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Äddi a merci -1- Kierch Salvator Mundi Traditional Geocache

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Kauzenwolf & Alice: Freigegeben für andere Cacher :-)

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Hidden : 1/12/2013
Difficulty:
2 out of 5
Terrain:
1.5 out of 5

Size: Size:   micro (micro)

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Geocache Description:

Eine neue Serie in Luxenburg startet mit:

Äddi a merci -1- Kierch Salvator Mundi

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D’Kierch vu Schengen dréit hire seelenen Titel „Salvator Mundi - Erlöser der Welt“ duerch d’Bezéiungen zur fréierer Abtei Prüm.


Aperçu historique

Se basant sur une note dans le „Prümer Urbar“ datant de 893, les historiens admettent que Schengen était un fief du compté de Vianden et de l‘abbaye de Prüm, dont Schengen dépendait. C‘est de là que provient le nom ancien et rare de l‘église „Salvator Mundi“ - Sauveur du Monde. Il n‘est pas clairement transmis quand la première église chrétienne à Schengen fût construite. Une première fois une chapelle fût mentionnée dans un document trèvirois le 2 novembre 1618. En 1807 Schengen devenait une paroisse indépendante et en 1870 la chapelle, qui à cette époque, avait une superficie de 63 m 2 , fût agrandie. A droite du choeur gothique, avec sa voûte peu élevée sur consoles baroques, il existait une loge séparée pour les Seigneurs du château. L‘autel latéral droit datait de 1687, et le maître-autel de 1757. La tour romane avec ses fenêtres de type „meurtrière“ avaient un caractère défensif. Même après l‘agrandissement de 1870 l‘église paroissiale restait top petite. On décida alors de fonder une „Association pour la construction de l‘Église“ et des plans furent élaborés par l‘architecte de l‘Etat Arendt. Le déclenchement de la Seconde Guerre Mondiale empêcha ces projets. Après la guerre, l‘église endommagée fût restaurée. Malheureusement le 29 janvier 1947 l‘édifice pris feu. Les causes restaient dans le noir. Les pertes étaient remarquables: Perte de l‘autel baroque principal de 1757 et de l‘autel baroque Notre-Dame. De même la nef était détruite, mais choeur et tour restaient. L‘orfèvrerie sacrée et les parements sacerdotals furent détruits en nombre considérable. La décision pour une nouvelle construction fût vite prise et les parties anciennes furent démolies. Les pèlerinages auprès du Sauveur du Monde, le 3e dimanche après Pâques, apparemment très populaires au 19e siècle, sont documentés depuis 1806. Les pèlerins, en signe de leur prières pour le soulagement des maux de têtes, recevaient une couronne en fer, posée sur leur tête. Ces couronnes étaient également détruites par le feu en 1947.

L‘édifice actuel

Le 8 mai 1949, dimanche de la kermesse, la pose de la première pierre eut lieu, dans laquelle une cartouche avec l‘acte officiel était incorporée. Le 9 novembre 1950 l‘église Salvator-Mundi fût consacrée par l‘évêque-coadjutor Mgr Dr Léon Lommel. Elle était construite par l‘entrepreneur E. Cellina, originaire de Schengen, d‘après des plans de l‘architecte Etienne Galowich de Luxembourg. Grâce à sa forme la grande toiture donne un aspect léger. De même les coins et recoins de la construction, les arcs romans des fenêtres et la pose latérale de la tour soulignent cet aspect. La nef voûtée se termine dans un impressionnant arc triomphal et aboutit dans le choeur qui est illuminée par six vitraux hauts et étroits. Etienne Galowich concipa les autels, la grande croix et les fonts baptismaux comme une seule oeuvre. Ils sont créés en marbre boisjourdan, napoléon et rouge-de-flandre. Le tabernacle, la figurine du crucifié et le chemin de la croix sont fabriqués en cuivre et réalisés dans les ateliers belges Colruijt à Halle, province de Brabant. Les portes du tabernacle portent la scène de l‘annonciation. Les tableaux du chemin de croix n‘ont pas de cadre et s‘incorporent parfaitement dans l‘architecture. Les croix de consécrations et les chandeliers interposés rappellent la consécration de l‘église. Dans les niches à gauche et à droite de l‘arc triomphal des autels latéraux sont dédiés à la Consolatrice (à gauche) et au Sauveur du Monde (à droite). A gauche de l‘arc triomphal se trouve une statut de la Ste Lucie (2e patronne de l‘église) et à droite on peut voir le St Nicolas. Les vitraux sont une création de l‘artiste luxembourgeois Franz Gillen. Ils furent fabriqués par l‘atelier Linster de Mondorf. Leur s couleur s trempent l‘édifice dans une ambiance exceptionnelle, voire même poétique. Ils symbolisent à gauche (côté autel latéral de la Vierge Marie) les saintes Maria Goretti, Lucie, Anne, Thérèse et Barbe et à droite (côté autel latéral du Sauveur du Monde) les saints Aloyse, Jean-Baptiste, Joseph, Willibrord et Nicolas. Le jubé est éclairé par 3 petites fenêtres montrants la Ste Cécile et ses instruments. Elles se trouvent au-dessus de l’orgue. A gauche sous le jubé se trouve l‘ancien baptistère. Les fonts baptismaux sont en marbre avec un couvercle cuivré mu n i d ‘un e in s c r ip t io n décorative. Ils sont actuellement placés devant l‘autel latéral du Salvator Mundi. Dans la petite chapelle une épitaphe en grès d‘un enfant langé rappelle qu‘à l‘époque, l‘église fût également utilisée comme lieu d‘enterrement. L‘épitaphe représente Anna- Appolonia de Housse, décédée le 7 octobre 1616, fille de Karl de Housse et de Maria de Breisgin. La légende raconte que l‘enfant a su parler à sa naissance, a exprimé le désire d’être baptisée de suite et est morte après. A côté du baptistère on peut voir un un relief de la Cène qui provient de l‘autel de l‘ancienne église. Le 29 juin 1986 le nouveau orgue électronique, installé par la firme Kienle, a été inauguré. Les tuyaux d‘orgue ont un caractère exclusivement décoratif.


Ein Blick in die Geschichte

Aufgrund einer Notiz im Prümer Urbar aus dem Jahr 893 gehen Historiker davon aus, dass Schengen ein Lehen der Grafschaft Vianden und der Abtei Prüm war. Das seltene Patronat der Pfarrkirche „Salvator Mundi“, Erlöser der Welt, weist eindeutig auf die Abteikirche von Prüm, die denselben Titel trägt. Wann in Schengen das erste christliche Gotteshaus gebaut wurde ist nicht erwiesen. Die erste urkundliche Erwähnung einer Kapelle findet sich im trierischen Visitationsprotokoll des Landkapitels Perl vom 2. November 1618. 1807 wurde Schengen zu einer selbstständigen Pfarrei und 1870 die bis dato 63 m2 große Kapelle vergrößert. Rechts war ein Teil des Chorraumes durch Marmorbrüstungen als Loge für die Schlossherrschaft abgetrennt. Der rechte Seitenaltar datierte aus dem Jahre 1687, der barocke Hochaltar trug die Jahreszahl 1757. Der romanische Turm mit seinen Schießschartenfenstern hatte wehrhaften Charakter. Die Pfarrkirche erwies sich auch nach der Vergrößerung im Jahre 1870 als zu klein, sodass ein Kirchenbauverein gegründete wurde, der Pläne zum Neubau durch den Staatsarchitekten Arendt erstellen ließ. Der Ausbruch des Krieges verhinderte dieses Vorhaben, sodass die in Mitleidenschaft gezogene Kirche nach Ende des Krieges lediglich Instand gesetzt wurde. Am 29. Januar 1947 wurde dieselbe jedoch durch eine Feuersbrunst teils bis auf die Grundmauern zerstört. Der außergewöhnliche Bestand an liturgischen Gefäßen und Gewändern wurde vollständig vernichtet. Ein Neubau drängte sich auf. Der mit der Kirche verbundene Bau des Spritzenhauses bedingte den Abbruch von Chor und Turm, die ursprünglich erhalten bleiben sollten. Wallfahrten zum Erlöser der Welt am 3. Sonntag nach Ostern sind 1806 urkundlich belegt. Im 19. Jh scheinen sich diese Wallfahrten nach Schengen großer Beliebtheit erfreut zu haben. Den Pilgern wurden, zum Zeichen des Gebetes um Linderung der Kopfschmerzen, eiserne Kronen auf den Kopf gesetzt. Diese Kronen gingen beim Brand des Jahres 1947 verloren.

Die heutige Kirche

Am 8. Mai 1949, Kirmessonntag, erfolgte die Grundsteinlegung und am 9. November 1950 die Konsekration der neuen Salvator-Mundi Pfarrkirche durch Bischof-Koadjutor Mgr Dr Léon Lommel. Gebaut wurde sie durch den Unternehmer E. Cellina aus Schengen, nach Plänen von Architekt Etienne Galowich aus Luxemburg. Das große Dach wirkt durch sein Ausschwingen nicht schwerfällig. Die Verwinkelungen, die Rundbögen der Fenster, sowie das Seitlichstellen des Kirchturmes tragen zur Auflockerung bei. Die stimmungsvolle Raumwirkung ist sowohl auf das einfallende Licht, als auf das weitgespannte Tonnengewölbe zurückzuführen. Das gewölbte Langhaus schließt sich durch den imposanten Triumphbogen, und geht in die Chorapsis über, die durch sechs schmale Hochfenster belichtet wird. Die Altäre, das Altarkreuz und das Taufbecken wurden als Gesamtkunstwerk von Etienne Galowitch geplant und aus Boisjourdan- Napoleon- und Rouge-de-Flandre-Marmor hergestellt. Der Tabernakel, die Figur des Gekreuzigten und der Kreuzweg sind aus getriebenem Kupfer und wurden im Belgischen Meisteratelier Colruijt in Halle/ Brabant geschaffen. Die Türen des Tabernakels stellen die Verkündigungsszene dar. Die Tafeln des Kreuzweges, fügen sich rahmenlos in die Wand und verwachsen so mit der Architektur. Dazwischen erinnern Konsekrationskreuze und Apostelleuchter an die Salbung der Kirche bei ihrer Weihe. In den auf beiden Seiten des Triumphbogens eingelassenen Nischen w e r d e n a u f d e n Nebenaltären, links Maria, Trösterin der Betrübten, und rechts der Erlöser der Welt mit Weltkugel, verehrt. Am Triumphbogen, befinden sich links die Statue der hl. Lucia (Nebenpatronin der Pfarrei) und rechts jene des hl. Nikolaus. Die Fenster wurden vom Luxemburger Künstler Franz Gillen gezeichnet und im Atelier Linster in Mondorf hergestellt. Sie geben dem architektonisch wohlgestalteten Raum die farbige Einstimmung und zeigen links vom Muttergottesaltar die heiligen Maria Goretti, Lucia, Anna, Theresia, und Barbara. Rechts vom Salvator Mundi Altar, sind die heiligen Aloisius, Johannes der Täufer, Joseph, Willibrord und Nikolaus dargestellt. Auf der Empore, über der Orgel strahlt das Licht durch 3 kleinere Fenster mit dem Bildnis der hl. Cäcilia und ihren Musikinstrumenten. Links unter der Empore befindet sich die ursprüngliche Taufkapelle. Der schöne Taufstein aus Marmor samt dem gediegenen, schlichten Deckel aus Kupfer, mit den dekorativ wirkenden Innschriften hat jetzt seinen Platz vor dem Salvator Mundi-Seitenaltar gefunden. In dieser Kapelle erinnert ein schönes Sandsteinepitaph eines Wickelkindes daran, dass in früheren Zeiten die Kirche auch als Begräbnisstätte diente. Dargestellt ist die am 07. Okt. 1616 gestorbene Anna- Apollonia von Housse, Tochter von Karl von Housse und Maria von Breisgin. Der Legende nach habe das Kind sofort nach der Geburt sprechen können, wollte getauft werden und sei anschließend verschieden. Neben der Taufkapelle ist eine Abendmahlszene aus dem Altar der alten Kirche angebracht. Am 29.06.1986 wurde die neue elektronische Orgel (Orgelbauer Kienle) eingeweiht, die Orgelpfeifen sind ausschließlich dekorativ.

Quellen:
Norbert Etringer (Chronik einer Pfarrei,+ Kirchenwesen Schengen) Prosper/Roger Kayser (Familienchronik der Gemeinde ) Sapeurs- Pompiers Schengen ( 75. Anniversaire) Prosper Valentiny (Chronik einer Moselgemeinde) Sites et monuments

Additional Hints (Decrypt)

Zntargvfpu raara hz Xnaqry...

Decryption Key

A|B|C|D|E|F|G|H|I|J|K|L|M
-------------------------
N|O|P|Q|R|S|T|U|V|W|X|Y|Z

(letter above equals below, and vice versa)