Les communes de Loire-Atlantique est une série de caches particulières construites grâce à la collaboration entre les géocacheurs.
En Loire-Atlantique, il y a 221 communes, à vous de jouer...
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communes.loire.atlantique@gmail.com
Nous sommes heureux d'étendre à la Loire-Atlantique, l'idée originale d'ATMO Studio que nous remercions sincèrement pour son aide. La première série "Les communes de Vendée" est née non loin de La Roche sur Yon, à Nesmy .
Haute-Goulaine
Un peu d'histoire
Au VIe siècle, est édifiée une chapelle dédiée à saint Martin de Vertou, un disciple de saint Félix, évêque de Nantes de 550 à 583. Une trève (paroisse secondaire), à l'origine sous le patronage de sainte Radegonde, est probablement créée à la même époque.
La paroisse de Goulaine est fondée entre le XIIe et le XIIIe siècle : elle inclut d'abord Haute-Goulaine et Basse-Goulaine, qui ne sont distinguées qu'à partir de 1287.
L'histoire de la commune de Haute-Goulaine se confond avec celle de la famille de Goulaine (Marcis de Goulaine vit au XIIe siècle). Au XIIe siècle Jean Ier de Goulaine est nommé capitaine de la ville de Nantes par Henri II Plantagênet. Au XIVe siècle, Jean II de Goulaine obtient le droit de créer une foire le jour de la Saint-Martin.
Henri IV de France (roi de 1589 à 1610) érige la seigneurie de Goulaine en marquisat en faveur de Gabriel de Goulaine, époux de Marguerite de Bretagne. En 1788, Les terres et le château de Goulaine, propriété de Jean de Baille Hache, marquis de Goulaine, sont achetés par Dominique Deurbroucq fils (frère aîné de Piter Deurbroucq), un armateur et négociant nantais d'origine hollandaise.
Au XVIIe siècle, le manoir des Cléons, situé sur le territoire de Haute-Goulaine, appartient à Madame de Sévigné.
On mentionne plusieurs familles nobles : les de La Forêt d'Armaille (aux Montys-Férusseaux), les Bachelier de Bercy (au Carteron), les Mosnier de Thouaré, Bougrenet de La Tocnaye, puis du Boisguéhéneuc (à la Rabillardière), les du Boisguéhéneuc (à La Châtaigneraie). À noter que le Carteron est acquis par la suite par la famille Douault (riches armateurs et planteurs déjà propriétaires de l'Hôtel d'Aux, place Louis XVI à Nantes) et les Montys-Férusseaux sont acquis par la famille Thébaud ou Thébaut (négociants nantais).