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Communes de Loire Atlantique : Les Sorinières Traditional Geocache

Hidden : 3/16/2014
Difficulty:
1 out of 5
Terrain:
1.5 out of 5

Size: Size:   micro (micro)

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Geocache Description:

Les blasons des communes de Loire-Atlantique


Les communes de Loire-Atlantique est une série de caches particulières construites grâce à la collaboration entre les géocacheurs.

Basé sur la participation volontaire, le principe de la série est simple : le premier qui le désire se propose pour poser une cache de la série et dans la ou les communes de son choix en respectant, si possible, les règles énoncées ci-dessous :

  • Le nom de la cache posée commencera par "Communes de Loire-Atlantique : " suivi du nom de la commune de Loire-Atlantique où elle est située.
  • Il n'y a aucun ordre particulier à suivre
  • Il n'est pas nécessaire d'avoir trouvé une cache de la série pour réserver la commune de votre choix, à condition que celle-ci ne soit pas déjà attribuée et en préparation.
  • La cache doit être posée dans une commune de Loire-Atlantique.
  • Il n'y aucune limitation de taille, difficulté, terrain ou type
  • Il serait plaisant que le descriptif de la nouvelle cache rapelle les présentes règles et qu'il soit suivi d'une présentation de la commune choisie pour la cache.

Il sera parfois nécessaire de procéder à quelques abréviations, par exemple comme ceci :

  • Saint deviendra St
  • ou encore comme dans cet exemple : "Commune Loire-Atlantique:GRANDCHAMPS-DES-FONTAINES"

En Loire-Atlantique, il y a 221 communes, à vous de jouer...

Carte des communes de Loire-Atlantique

Pour réserver votre commune, mettre à jour votre contribution sur cette carte et faire entrer votre cache dans la liste des signets, merci d'envoyer un mail à cette adresse dédiée à la série :
communes.loire.atlantique@gmail.com
Par retour de courriel, nous vous adresserons le code html pour la série "Les communes de Loire-Atlantique"

Nous sommes heureux d'étendre à la Loire-Atlantique, l'idée originale d'ATMO Studio que nous remercions sincèrement pour son aide. La première série "Les communes de Vendée" est née non loin de La Roche sur Yon, à Nesmy .


La naissance d'une commune


Le blason de la ville des Sorinières

La fondation d'une paroisse dès 1835
D'après les écrits du Chanoine Jarnoux, ancien curé de Vertou, plusieurs pétitions ont été envoyées à l'Evêque de Nantes pour solliciter la construction, aux environs de la Maillardière, d'une église et par là-même la fondation d'une paroisse.
L'ordonnance royale de 1840
Afin que la paroisse des Sorinières ne soit plus sous la tutelle de Vertou, il faudra attendre l'ordonnance royale signée de Louis-Philippe, en date du 25 février 1840. Cette ordonnance créé la paroisse des Sorinières par détachement de 686 hectares de celle de Vertou. La chapelle sera érigée en église paroissiale par l'Evêque de Nantes le 16 mai 1840. Un nouveau prêtre est nommé : l'abbé Verhoeven qui vient d'Orvault.
L'agrandissement de la paroisse
Malgré l'opposition des communes concernées, un décret préfectoral du 21 juillet 1851 agrandit la paroisse de 169 hectares enlevés à Pont-Saint-Martin et de 220 hectares pris sur Le Bignon. La paroisse compte alors 1 243 âmes : 835 Vertaviens, 248 Bignonnais et 160 Martipontains qui ne sont toujours pas de vrais… Sorinièrois. Entre 1835 et 1865, les habitants du hameau auront mis toute leur énergie pour voir naître « leur » commune. Il faut dire que les communes concernées par cette création (Vertou, dont il faut se détacher, Le Bignon et Pont-Saint-Martin à qui il faut arracher une partie de leur territoire) ne sont pas très coopératives.
La création officielle de la commune en 1865
C'est finalement le Conseil Général de Loire-Inférieure qui finira par trancher en 1862 et imposer la création de la commune des Sorinières, laquelle prendra quand même trois ans à être finalisée… Le 31 mai 1865, un décret de Napoléon III officialise la naissance de la commune de Sorinières. M. Cornet, adjoint spécial de Vertou, assuma les fonctions de maire jusqu'à ce que Monsieur Hippolyte Derouet soit nommé par arrêté du Préfet de Loire-Inférieure. Hippolyte Derouet aura l'honneur d'ouvrir la séance du premier conseil municipal des Sorinières, le 10 septembre 1865. C'est un moment historique.


La cache : l'Abbaye de Villeneuve


Créée en 1201, l'Abbaye de Villeneuve a traversé les siècles en jouant divers rôles au sein de la commune.
La création de l'Abbaye
L'Abbaye de Villeneuve, abbaye de l'ordre de Cîteaux, a été fondée en 1201 par Constance, veuve de Geoffroy II, duc de Bretagne et remariée à Guy de Thouars. A l'invitation de la duchesse, douze moines blancs quittent l'Abbaye de Buzay et commencent à défricher un site « idoine et décent » selon Constance, appelé la Cortinaria (la Cortinaire).
Ils bâtissent alors une ferme et ses dépendances autour d'une cour. Ils aménagent ensuite deux chapelles : Saint Jean pour eux et plus tard Sainte-Apolline pour les fidèles. L'église conventuelle ne sera achevée que vingt ans plus tard et consacrée solennellement en 1224 par Etienne, évêque de Nantes. A côté de l'église, on construit peu à peu d'autres bâtiments formant le carré autour d'un cloître. On y retrouve les cuisines, le réfectoire, la salle du chapitre, le logement des moines, la menuiserie, l'hôtellerie…
L'installation des moines cisterciens
Moulin à eau et à vent, four banal *, étang et pêcherie, marais salant et colombier… les moines cisterciens s'installent dans une position seigneuriale. Ces « adeptes de la pauvreté » sont gratifiés de rentes, de dîmes, de coutumes sur la vente des marchandises et s'éloignent peu à peu de leur idéal de pureté monastique. A la suite de dons successifs, la juridiction de Villeneuve s'étendra même sur les paroisses voisines du Bignon, de Montbert et de Pont-Saint-Martin. Les bénéfices d'exploitation permettent néanmoins aux moines de distribuer de nombreuses aumônes et d'offrir l'hospitalité aux religieux et aux pèlerins. * Un four banal était propriété seigneuriale. Les paysans devaient obligatoirement l'utiliser et payaient ainsi une taxe.
L'Abbaye dans la tourmente
Les guerres de religions, les bouleversements économiques et enfin la Réforme plongeront les moines blancs dans la tourmente de l'histoire. Pour Villeneuve, la Réforme (1664) allait se terminer par l'application de la règle de l'Abbé Armand Jean de Rancé qui reviendra à des normes monastiques plus sévères.
Le temps de l'insurrection vendéenne
En 1790, ils ne sont plus que six moines à Villeneuve. Les Révolutionnaires décident de vendre leurs biens au profit de l'Etat et les forcent à quitter l'abbaye. Les bâtiments claustraux seront achetés par Blanchard, greffier au présidial de Nantes. Le nouveau propriétaire se met promptement à l'œuvre pour démolir l'église et les bâtiments monastiques, ne voulant conserver que l'exploitation agricole et l'ancienne hôtellerie pour s'y aménager une demeure. Il est bientôt dérangé par l'insurrection vendéenne. Villeneuve sera transformée en camp retranché par les Blancs. Pour déloger cette insurrection, les Bleus finiront par brûler les bâtiments et raser les magnifiques futaies qui les entourent.
La reprise de la construction
Blanchard, revenu après la pacification de la région, put reprendre la construction du château de Villeneuve, tel que nous le connaissons aujourd'hui. Mais il y eu tant de remaniements qu'il est difficile de se faire une idée de ce que l'hôtellerie était… autrefois.
Source : Ville des Sorinières

Additional Hints (Decrypt)

Qreevèer

Decryption Key

A|B|C|D|E|F|G|H|I|J|K|L|M
-------------------------
N|O|P|Q|R|S|T|U|V|W|X|Y|Z

(letter above equals below, and vice versa)