiture, dans le bois situé au lieu dit la Carrière aux Loups.

Procès-verbal fut dressé ainsi que contre la veuve Madeleine Delezée, née Madeleine Moulin, 34 ans, casseuse de pierres à Perrières, née à St-André-de-Fontenay, qui, le même jour, au matin, avait transporté avec son fils, cinq sapins morts, chez elle.

Tous deux affirment que c'est la première fois qu'ils allaient chercher du bois dans la sapinière.

 

Janvier 1929  -  Incendie. -  Un grave incendie à éclaté, ces jours derniers, vers 1 heure du matin, à Perrières, dans un bâtiment agricole à usage de pressoir, de grenier à pommes et à grains, appartenant à Mme Lebarbier, d'Hermanville-sur-Mer, et occupé par M. Octave Lecointe. Les pompiers quoique arrivés rapidement sur les lieux, sous les ordres du lieutenant Viel, ont dû se borner à préserver le corps principal de la ferme.

On évalue les dégâts subis par les bâtiments à 40 000 francs et ceux du matériel à 20 000 francs. Sous les décombres, on a trouvé le cadavre d'un domestique qui couchait dans cette grange, M. Eugène Chrétiens, 78 ans, né à Montlouis (Indre et Loire). On suppose que ce malheureux a été la cause involontaire du sinistre en fumant dans son lit et en s'en dormant avant d'avoir fini sa cigarette.  

 

Juillet 1929  -  Odieux individus.  -  M. Gallot, maire de Perrières, a porté plainte contre la femme veuve Ménant, 42 ans, journalière à Perrières, et le nommé Charles Delabarre, 46 ans, ouvrier agricole, sans domicile fixe, pour les raisons suivantes : Ces ignobles individus se sont introduits dans le cimetière de Perrières, ont volé une couronne sur une tombe et ont mis les perles dans leurs poches, puis ils ont pénétré dans un petit local attenant au cimetière où ils restèrent une bonne partie de l'après-midi. La, en présence du jeune Marcel Ménant, 9 ans, ils se sont livrés à des actes odieux. Delabarre et la femme Ménant nient. Ils ont été néanmoins arrêtés pour ces divers délits. Delabarre est soupçonné en plus de se livrer au braconnage des cailles, on a retrouvé un appeau qui lui appartenait. M. Gallot a demandé que le jeune Marcel Ménant soit confié à l'Assistance publique. En attendant, il a été recueilli à l'hôpital de Falaise.

 

Août 1930   -   Violent incendie près de Falaise.   -   Un incendie qu'on croit avoir été provoqué par une locomotive de la ligne des carrières de Jort, a détruit en partie la ferme Enault, au lieu-dit « la Maison Neuve », à Pérrières. Les pompiers de Saint-Pierre-sur-Dives se sont rendus que sur les lieux. Les dégâts dépassent 100 000 francs. 

 

Janvier 1941   -   Exercices de tirs de l'armée allemande le 22 janvier 1941.   -   Le Préfet du Calvados porte à la connaissance du public que de nouveaux exercices de tirs de l'armée allemande. Auront lieu le 22 janvier, de 9 heures à 18 heures, sur le Champ de tir de Falaise, situé sur les communes de Berniéres-d'AiIly, Epaney, Perriéres, Olendon, Eraines, Damblainville, Versainville.
Les limite du champ de tir sont indiquées par des tableaux de signalisation (la délimitation exacte du champ figure sur un plan déposé à la mairie de chaque commune).
Il est interdit de circuler sur le territoire du champ de tir pendant les tirs sans autorisation spéciale de l'armée allemande.
L'agglomération de Sainte-Anne-d'Entremont et la maison située à l'entrée de la route conduisant à la route nationale de Falaise à Lisieux, devront être entièrement évacuées de 8 heures à 18 heures.
Pendant les tirs, tous les travaux dans les champs et les bois doivent être interrompus à l'intérieur de la zone dangereuse. Les animaux en liberté sont en danger et, dans l'intérêt même de leurs propriétaires, doivent être retirés.
Pendant la durée des tirs, toutes les routes et tous les chemins traversant le champ de tir sont barrés. Des tableaux indiquant les dérivations sont posés et les chemins et les routes barrés sont gardés par des sentinelles.
Le public est avisé que l'inobservation des prescriptions ci-dessus indiquées est susceptible d'entraîner les plus graves
inconvénients.

       
     
    PERRIÈRES  -  Vue Aérienne  
       
     
    179.  PERRIÈRES  -  Le Calvaire

 

 

 

 

 

Additional Hints (Decrypt)

Zntaégvdhr

Decryption Key

A|B|C|D|E|F|G|H|I|J|K|L|M
-------------------------
N|O|P|Q|R|S|T|U|V|W|X|Y|Z

(letter above equals below, and vice versa)