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Le patrimoine d'Argenteuil #7 Final Multi-cache

Hidden : 3/9/2013
Difficulty:
1.5 out of 5
Terrain:
1.5 out of 5

Size: Size:   micro (micro)

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Geocache Description:

Nous voici à l'étape finale des patrimoines d'Argenteuil , il nous reste sept lieux à visiter ( clin d'oeil à la septieme cache de la série).



Bonne chasse pour cette dernière ligne droite , j'espère que vous y avez pris du plaisir


Les coordonnées initiales vous mèneront près du parking de la salle des fêtes . Je vous conseille de vous y garer . Celui ci est gartuit hormis les jours de marché ( vendredi et dimanche matin), et il est ouvert au moins jusqu'à 21h30 ( je n'ai pas réussi a trouver les horaire , peut être ne ferme t-il même pas)

Le long du parcours vous aurez l'occasion de passer a proximité des 3 caches de l'ami Friscalo , prenez le temps de les trouver si ce n'est pas déjà fait ^^

wp1: Le Conservatoire de Musique, Danse et Théâtre

En 1899, une donation d'Alfred-Grégoire Collas, citoyen argenteuillais, permet d'installer le nouvel Hôtel de ville dans une belle propriété située 50, boulevard Héloïse.

Il est inauguré le 4 juin de la même année en présence du ministre de l’Agriculture. En 1927, on y transfère la bibliothèque municipale, jusque là implantée dans l’école communale de garçons, rue de l’Abbé Fleury. La porte de la bibliothèque au tympan de laquelle figure, dans un bas relief de bronze, une allégorie de la lecture, se repère encore aujourd’hui dans les jardins.

À l’origine, la façade de l’Hôtel de Ville était orientée vers la ville. L’entrée d’aujourd’hui constituait donc à l’époque le côté jardin. Un buste de Marianne et le monument commémoratif du député de Seine-et-Oise, Maurice Berteaux, œuvres des sculpteurs locaux, Carillon père et fils, décoraient auparavant la cour d’honneur. Réalisés dans en bronze, métal très recherché pendant la seconde guerre mondiale pour l’armement militaire, ils sont fondus sous l’occupation allemande.

En 1963, l'Hôtel de Ville est transféré dans une autre propriété appartenant, cette fois-ci, à la famille Joly (à l’emplacement de l’Hôtel de ville actuel). Le bâtiment désaffecté accueille à partir de AAAA l'Ecole municipale de musique.

Aujourd'hui le Conservatoire est un établissement d’enseignement artistique spécialisé, classé par l’Etat, dont le rayonnement s’étend sur la ville et le département. Plus de quarante disciplines y sont enseignées dans les domaines de la musique, de la danse et du théâtre.

La création, en 2007, de nouvelles salles d'enseignement et de studios de répétition dans l’enceinte de la Cave dîmière, Centre de musiques actuelles, permet un accompagnement de qualité pour les musiciens.

 


 

Trouver A L'année de l'ouverture de l'école de musique

 


wp2: l’homme du XXe siècle

Dans le cadre de l’aménagement de l’avenue Gabriel-Péri, Roland Dubrulle, architecte-urbaniste en charge du projet, commande une sculpture monumentale destinée à décorer la façade du futur centre culturel.

Le thème abordé sous la forme d’un triptyque est celui de l’homme dans le devenir du monde contemporain.

Côté avenue Gabriel-Péri, le panneau symbolise la guerre et le chaos en opposition à celui coté boulevard Héloïse, présentant un monde de paix, de travail, de progrès.

Sur l’angle est représenté l’homme du XXe siècle, condamné à être l’artisan de son bonheur ou de son malheur.

 


 

Trouver B le nombre de lettres de la couleur dominante

 


wp3: La sous-préfecture

La sous-préfecture d’Argenteuil est l’un des rares édifices construits au XVIIIe siècle encore visibles dans la ville. Il s’agit de l’hôtel particulier des Brindelet, famille d’officiers suisses.

Seules la façade et les deux ailes du bâtiment principal sont d’origine.

L’édifice sert d’hôtel particulier jusqu’en 1872, date à laquelle il est racheté par la commune qui l’agrandit et le transforme en hospice pour les vieillards, juste en face de l’hôpital, aujourd’hui le Musée.

Son plan est profondément modifié et certains bâtiments sont entièrement reconstruits en 1964 pour accueillir la sous-préfecture.

Les gardes suisses étaient des unités militaires et mercenaires employées par les rois de France pour assurer leur protection et la garde de leurs résidences. Bien que la plupart des rois depuis Charles VII aient fait appel aux gardes suisses, ce n’est qu’à partir de 1573 qu’un de leur contingent est créé dans l’armée royale. Leur massacre lors de la prise des Tuileries pendant la Révolution sonne le glas de cette alliance pluriséculaire.

Jusqu’au milieu du XVIIe siècle, les gardes suisses sont cantonnés à Saint-Denis et à Paris. À partir de CCCC, environ cinq cents hommes sont déplacés à Argenteuil. Les officiers se font construire de magnifiques demeures tandis que les simples soldats sont logés chez les habitants qui ne peuvent pas refuser. Souvent, ces derniers réservent aux Suisses le premier étage de leur maison. Ils font alors construire un escalier extérieur pour créer un accès séparé. C’est ce que l’on appellera plus tard les « cabanes suisses ».

 

Trouver C l'année de l'arrivée des gardes Suisses à Argenteuil

 


wp4: le musée d'Argenteuil

En 1697, l’hôtel particulier de René Coiffier est transformé en hôpital. Afin de répondre aux besoins hospitaliers, les bâtiments sont reconstruits à partir de 1718. Le corps principal est composé de deux salles communes réservées aux malades et d’une chapelle. En 1759, on construit une aile en retour et on surélève le bâtiment d’un étage mansardé. Deux pavillons supplémentaires, abritant la maternité et le service de chirurgie, sont également construits en 1886 par l’architecte Tollet. Leur conception et disposition sont citées comme modèle dans les traités d’architecture hospitalière. L’hôpital de la rue Pierre Guienne reste en service jusqu’en 1929, date de son transfert sur le plateau du Perreux.

Le site de l’ancien hôpital accueille depuis 1932 le musée communal. Classé Musée de France en 2004, il conserve d’importantes collections liées à l’évolution du territoire du Néolithique à aujourd’hui.

 

Trouver D le nombre d'années pendant lesquelle le batiment fut géré par la société historique et archéologique d'Arenteuil et du Parisis

panneau disparu , prendre D=70

 


wp5: Les vestiges de l’enceinte de la ville

Argenteuil, se trouvant à la croisée des chemins menant à Paris, Saint-Denis, Saint-Germain et en Normandie, François Ier autorise en 1544 ses habitants à faire édifier une enceinte pour se défendre d’éventuelles attaques, liées à la présence dans la ville d’une relique dite « sainte tunique du Christ » et objet de pèlerinages.

Cette enceinte, édifiée de 1545 à 1549, est un mur de quatre kilomètres de long précédé de fossés et interrompu par seize portes d’accès à la ville, neuf ouvrant vers la campagne et sept vers la Seine. Elle aurait remplacé une enceinte détruite en 1339 sur ordre royal, elle-même peut-être précédée d’une autre enceinte, abandonnée vers l’an mil.

Transportés par voie fluviale, des milliers de mètres cubes de pierres approvisionnent le chantier. À sa construction, l’enceinte devait avoir un nombre de portes moins important ; de nouvelles ouvertures ont du être pratiquées au fil du temps. Les portes, délimitées par des tourelles, prenaient en majorité le nom de la rue qu’elles clôturaient et servaient de point d’octroi où toute personne entrant ou sortant devait s’acquitter d’un droit de passage. Elles sont donc avant tout une source de revenus importants pour la communauté d’habitants.

À la fin du XVIIIe siècle, la destruction des murs est décidée pour faciliter la circulation des personnes et des marchandises, et permettre à la ville, enserrée dans ses murs, de s'étendre sur la campagne environnante. En 1803, la muraille est vendue par lots et des travaux de terrassement sont engagés jusqu’en 1816. Comme à Paris, c’est sur le tracé des anciennes fortifications que sont aménagés les grands boulevards urbains entourant la ville (boulevards A.-Thiers, M.-Berthaud, L.-Feix, Jeanne-d’Arc).

 

Trouver E le nombre de vestiges de tourelles visibles

 


wp6 : Claude Monet

C’est à Argenteuil et en partie grâce à Monet, que le mouvement impressionniste connaît sa période la plus brillante.

Après avoir passé quatre ans dans une première maison aujourd’hui détruite, située à l’angle du boulevard Saint-Denis (actuel boulevard Karl Marx) et de la rue Pierre Guienne, Claude Monet emménage en 1874 dans cette seconde demeure plus modeste. La maison « rose aux volets verts » qu’habite la famille Monet jusqu’en 1878 conserve sa physionomie d’origine malgré quelques modifications et détériorations au fil du temps. Après le rachat de la maison en 2003 la ville s’engage en 2010 dans la rénovation de ce bien patrimonial d’importance à travers notamment la restitution du jardin, des balcons, lambrequins et couleurs d’origines permettant ainsi de retrouver l’ensemble évocateur que fixe Monet dans ses toiles à la fin du XIXe siècle.

La période argenteuillaise de Monet, de 1871 à 1878, est particulièrement féconde. Il peint 259 tableaux dont 156 ont pour sujet la ville, prenant pour thèmes les ponts, les promenades, les régates, le bourg, la campagne environnante et surtout la Seine. Fasciné par le fleuve, Monet achète un bateau qu’il transforme en atelier.

Très intéressé par les scènes contemporaines, Claude Monet trouve à Argenteuil l’ambivalence picturale qu’il recherche, entre nature et modernité. Ses tableaux comme La Seine à Argenteuil ou Le pont de chemin de fer reflètent les changements qui bouleversent la ville et témoignent de sa tentative de créer un art du paysage moderne dans le monde industriel de la fin du XIXe siècle.

C’est donc pendant sa période argenteuillaise que naît véritablement l’impressionnisme et avec lui la renommée mondiale de la ville.

Trouver F le numéro de rue de la maison

 


wp7: Karl Marx

Le nom du célèbre philosophe, économiste et militant politique allemand reste attaché à Argenteuil où il venait rendre visite à sa fille et son gendre, Jenny Marx et Charles Longuet. Après un bref passage en 1881, il séjourne une seconde fois chez sa fille en février 1882 avant d’embarquer pour l’Algérie. À son retour, en juillet de la même année, il profite de la proximité des eaux d’Enghien pour y suivre une cure et revient une dernière fois, en septembre 1882. En souvenir de ces célèbres visites, le boulevard, alors dénommé Thiers deviendra, bien plus tard, le boulevard Karl-Marx.

Trouver G le numéro de rue de la maison

La cache :

coordonnées finales :

N 48° 56,XXX avec XXX = ((( A + C ) * B ) / F ) + 24

E 2° 15,YYY avec YYY = ( G * D ) / ( B - E ) - 28

Additional Hints (Decrypt)

cerarm yr grzcf qr ibhf neeêgre zêzr fv ibhf êgrf "punerggr"

Decryption Key

A|B|C|D|E|F|G|H|I|J|K|L|M
-------------------------
N|O|P|Q|R|S|T|U|V|W|X|Y|Z

(letter above equals below, and vice versa)