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Communes du Calvados : Saint-Martin de Mieux Traditional Geocache

Hidden : 6/15/2014
Difficulty:
1.5 out of 5
Terrain:
1.5 out of 5

Size: Size:   micro (micro)

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Geocache Description:


Les communes du Calvados est une série de cache particulière construite par la collaboration entre les géocacheurs. Le principe de la série est simple et est basé sur la participation volontaire : le premier qui le désire se propose pour poser la suivante de la série en respectant, si possible, les règles ci-dessous :

  • Le nom de la cache posée commencera par "Communes du Calvados : " suivi du nom de la commune du Calvados où elle est située.
  • Il n'y a aucun ordre particulier à suivre
  • Il n'est pas nécessaire d'avoir trouvé une cache de la série pour participer.
  • La cache doit être posée dans une commune du Calvados non encore répertoriée (il y a 706 communes dans le Calvados).
  • Pas de limitation de taille, difficulté, terrain ou type
  • Il est bien que le descriptif de la nouvelle cache contienne les présentes règles et soit suivi d'une présentation de la commune choisie pour la cache.

Cette série est une idée d’Atmo Studio.

 

Pour mettre à jour votre contribution et faire entrer votre cache dans le bookmark list, merci de me contacter.

Je laisse à votre disposition un fichier PDF qui sera mis à jour à chaque demande de réservation de cache ou de création.

Un simple Ctrl+F vous permettra de faire une recherche rapide pour savoir si la commune est disponible.

Listing des communes du calvados.pdf

Histoire de 1858 - 1929

1858  -  Une naissance.  -  La commune de Saint-Martin-de-Mieux est née de la fusion des deux communes de Saint-Martin-de-Bû et de Saint-Vigor-de-Mieux en 1858.

 

Mars 1869   -   Un incendie.   -   Un incendie attribué à la négligence des époux Bannier, fermiers, a éclaté à Saint-Martin-de-Mieux. Ces derniers avaient laissé des allumettes chimiques entre les mains d'un enfant de 4 ans, qui, en s'amusant, a mis le feu à une meule de paille placée dans la cour. La perte approximative, est évaluée à 300 francs.  

 

Septembre 1869   -   Fait divers.   -   Un incendie attribué à la malveillance a éclaté le 1er septembre, à neuf heures et demie du soir, au hameau du Mesnil-Flou, commune de Saint-Martin-de-Mieux, dans une étable appartenant au sieur François Gontier, propriétaire audit lieu, mais il a été aussitôt éteint et n'a causé aucun dégât.

Une mèche incendiaire a été trouvée parmi des joncs marins déposés dans ladite étable. L'enquête à laquelle la justice s'est livrée a fait connaître que l'auteur présumé de cet acte criminel serait une femme Caligny.

 

Mai 1910  -  Meurtre ou accident ?  -  En décembre 1909, chassant avec deux amis sur ses terres de Saint­Martin-de-Mieux, un notaire de Falaise rencontre un braconnier qu'il avait déjà fait condamner. Celui-ci le tue d'une décharge en pleine tête et tente de se suicider. Devant la Cour d'Assises, il plaide l'accident : il voulait désarmer son fusil quand le coup est parti, et il s'est tiré le 2è dans la mâchoire par affolement, voyant son adversaire mort. Il est condamné à 6 ans de réclusion et 10 ans d'interdiction de séjour.

 

Juillet 1919  -  Encore la foudre  -  On signale un incendie causé par la foudre à Saint-Martin-de-Mieux ; le fluide avait atteint le coin du mur d'un grand bâtiment situé dans la cour de M. Sicot, cultivateur au centre du bourg. Ce bâtiment servait d'étable et de grenier à foin ; en quelques instants le feu s'était communiqué a toute la récolte de foin et de paille qui était entassée dans les greniers. Les habitants du pays et ceux de Saint-Pierre-du-Bû. village voisin, au prix de grands efforts, réussirent à faire la part du feu en jetant les fourrages dans la cour de la ferme. Les pompiers de Falaise arrivèrent peu après, mais tout danger était déjà conjuré ; ils achevèrent donc de noyer les décombres. M. Sicot perd sa récolte de foin et paille, car tout ce qui à pu être jeté au dehors n'est plus utilisable. Du bâtiment, la toiture seule a été détruite, les bestiaux logés dans l’étable avaient pu être sortis à temps.  

 

Mai 1924  -  Mortel accident de voiture.  -  Dimanche matin, M. André Siquot, cultivateur, se rendait, en compagnie de sa femme, de sa grand'mère, Mme veuve Chapron, âgée de 75 ans, et de deux amis, à une cérémonie de première communion à Bonnoeil. Le jeune cheval, prêté par son oncle, M. Emile Chapron, cultivateur à la ferme de l'Église, partit au grand trot. lorsqu'à une cinquantaine de mètres de la ferme, la bête vint s'abattre contre les rochers qui entourent le calcaire.
Les cinq voyageurs furent projetés sur le sol. Une des roues de la voiture passa sur le corps de Mme veuve Chapron et le cheval, en se débattant, lui envoya une ruade qui l'atteignit à la tète. La nuit suivante, la blessée succomba, sans avoir repris connaissance. Mme Siquot ainsi que les autres voyageurs ont reçu quelques contusions qui paraissent sans gravité.

 

Décembre 1925  -  Accident de chasse.  -  Au cours d'une partie de chasse à Saint-Martin-de-la-Lieue, M. Jules Martin, cultivateur à Mesnil-Durand, a été victime d'un accident.

II se trouvait près d'une haie avec quelques chasseurs lorsque M. Joseph Prou, de Saint-Julien-le-Faucon, qui se tenait en arrière, tira un coup de fusil dans la direction de la haie, sur un lapin qu'il voyait s'enfuir. Mais la décharge atteignit M. Martin au visage et sur diverses parties du corps. Il continua, néanmoins, à chasser pendant la journée, mais le lendemain, il dut s'allier et demander le docteur.

M. Martin a porté plainte pour blessures par imprudence.

 

Mars 1926  -  Accident.  -  Le jeune François Desvaux, 15 ans, domestique chez M. Alfred Lefèvre, s'étant piqué la main droite avec une épine, un abcès s'est déclaré. Le docteur Saillant lui a ordonné 15 jours de repos.

 

Septembre 1926  -  Acte de malveillance.  -  M. Raymond Girard, propriétaire et entrepreneur de battages, lieu de Vassembras, envoya ces jours-ci son équipe chez M. Lescroart, à Miette ; la machine fonctionnait normalement mais un matin les mécaniciens constatèrent que la courroie avait été presque complètement sectionnée, et le régulateur déréglé.

M. Girard, dont les nombreux ouvriers n'ont pu travailler, et ont subit de ce fait, un important préjudice. Une enquête est ouverte.

 

Septembre 1926  -  Vol de pommes de terre.  -  M. André Sicot, possède un champ de pommes de terre près des fontaines de Crécy, depuis plusieurs jours il s'apercevait qu'on lui volait des tubercules, et l'autre matin 90 pieds avaient été fouillés et on avait remis les fanes par dessus. M. Sicot qui estime son préjudice à 100 francs, a porté plainte.

 

Septembre 1926  -  Médaille d’honneur des cantonniers.  -  La médaille d'honneur des cantonniers vient d'être décernée à M. Arthur Caligny, de Saint-Martin-de-Mieux.

 

Juin 1927  -  Cheval trop vif.  -  Conduisant un tonneau d'eau dans les champs, une jeune Louis Chapron, 15 ans, employé chez son père, cultivateur à Saint-Martin-de-Mieux, était assis sur un brancard du véhicule. Brusquement, le cheval s'emballa et le gamin tomba si malencontreusement qu'il se brisa le bras droit et se fit de multiples contusions.

 

Août 1927  -  La « Sorcière » n'avait pas prévu ça...  -  Dernièrement, une enquête était ouverte par les gendarmes de Falaise sur les agissements d'une jeune femme de Saint-Martin-de-Mieux. Louise Vandervalle, 25 ans, qui donnait à domicile des consultations. Au Val-d'Ante, elle aurait donné à une dame, atteinte de crises nerveuses, un sirop « magistral »... pour soulager les porte-monnaie. De même, aux Loges-Saulces, elle aurait envoûté et en partie ruiné un propriétaire.

Interrogée, la femme Vandervalle a reconnu avoir indiqué des médicaments, mais à titre gracieux. L'enquête se poursuit et dés à présent, la « Sorcière » s'est vue dresser procès-verbal pour exercice illégal de la médecine. On a bien tort de traiter avec indulgence les escrocs de ce genre, toujours aussi nombreux. Ils font autant de mal à la santé qu'à la bourse. On en trouve dans les villes même où la police doit les connaître pourtant.  

 

Juin 1929  -  Accident.  -  Mme Raymond Girard, femme du conseiller général du canton Nord de Falaise, passait à Saint-Martin-de-Mieux, sur la route de Saint-Pierre-du-Bû, en voiture. Trois de ses enfants étaient auprès d'elle. Tout à coup, le cheval s'emballa et malgré les efforts de plusieurs personnes courageuses, il vint s'abattre sur la maison de M. Bourdon, restaurateur, où, coïncidence curieuse, M. Girard présidait un banquier d'anciens combattants. Les quatre occupants furent projetés hors de la voiture qui fut brisée. Dans sa chute, Mme Girard eut la boîte crânienne enfoncée, ses blessures sont graves mais ne mettent pas ses jours en danger. Deux de ses enfants ont été atteints de multiples contusions.

Immédiatement après l'accident les blessés furent transportés chez M. Abel Sussure, ou une religieuse de la Miséricorde de Falaise leur prodigua les premiers soins en attendant l'arrivée du médecin. 

       
     
   

St-MARTIN.  -  Intérieur de l'Église

 
   

 
   

St-MARTIN-de-MIEUX.  -  Le Calvaire

 

Additional Hints (Decrypt)

Nh cvrq

Decryption Key

A|B|C|D|E|F|G|H|I|J|K|L|M
-------------------------
N|O|P|Q|R|S|T|U|V|W|X|Y|Z

(letter above equals below, and vice versa)